Poupette Kenza ne perd jamais une opportunité de faire le buzz, peu importe l'étoffe dont il est fait. La preuve: moins d'un an après son retour de prison, Kenza Benchrif (de son vrai nom) a lancé un nouveau podcast, dont le premier sujet porte sur son immersion forcée dans l'univers carcéral.
Pour rappel, la créatrice de contenu âgée de 25 avait été placée en détention provisoire le 11 juillet 2024 pour «tentative d'extorsion et association de malfaiteurs». La célèbre maman de trois enfants était alors soupçonnée d’avoir ordonné à un intermédiaire de menacer physiquement une ancienne associée pour lui extorquer entre 200 000 et 350 000 euros. Elle a été relâchée après quatre mois, le 31 octobre 2024.
Poupette dissèque ce sombre chapitre de vie dans le podcast intitulé Hors-Ligne, au sein d'un épisode diffusé ce dimanche, et qui devra rester en ligne pendant 72 heures. L'influenceuse aborde sans tabou et aux côtés de son mari Allan toutes ses péripéties, de son interpellation à sa remise en liberté, sans oublier le procès à venir. Le but d'une telle entreprise? L'aider à «tourner la page» pour «passer à autre chose».
La première chose que l'on apprend à bout de micro, c'est que Poupette a eu peur à plusieurs reprises qu'on s'en prenne à elle physiquement en prison.
Des cinquante minutes que dure la vidéo, l'on a retenu quelques phrases aléatoires:
Poupette évoque avant tout son état mental pendant cette mise à pied. Si elle dit avoir passé de bons moments avec sa co-detenue, Poupette assure avoir été en dépression. En cause, principalement, le manque d'activité; Kenza confie avoir fait «0 activité» et être restée seule «quatre mois avec la télé». Au contraire de son mari Allan, qui s'est inscrit au «football, à l'école, au crossfit et s'est rendu à la bibliothèque» pour échapper à sa cellule, relaie BFM.
Kenza dit redouter le procès, alors qu'elle a fait de nombreux efforts pour retrouver un équilibre.
L'influenceuse, qui a désormais interdiction de quitter le territoire français pour Dubaï et qui doit pointer deux fois par mois, avoue également craindre pour sa sécurité au sein de l'Hexagone. Et de raconter un épisode où elle s'est fait filmer par «deux mecs qui sont montés sur [s]a voiture, chose qu'on ne verrait jamais à Dubaï».
Poupette ne manquera pas de faire grincer quelques dents en déclarant avoir la nostalgie des vacances. «Je vois ce chapitre comme une pause dans notre vie». Et son mari Allan de corriger, de façon très philosophique: «ce n'est pas une pause, au final, on fait plein de choses. C'est une pause des vacances».
La célèbre maman aborde également le thème des études, puisqu'elle compte continuer la médecine, dont elle entame la première année.
La vidéaste a défendu son droit à se lancer dans un cursus académique. «A l'heure où je vous parle, je suis présumée innocente, et j'ai un casier judiciaire qui est vierge. Si je suis amenée à être condamnée, le temps que je sois médecin, c'est dans dix ans. Pour ceux qui ne le savent pas, on peut effacer un casier judiciaire sur requête au procureur», assure la jeune femme, qui dit avoir contacté son avocat pour examiner ses droits. «Et encore plus pour des raisons nobles, telles que devenir médecin».
Le nouveau podcast de Poupette doit sortir au rythme de deux épisodes par mois, et devrait compter des invités dont des artistes, sur les sujets liés à la santé mentale ou la parentalité. Avec ce canal, la starlette veut augmenter sa proximité avec ses fans. Pour l'heure, la chaîne YouTube de Kenza compte quelque 250 000 abonnés. Ce premier épisode comptabilise quant à lui plus de 620 000 vues.