Société
Réseaux sociaux

Poupette Kenza déballe tout sur son séjour en prison

Poupette livre des détails sur sa vie en détention.
Poupette livre des détails sur sa vie en détention.

«C'est très dur»: Poupette Kenza déballe tout sur son séjour en prison

L'influenceuse Poupette Kenza a lancé un podcast dont le premier épisode a été diffusé ce dimanche. Dans celui-ci, elle livre sans complexe les détails de sa vie en détention.
15.09.2025, 17:0015.09.2025, 17:00
Plus de «Société»

Poupette Kenza ne perd jamais une opportunité de faire le buzz, peu importe l'étoffe dont il est fait. La preuve: moins d'un an après son retour de prison, Kenza Benchrif (de son vrai nom) a lancé un nouveau podcast, dont le premier sujet porte sur son immersion forcée dans l'univers carcéral.

Pour rappel, la créatrice de contenu âgée de 25 avait été placée en détention provisoire le 11 juillet 2024 pour «tentative d'extorsion et association de malfaiteurs». La célèbre maman de trois enfants était alors soupçonnée d’avoir ordonné à un intermédiaire de menacer physiquement une ancienne associée pour lui extorquer entre 200 000 et 350 000 euros. Elle a été relâchée après quatre mois, le 31 octobre 2024.

Poupette dissèque ce sombre chapitre de vie dans le podcast intitulé Hors-Ligne, au sein d'un épisode diffusé ce dimanche, et qui devra rester en ligne pendant 72 heures. L'influenceuse aborde sans tabou et aux côtés de son mari Allan toutes ses péripéties, de son interpellation à sa remise en liberté, sans oublier le procès à venir. Le but d'une telle entreprise? L'aider à «tourner la page» pour «passer à autre chose».

Entre peur et inactivité

La première chose que l'on apprend à bout de micro, c'est que Poupette a eu peur à plusieurs reprises qu'on s'en prenne à elle physiquement en prison.

«Je faisais passer des messages à l'avocat "dis leur que je suis forte, que je gère", alors que j'étais une poule mouillée. La première chose à laquelle j'ai pensé, c'est que je devais être à l'isolement sinon j'allais me faire défoncer.»

Des cinquante minutes que dure la vidéo, l'on a retenu quelques phrases aléatoires:

«Je ne connaissais pas le monde carcéral. C'est très dur, mais je pense qu'il y a des gens qui aimeraient bien être en prison.»

Poupette évoque avant tout son état mental pendant cette mise à pied. Si elle dit avoir passé de bons moments avec sa co-detenue, Poupette assure avoir été en dépression. En cause, principalement, le manque d'activité; Kenza confie avoir fait «0 activité» et être restée seule «quatre mois avec la télé». Au contraire de son mari Allan, qui s'est inscrit au «football, à l'école, au crossfit et s'est rendu à la bibliothèque» pour échapper à sa cellule, relaie BFM.

Envie de liberté et d'études

Kenza dit redouter le procès, alors qu'elle a fait de nombreux efforts pour retrouver un équilibre.

«Le jour de mon procès, c'est un jour que je redoute plus que tout au monde. J'ai tellement recréé un équilibre avec notre famille, j'ai tellement peur de ce qu'il peut nous arriver. On n'a pas de date, on espère être jugés le plus rapidement.»

L'influenceuse, qui a désormais interdiction de quitter le territoire français pour Dubaï et qui doit pointer deux fois par mois, avoue également craindre pour sa sécurité au sein de l'Hexagone. Et de raconter un épisode où elle s'est fait filmer par «deux mecs qui sont montés sur [s]a voiture, chose qu'on ne verrait jamais à Dubaï».

«La liberté me manque, celle de pouvoir voyager, prendre l'avion (...) j'ai envie de voler, de m'enfuir»

Poupette ne manquera pas de faire grincer quelques dents en déclarant avoir la nostalgie des vacances. «Je vois ce chapitre comme une pause dans notre vie». Et son mari Allan de corriger, de façon très philosophique: «ce n'est pas une pause, au final, on fait plein de choses. C'est une pause des vacances».

La célèbre maman aborde également le thème des études, puisqu'elle compte continuer la médecine, dont elle entame la première année.

«J'ai la soif d'apprendre, j'ai toujours rêvé d'être médecin»

La vidéaste a défendu son droit à se lancer dans un cursus académique. «A l'heure où je vous parle, je suis présumée innocente, et j'ai un casier judiciaire qui est vierge. Si je suis amenée à être condamnée, le temps que je sois médecin, c'est dans dix ans. Pour ceux qui ne le savent pas, on peut effacer un casier judiciaire sur requête au procureur», assure la jeune femme, qui dit avoir contacté son avocat pour examiner ses droits. «Et encore plus pour des raisons nobles, telles que devenir médecin».

Tout l'épisode 👇

Le nouveau podcast de Poupette doit sortir au rythme de deux épisodes par mois, et devrait compter des invités dont des artistes, sur les sujets liés à la santé mentale ou la parentalité. Avec ce canal, la starlette veut augmenter sa proximité avec ses fans. Pour l'heure, la chaîne YouTube de Kenza compte quelque 250 000 abonnés. Ce premier épisode comptabilise quant à lui plus de 620 000 vues.

On change de sujet

Les stars à poil au festival de Cannes

1 / 17
Les stars à poil au festival de Cannes
Les tenues les plus scandaleuses du Festival de Cannes
partager sur Facebookpartager sur X

C'est quoi «Numéro inconnu», dont tout le monde parle?

Vidéo: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
As-tu quelque chose à nous dire ?
As-tu une remarque pertinente ou as-tu découvert une erreur ? Tu peux volontiers nous transmettre ton message via le formulaire.
1 Commentaire
Votre commentaire
YouTube Link
0 / 600
1
«C'est très dur»: Poupette Kenza déballe tout sur son séjour en prison
L'influenceuse Poupette Kenza a lancé un podcast dont le premier épisode a été diffusé ce dimanche. Dans celui-ci, elle livre sans complexe les détails de sa vie en détention.
Poupette Kenza ne perd jamais une opportunité de faire le buzz, peu importe l'étoffe dont il est fait. La preuve: moins d'un an après son retour de prison, Kenza Benchrif (de son vrai nom) a lancé un nouveau podcast, dont le premier sujet porte sur son immersion forcée dans l'univers carcéral.
L’article