La Défense civile a annoncé dimanche que des attaques israéliennes sur la bande de Gaza avaient tué 43 Palestiniens, notamment près d'un point de distribution d'eau. Cela à l'heure où les négociations pour un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas piétinent.
Les deux camps s'accusent mutuellement d'enrayer ces négociations lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, pour mettre fin à 21 mois de guerre. Ce dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien a été déclenché par l'attaque du mouvement islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023.
Sept agences de l'ONU ont averti samedi que la pénurie de carburant à Gaza avait atteint un «niveau critique» et constituait un «nouveau fardeau insupportable» pour «une population au bord de la famine».
Besoins essentiels pas couverts
«Seulement 150'000 litres de carburant ont pu entrer ces derniers jours, ce qui couvre moins des besoins d'une journée», a déclaré dimanche à l'AFP le chef du réseau d'ONG palestiniennes à Gaza, Amjad Shawa. Selon lui, il faudrait «275'000 litres par jour pour répondre aux besoins essentiels».
Dans le territoire assiégé, 43 Palestiniens ont été tués dimanche par des bombardements israéliens, a déclaré le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.
Parmi eux, 11 Palestiniens dont des femmes et des enfants ont péri dans des frappes sur un marché à Gaza-ville, dans le nord du territoire, et trois autres dans le camp de déplacés d'Al-Mawassi, dans le sud, selon lui.
Les deux camps s'accusent mutuellement d'enrayer ces négociations lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, pour mettre fin à 21 mois de guerre. Ce dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien a été déclenché par l'attaque du mouvement islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023.
Sept agences de l'ONU ont averti samedi que la pénurie de carburant à Gaza avait atteint un «niveau critique» et constituait un «nouveau fardeau insupportable» pour «une population au bord de la famine».
Besoins essentiels pas couverts
«Seulement 150'000 litres de carburant ont pu entrer ces derniers jours, ce qui couvre moins des besoins d'une journée», a déclaré dimanche à l'AFP le chef du réseau d'ONG palestiniennes à Gaza, Amjad Shawa. Selon lui, il faudrait «275'000 litres par jour pour répondre aux besoins essentiels».
Dans le territoire assiégé, 43 Palestiniens ont été tués dimanche par des bombardements israéliens, a déclaré le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.
Parmi eux, 11 Palestiniens dont des femmes et des enfants ont péri dans des frappes sur un marché à Gaza-ville, dans le nord du territoire, et trois autres dans le camp de déplacés d'Al-Mawassi, dans le sud, selon lui.