Il a fait le déplacement jusqu'à Bienne, au siège de l'entreprise horlogère, pour marquer le coup: le Britannique Aaron Taylor-Johnson est le tout dernier à rejoindre la grande famille des ambassadeurs Omega.
Un moment sans doute symbolique pour l'acteur prolifique de 34 ans, connu pour ses rôles dans la franchise Avengers ou le psychédélique Bullet Train, aux côtés de Brad Pitt. Pour l'anecdote, son père, un ingénieur civil passionné d'horlogerie qui lui a insufflé son intérêt pour les montres, aurait économisé son salaire pour s’acheter une montre Omega.
Alors que le successeur de Daniel Craig doit encore être désigné, c'est peu dire que l'annonce du ralliement d'Aaron Taylor-Johnson n'est pas passée inaperçue. Tiendrait-on, enfin, le prochain James Bond?
Outre l'accent délicieux et le sex-appeal indispensable, Aaron Taylor-Johnson a d'autres atouts dans sa manche. Son nom pour reprendre le flambeau a été évoqué à de si nombreuses reprises que le grand Pierce Brosnan lui-même a donné sa bénédiction.
L'histoire ne dit pas, en revanche, ce qu'il est de la conduite du Britannique au volant d'une Aston Martin ou s'il est adepte des Martini sans glaçons - un mal nécessaire pour camper à la perfection l'agent secret du M16.
Si Aaron Taylor-Johnson porte désormais la bonne montre, il y a un hic. Lors de sa visite des ateliers, l’acteur a enfilé une Speedmaster «First OMEGA in Space», montée sur un bracelet en cuir brun. Une montre emblématique, reconnue pour son inspiration vintage et son héritage spatial, rappelle l'horloger dans un communiqué.
Or, James Bond est un ancien de la Royal Navy et un adepte de la Seamaster, un modèle lancé en 1948 réputé pour son étanchéité et qui équipait déjà les soldats anglais durant la Seconde guerre mondiale.
Ne nous reste plus qu'à trépigner en attendant une éventuelle annonce d'Amazon, qui s'est offert la franchise en février dernier à la surprise générale.