
Joe Biden considère sa présence à l'investiture «comme une importante démonstration».getty/watson
Il se bouchera peut-être le nez ou se couvrira les oreilles, mais l'actuel président Joe Biden a confirmé qu'il prendraut bien oart à la cérémonie d'investiture de son prédécesseur - et successeur - le 20 janvier prochain, à Washington.
26.11.2024, 06:2926.11.2024, 06:30
Pour rappel, Donald Trump avait refusé de se rendre à celle du démocrate, en 2021. Les Etats-Unis étaient alors à vif, marqués par l'assaut du Capitole par les partisans de Donald Trump le 6 janvier, date de certification de la victoire de Joe Biden. Un jour de violence alimentée par les accusations, sans fondement, du milliardaire républicain de fraudes électorales lors de l'élection.
Un acte de démonstration
Quatre ans plus tard, Joe Biden considère sa présence à l'investiture «comme une importante démonstration de l'engagement à respecter nos valeurs démocratiques et à honorer la volonté du peuple, tandis que nous continuons à assurer une transition ordonnée et efficace», a indiqué le porte-parole Andrew Bates.
«Le président a promis qu'il assisterait à l'investiture du vainqueur de l'élection, quel qu'il soit. Lui et la première dame vont honorer cette promesse et assister à l'investiture»
Andrew Bates, porte-parole adjoint de la Maison-Blanche
Lors de la campagne électorale, Joe Biden a maintes fois dépeint Donald Trump comme un danger pour la démocratie, mais le président s'est engagé à effectuer une transition de pouvoir la plus fluide possible après la victoire du républicain face à Kamala Harris le 5 novembre.
Les deux présidents se sont rencontrés quelques jours après à la Maison-Blanche sur invitation de Joe Biden, qui a félicité son rival pour sa victoire à l'élection. (mbr/ats)
Plongez corps et âme dans la présidentielle américaine
Retour en images sur la course à la Maison-Blanche:
1 / 26
Retour en images sur la course à la Maison-Blanche:
source: sda / cristobal herrera-ulashkevich
Ce labrador a failli finir en pâté pour chat
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
S'attirer la colère du président américain Donald Trump peut entraîner des conséquences imprévues, comme le blocage de Microsoft 365. Pourtant, les plus grandes villes danoises montrent qu'il est possible d'éviter cette situation.
Les deux plus grandes villes du Danemark, Copenhague et Aarhus, ont choisi une voie que la plupart des responsables informatiques suisses redoutent: un retrait progressif et déterminé des produits Microsoft.
Un virage radical que leurs voisins allemands ont déjà amorcé, à l’image du Land du Schleswig-Holstein, bien décidé à se libérer de l’emprise du géant américain et à reprendre la main sur ses données.