Ibiza Bob, Ibiza Final Boss, Lego Man, l'homme Playmobil d'Ibiza... En quelques jours, il a été affublé de nombreux surnoms. Jack Kay fait sensation sur les réseaux sociaux. En cause: son look est tout particulièrement, sa coupe de cheveux qui s'apparente à celle d'un Playmobil (non, ce n'est pas un chapeau). Il a été filmé le 3 août en train de danser seul dans un club à Ibiza et la vidéo fait le tour du web.
Mais l'homme Playmobil, ce n'est pas juste un bob taillé au laser, c'est un tout: une dentition Colgate Right Now qui contraste avec un débardeur moulant noir, des muscles biberonnés aux anabolisants, une chaine en or de gangster, une sacoche de dealer et des lunettes de soleil façon kéké des plages... le bonhomme fait sensation sur les réseaux sociaux.
@zerosixwestibiza does anyone know this absolute legend coz weve got 2 free guestlist with his name on it! . #ibiza2025 #zerosixwest #eivissa #ibiza #ibiza25 ♬ original sound - Zero Six West Ibiza
Jack Kay a 26 ans et vient de Newcastle en Angleterre. Il fait tellement sensation sur la Toile que le Daily Mail lui a consacré un article. Mais ce n'est pas toujours une bonne nouvelle quand le tabloïd britannique se met à creuser, car il révèle notamment que son père a fait des aller-retour en prison pendant une dizaine d'années. Le journal va jusqu'à donner des détails sur son dernier délit en 2021 où il aurait cambriolé le domicile d'un homme âgé la veille de Noël. Par contre, le Daily Mail ne précise pas ce que fait Jack Kay dans la vie.
Qu'importe cette mauvaise publicité. Il en faut plus à Ibiza Final Boss pour être mis à terre. Surtout qu'avec cette coupe de cheveux aussi moelleuse qu'un biscuit cuillère, rien ni personne ne peut lui faire de mal.
Depuis qu'il est devenu viral, la machine s'est enclenchée pour Jack Kay. Il a ouvert un nouveau compte Instagram avec seulement deux publications et déjà 24 000 followers. Il se surnomme lui-même Ibiza Final Boss et il a déjà un agent, comme il l'a écrit sur le réseau social.
Ça va tellement loin que certains comptes sur les réseaux sociaux tentent de tirer leur épingle du jeu en vendant des produits dérivés, comme des T-shirts et même des perruques.