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«Un big bang de l'autorité à l'école»: Bardella affirme que le RN est «prêt» à gouverner

Une campagne-éclair s'est ouverte, en France, avant le premier tour des législatives anticipées le 30 juin. Les infos les plus chaudes, c'est par ici 👇
24.06.2024, 16:39
Team watson
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Plus de «International»
  • Après la défaite de son parti aux élections européennes, Emmanuel Macron a dissout l'Assemblée nationale et provoqué des élections législatives.
  • Le premier tour des législatives sera le 30 juin, le second le 7 juillet.
  • Les candidatures devront être déposées entre le mercredi 12 juin et le dimanche 16 juin à 18h. La campagne électorale pour le premier tour débutera le lundi 17 juin.
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16:39
Législatives en France: RN «prêt» à gouverner, assure Bardella
«Nous sommes prêts» à gouverner, a assuré lundi Jordan Bardella, le jeune président du parti d'extrême droite français Rassemblement national (RN), lors d'une présentation de son programme pour les législatives à Paris.

«Le Rassemblement national est aujourd'hui le seul mouvement à pouvoir mettre en oeuvre dès maintenant et raisonnablement les aspirations clairement exprimées par les Français. En trois mots, nous sommes prêts», a affirmé celui qui aspire à devenir premier ministre s'il obtient la majorité absolue au scrutin des 30 juin et 7 juillet.

Il a décrit l'Alliance entre son parti et le président du parti de droite (Les Républicains) comme la seule alternative crédible après les «sept longues années de macronisme» qui ont, selon lui, affaibli la France.

Il a proposé «un big bang de l'autorité» à l'école «dès la rentrée de septembre», avec notamment l'interdiction des téléphones portables dans les établissements jusqu'au baccalauréat.

«Les téléphones portables seront interdits dans les établissements scolaires dont les lycées», «le vouvoiement des enseignants sera obligatoire et les expérimentations du port de l'uniforme seront poursuivies. Je suis, à titre personnel favorable à son instauration à l'école primaire, mais aussi au collège», a-t-il expliqué.
French far-right leader Marine Le Pen and conservative politician Eric Ciotti, attend a press conference by far-right National Rally party president Jordan Bardella, Monday, June 24, 2024 in Paris. Th ...
Image: ats
22:30
Mélenchon prêt à devenir premier ministre
Le leader de la France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a affirmé samedi qu'il était «bien évidemment» prêt à devenir premier ministre si l'alliance de gauche l'emportait aux législatives. Cela malgré les réticences de plusieurs voix dans son camp.
French far-left leader Jean-Luc Mélenchon gives a speech in Marseille, southern France, Friday, June 10, 2022. Leftist parties that had nearly disappeared from the French political landscape have grow ...
Image: AP
«J'ai l'intention de gouverner ce pays», a-t-il déclaré sur France 5. «Je ne m'élimine pas et je ne m'impose pas. Je pense que c'est une formule qui est assez respectueuse du collectif», a-t-il ajouté.

Jean-Luc Mélenchon a ainsi affirmé qu'un consensus avait été trouvé parmi les alliés de gauche pour que ce soit «le groupe parlementaire le plus important qui présente le candidat à la primature». Le patron du PS Olivier Faure a cependant évoqué la nécessité d'un vote pour trancher quel serait l'éventuel premier ministre de gauche.
19:34
Deux sondages donnent l'extrême droite devant la gauche
L'extrême droite française et ses alliés de droite sont en tête des intentions de vote au premier tour des législatives (35,5%), suivis par le Nouveau Front populaire de gauche (29,5%), le camp d'Emmanuel Macron étant distancé (19,5%), selon un sondage Ipsos.

Dans les deux enquêtes publiées samedi à une semaine du premier tour, Les Républicains (LR, droite), qui n'ont pas rejoint l'alliance entre leur président Eric Ciotti et l'extrême droite, arrivent en quatrième position à 7% d'intentions de vote.

Le sondage annonce une forte hausse de la participation par rapport à 2022, où elle s'était élevée à 47,5%, avec 60 à 64% des Français assurant avoir l'intention de se rendre aux urnes.

Majorité relative pour le RN
Sur la base de ces résultats, l'institut Elabe estime que le Rassemblement national et ses alliés auraient une majorité relative à l'Assemblée nationale.
epa11424727 French far-right Rassemblement National (RN) party President and lead MEP Jordan Bardella (on screen) speaks during the audition of candidates of legislative elections organised by French  ...
Image: ats
18:04
Les principaux candidats à la rencontre de leur base samedi
A huit jours du premier tour des législatives anticipées, les candidats sont partis à la rencontre de leurs électeurs samedi.

François Hollande était à Tulle, en Corrèze. L'occasion de cibler l'héritage de son ancien ministre de l'Economie, même s'il promet qu'il n'a «aucun compte à régler».
Francois Hollande est candidat aux prochaines élections législatives en France, une première pour un ex-président de la République.
Image: ats
«Le macronisme, c'est terminé. Si tant est que ça ait existé, mais c'est terminé, je le dis sans hostilité particulière», a assuré auprès de l'AFP l'ancien président socialiste, qui se présente sous l'étiquette du Nouveau front populaire.

