
La ville de Vovtchansk et les villages environnants sont principalement visés.Image: keystone
Le 10 mai, les forces armées russes ont lancé une nouvelle offensive dans la région ukrainienne de Kharkiv. La ville de Vovtchansk et les villages environnants ont été évacués.
16.05.2024, 16:5816.05.2024, 16:58
Depuis le week-end dernier, cette petite ville de Vovtchansk au nord-est de l'Ukraine est sous le feu permanent de la Russie.

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Avant la guerre, 19 000 personnes vivaient encore à Vovtchansk, qui se trouve à seulement 4 kilomètres de la frontière russe.

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De nombreux bâtiments ont été endommagés ou détruits depuis le 10 mai. Ici, deux personnes tentent de sauver les meubles de leur maison en feu.

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Ce week-end, toutes les personnes encore présentes ont été appelées à évacuer. Ceux qui le peuvent s'enfuient en voiture.

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C'est le cas de Valentyn (60 ans) et de son père Viktor (84 ans).

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Un soldat ukrainien dans les ruines de Volvchansk.
Ceux qui n'ont pas de voiture doivent se rendre à des points d'évacuation.

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Là, ils sont transportés en bus pour être mis en sécurité.

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Tetiana, 82 ans, pleure avec sa fille lors de l'évacuation de Vovtchansk. Son mari a été tué dans une attaque aérienne russe.

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La tristesse est grande chez les habitants de Vovtchansk et des villages environnants.

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Selon les autorités, près de 6000 personnes avaient été évacuées de la région en proie aux combats jusqu'à dimanche.

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Parmi les personnes évacuées, on compte de nombreuses personnes âgées souffrant de handicaps physiques qui n'auraient pas pu se mettre en sécurité sans aide.

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Cette femme est portée jusqu'à la voiture avec l'aide de la police militaire.

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Elle regarde anxieusement la caméra avant que son fils ne quitte avec elle sa maison à Vovtchansk.

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Il n'est pas facile pour Valentyna de quitter sa maison.

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Valentyna, désespérée, pleure en empaquetant ses affaires dans des sacs.

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La police militaire l'accompagne jusqu'au bus d'évacuation.

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Les bus et les voitures ne permettent pas seulement de sauver des personnes: l'artiste local Oleksandr Kolesnik met ses tableaux en sécurité.

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Les animaux ne sont pas non plus abandonnés: Oleksandr, 64 ans, et sa chienne Gerda.

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Ce chien semble aller bien, sa maîtresse est assise à côté de lui.

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Les animaux accompagnent leurs maîtres.

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Mais tous les animaux ne sont pas aussi faciles à transporter.

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Natalia a donc décidé de rester avec ses chèvres dans une banlieue de Vovtchansk.

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Lidia fait elle aussi partie des 500 personnes qui ont refusé de quitter les lieux.

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Certaines restent sur place, essuient les débris et réparent les dommages causés à leurs maisons.

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Pendant ce temps les personnes évacuées arrivent dans leurs nouveaux lieux de séjour.

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Les chiens sont réunis avec leurs maîtres.

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Pour Liudmila Kalaschnik, 88 ans, il n'y aura pas de retrouvailles après l'évacuation car elle a perdu son mari dans une attaque aérienne russe.

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Christina, 11 ans, embrasse sa mère après avoir été évacuée de Vovtchansk. Ils ne savent pas quand ils pourront rentrer chez eux.

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(Traduit et adapté par Chiara Lecca)
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