Suisse
Kardashian

Skims, la marque de Kim K, débarque chez Globus: on a testé

Vidéo: watson

Skims, la marque de Kim K, débarque en Suisse: on a testé

Skims, la marque de shapewear de Kim K, a choisi Globus pour son arrivée en Suisse. Jusque-là, on pouvait commander en ligne, rêver devant les silhouettes lissées des influenceuses US… mais désormais, à Genève et Zurich, on peut enfin toucher, palper et, surtout, essayer. Je suis allée tester, et spoiler: pour s’enfiler dans du Skims, il faut sortir les muscles.
31.07.2025, 18:4731.07.2025, 18:47

Vous rêvez de vous enfiler dans un sous-vêtement tout fin mais extrêmement gainant, si possible en ressemblant davantage à Kim Kardashian que Bridget Jones? Say no more. Depuis le 31 juillet, Globus accueille l’une des marques les plus hype en matière de «et si on tentait de forcer son corps à entrer dans une chambre à air de vélo?».

Depuis son lancement en 2019, Skims a été propulsée au rang de star mondiale du shapewear grâce à une recette simple: de l’inclusif (tailles XXS à 3XL, une multitude de teintes «couleur peau»), du marketing Kardashian, et cette promesse que votre corps prendra des allures de statue grecque dès que vous aurez sauté dans un de leurs bodys.

Dans les rayons du magasin genevois, le flagship ressemble à un nuancier Pantone version sous-vêtements. Des dizaines de modèles en déclinaisons beige, sable, caramel, cacao. Tout est lisse, minimaliste, calibré pour faire joli sur Instagram. Ça, c’est pour le packaging. Mais qu’en est-il du produit?

Enfiler un Skims: le parcours du combattant

J’ai choisi l’un des produits les plus iconiques: le fameux body cycliste, censé tout maintenir, lisser, gommer. Et, pour commencer, on a cru à une erreur de taille. Sorti du paquet, le machin ressemble à une combinaison pour enfant.

«Ah non, c’est normal»
La vendeuse

Très bien. Trois minutes et 28 secondes de bataille plus tard dans la cabine d’essayage – contorsions, apnée, et un petit instant de solitude en me demandant si j’allais rester coincé – miracle: le truc est en place.

Vidéo: watson

Et là, oui, c’est efficace. Un peu trop, même. Je ne sais plus exactement où sont passés mes organes vitaux, mais tout est plat et compressé, mon jeans flotte soudainement un peu plus à la taille. C’est bluffant… tant qu’on n’essaie pas de respirer profondément ou d’imaginer courir un marathon avec ça sous ses vêtements de sport.

Skims tient une promesse simple: remodeler la silhouette à coup d’élasthanne ultra-compressif. Sur ce point, contrat rempli. Mais il faut accepter l’idée que, pour atteindre ce résultat, il faut lutter un peu, suer beaucoup et nuancer la sensation de confort vantée par la marque. Confortable sous une robe à un cocktail dînatoire bercé d’une vieille musique d’ascenseur jazzy? Yes Ma’ame. Sous une robe pour aller danser jusqu’à 4 heures du mat’ en faisant de grands écarts sur la piste? Nope.

En tout cas, avec cette arrivée en Suisse, Globus s’offre une belle vitrine et Kim Kardashian étend encore son empire shapewear. Moi, je repars avec une certitude: Skims, c’est un peu comme une relation amour-haine. Ça coupe un peu le souffle, ça compresse… mais c’est difficile de nier l’effet waouh une fois qu’on est dedans.

Les Kardashian vous fascinent?

1 / 13
Les Kardashian vous fascinent?
Kylie, dont la robe a manifestement été crochetée avec les pieds.
source: instagram
partager sur Facebookpartager sur X
Ceci pourrait également vous intéresser:
As-tu quelque chose à nous dire ?
As-tu une remarque pertinente ou as-tu découvert une erreur ? Tu peux volontiers nous transmettre ton message via le formulaire.
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Leur vote a été extrême ce dimanche
La Suisse a voté ce dimanche sur deux objets: l'e-ID et l'impôt sur les résidences secondaires. Et voici les communes qui ont eu les résultats les plus extrêmes.
Le Conseil voulait permettre aux utilisateurs de s’identifier aussi bien auprès des autorités que lors d’achats en ligne. La Confédération voulait gérer elle-même la technologie nécessaire, qui devait être facultative.
L’article