Parler de ses règles à l'apéro, c'est ok? On veut votre avis
Le 28 mai n'a pas été choisi au hasard par l'ONU pour marquer la Journée mondiale de l’hygiène menstruelle. Et pour cause: 28, c'est la durée moyenne d'un cycle et mai correspond au cinquième mois de l'année, soit le nombre moyen de jours de la durée des règles. Voici pour la symbolique.
Aujourd'hui, en Suisse notamment, la parole se libère autour de la thématique des menstruations, permettant petit à petit de briser le tabou tenace autour des règles. Mais comment faire pour le terrasser une bonne fois pour toutes? L'une des pistes est de continuer à en parler ouvertement. Rappelons tout de même que 1,8 milliard de personnes dans le monde ont leurs règles chaque mois, rapporte l'Unicef. Voici pour le chiffre.
La première option est la bonne réponse ;)
Hum... Je crois que ça vaut encore la peine d'en parler.
Et de poursuivre: «Si l'ovule n'a pas été fécondé, il se dissout dans la trompe de Fallope. Le corps jaune dans l'ovaire régresse au cours des 14 jours suivants, les couches supérieures de la muqueuse utérine ne sont plus nécessaires et se détachent.» En sortant par le vagin, elles entraînent un saignement: les règles.
Les Nations Unies rappellent qu'environ 500 millions de personnes «n'ont pas suffisamment accès aux produits d’hygiène menstruelle ni à des structures sanitaires adaptées». Et de souligner qu'une mauvaise santé et hygiène menstruelle «est une entrave aux droits fondamentaux des femmes, des filles et de toutes les personnes menstruées».