Marine Le Pen était, elle, à Carvin dans le Pas-de-Calais, où elle est élue députée. «Je pense que le président de la République est incapable, semble-t-il, de voir quel est le véritable danger pour la France», a tempêté la cheffe de file du RN, en désignant la «coalition d'extrême gauche qui est en réalité tenue par les radicaux dont le programme entraînerait un chaos évident (...) pour le pays», a-t-elle tempêté.
23:20
Marine Le Pen estime qu'«il ne restera à Macron que la démission»
La cheffe de file de l'extrême droite française Marine Le Pen a estimé vendredi qu'il ne resterait au président Emmanuel Macron «que la démission pour sortir potentiellement d'une crise politique» déclenchée par sa dissolution de l'Assemblée nationale et la tenue de législatives qui pourraient conduire l'extrême droite au pouvoir en juillet.

«Je n'appelle pas Emmanuel Macron à démissionner. Je suis respectueuse des institutions. Je note juste que, quand il y a un blocage politique, quand il y a une crise politique, il y a trois possibilités», a-t-elle expliqué en marge d'un déplacement à Courrières, dans la circonscription du Pas-de-Calais (nord) où elle entend se faire réélire députée.

«Il y a le remaniement, il y a la dissolution ou il y a la démission du président. Le remaniement, pour le coup, dans cette circonstance, ne m'apparaîtrait pas extrêmement utile. La dissolution vient d'être opérée pendant un an. Il ne restera donc au président que la démission pour sortir potentiellement d'une crise politique», a-t-elle estimé.
A 27 ans, Jordan Bardella succédera à Marine Le Pen à la tête du RN (archives).
Image: ats
23:19
Législatives: la gauche chiffre son programme
A neuf jours du premier tour de législatives toujours aussi indécises, la gauche a détaillé vendredi son ambitieux programme de relance budgétaire, avec 25 milliards de dépenses supplémentaires dès 2024. Le Nouveau Front populaire rejette les accusations de Gabriel Attal et du patronat qui dénoncent «un matraquage fiscal».

Selon le chiffrage présenté lors d'une conférence de presse des représentants du Nouveau Front populaire, les dépenses publiques supplémentaires pourraient atteindre 150 milliards fin 2027 pour des recettes équivalentes, largement à la faveur d'une hausse de la fiscalité.

Parmi les mesures phares dès 2024, l'instauration d'un impôt sur la fortune (ISF) «avec une composante climatique». Celui-ci rapporterait 15 milliards d'euros, tout comme une taxe sur les superprofits.

Ces 30 milliards d'euros serviraient à financer notamment la revalorisation des allocations personnelles au logement (APL) de 10%, l'abrogation des réformes des retraites et de l'assurance-chômage et une hausse de 10% du point d'indice des fonctionnaires.
epa11409805 First Secretary of the Socialist Party Olivier Faure (C) speaks during a press conference to announce the program of the newly elected pact Nouveau Front Populaire 'lit. New Popular F ...
Image: ats
14:24
Darmanin prévoit de démissionner «si l'ultra-droite ou l'ultra-gauche gagne»
Le ministre de l'Intérieur d'Emmanuel Macron, Gérald Darmanin, indique qu'il ne sera plus à son poste lors du prochain gouvernement en cas de victoire de la gauche radicale ou de la droite dure, selon les informations de Radio France.

Le politicien voit trois possibilités aux prochaines élections:
-S'il est battu, il démissionnera «le soir même» de l'annonce
-Si la majorité présidentielle l'emporte, «le président choisira son gouvernement», c'est-à-dire qu'il pourrait ne pas être réélu à son poste, le choix revenant à Emmanuel Macron
-Si «l'ultra-gauche ou l'ultra-droite gagne», il «ne sera plus ministre dès le lundi matin» et «ne sera pas ministre un jour de plus»
epa11216256 France's Minister for Interior and Overseas Gerald Darmanin during a meeting between the French government and senior government officials in Paris, France, 12 March 2024. EPA/LUDOVIC ...
Image: ats
Gérald Darmanin
13:56
La gauche veut instaurer un ISF qui rapporterait 15 milliards
Le Nouveau Front populaire, qui rassemble plusieurs forces de gauche en France, a proposé vendredi d'instaurer, en cas de victoire aux législatives anticipées, un impôt sur la fortune (ISF) renforcé. Ce dispositif pourrait rapporter 15 milliards d'euros par an. «Nous réinstaurons immédiatement un ISF avec une composante climatique à 15 milliards d'euros», a affirmé le sénateur socialiste Alexandre Ouizille au cours d'une conférence de presse annonçant le chiffrage du projet de la coalition de gauche en vue des élections législatives.

Supprimé par Emmanuel Macron à son arrivée à l'Elysée, la transformation de l'ISF en impôt sur la fortune immobilière (IFI) avait marqué la volonté du gouvernement de renforcer l'attractivité française en matière d'investissements. Une réinstauration de l'ISF en cas de victoire du NFP pourrait ainsi rapporter «douze, treize milliards» les premières années avant de monter à 15 milliards, au lieu de «quatre, cinq» milliards dans la mouture précédente, a ainsi précisé l'économiste Julia Cagé.

Dès 2024, afin de «répondre immédiatement aux urgences», le Nouveau Front populaire entend également mettre en place une taxe sur les superprofits, qui rapporterait également 15 milliards d'euros. Ces 30 milliards d'euros serviraient à financer notamment la revalorisation des allocations personnelles au logement (APL) de 10%, l'abrogation des réformes des retraites et de l'assurance-chômage et une hausse de 10% du point d'indice des fonctionnaires. Des réformes qui coûteraient 25 milliards d'euros selon l'alliance de gauche.
7:20
Le Pen dénonce une agression contre un candidat d'extrême droite
Une enquête pour «violence en réunion» a été ouverte jeudi dans l'est de la France après une «bousculade», la cheffe de file d'extrême droite Marine Le Pen accusant «les milices d'ultragauche» d'avoir agressé l'un des candidats de son parti. «Une bousculade, des insultes et des projections d'eau et de farine» ont eu lieu vers 11H30 sur un marché près de la Bourse du travail, a précisé le parquet de la ville de Saint-Etienne, ajoutant que l'enquête a été ouverte par la police.
French far-right leader Marine Le Pen arrives at the National Rally party headquarters, Monday, June 10, 2024 in Paris. French President Emmanuel Macron dissolved the lower house of France's parl ...
Image: ats
Interrogé par l'AFP, Hervé Breuil, candidat du Rassemblement national (RN, extrême droite) âgé de 70 ans, a affirmé avoir été «agressé» par «un groupe d'individus masqués». Selon un militant qui l'accompagnait, les agresseurs présumés étaient «quatre (...) habillés tout en noir» et auraient agi dans le cadre «d'une attaque coordonnée, précédée de repérages». Porteur d'un pacemaker, Breuil a ensuite expliqué avoir été conduit aux urgences et avoir passé des examens médicaux.

Marine Le Pen a elle accusé «les milices d'ultragauche, soutiens du Nouveau Front populaire» (coalition de gauche), d'avoir «lâchement agressé» le candidat du RN.
23:14
Débat entre Attal, Bardella et Bompard le 25 juin sur TF1
Un débat opposera Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard le 25 juin en soirée sur TF1, à cinq jours du premier tour des élections législatives, a annoncé mercredi la première chaîne française, confirmant une information du Figaro.

Ce débat entre le Premier ministre issu de Renaissance, le président du Rassemblement national et l'ancien député de La France insoumise sera animé par Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, selon le journal.
epa11419486 French President Emmanuel Macron (R) and France's Prime Minister Gabriel Attal (L) attend a ceremony marking the 84th anniversary of late French General Charles de Gaulle's World ...
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21:04
90 médias appellent à faire «front commun» contre l'extrême droite
En amont des élections législatives françaises, 90 médias, dont certains classés à gauche comme l'Humanité, ont publié mercredi une tribune appelant à faire «front commun» contre l'extrême droite. Celle-ci menace selon eux «la liberté de la presse».

«Le combat contre l'extrême droite et son projet est au coeur de nos engagements éditoriaux», peut-on lire dans ce document signé entre autres par Alternatives Economiques, Arrêt sur images, Les Jours, Mediapart, Politis, la société des journalistes (SDJ) de la rédaction nationale de France 3 ou celle du média en ligne Konbini.

Pour ces médias, «la liberté de la presse est dans (la) ligne de mire» du Rassemblement national (RN).
Edwy Plenel, le chef de Mediapart, a annoncé lundi quitter le média d'investigation français le 14 mars (Archives).
Image: ats
21:02
Le RN et Ciotti retirent leur soutien à deux candidats
Le Rassemblement national et Eric Ciotti, qui font alliance pour les élections législatives, ont retiré mercredi leur soutien à leurs candidats Joseph Martin (Morbihan) et Louis-Joseph Pecher (Meurthe-et-Moselle). Cela pour des propos antisémites sur les réseaux sociaux.

Joseph Martin, un cadre du parti à la flamme qui avait publié un message antisémite sur les réseaux sociaux en 2018, «n'a plus le soutien du Rassemblement national. Il est suspendu et sera convoqué en vue de son exclusion», a indiqué le RN à l'AFP, en rappelant qu'il n'était pas possible de retirer sa candidature.

Dans un message repéré par Libération, le candidat de la première circonscription du Morbihan avait écrit en octobre 2018 que «le gaz (avait) rendu justice aux victimes de la Shoah». La publication a été effacée mercredi à la mi-journée.
Eric Ciotti a été exclu du parti LesRépublicains qu'il préside (Archives).
Image: ats
13:27
Le RN retire son soutien à l'un de ses candidats
Le Rassemblement national a indiqué mercredi qu'il n'accordait plus son soutien à l'un de ses candidats dans le Morbihan, Joseph Martin, un cadre du parti à la flamme qui avait publié un message antisémite sur les réseaux sociaux en 2018, jamais effacé ni renié.

«Il n'a plus le soutien du Rassemblement National, il est suspendu et sera convoqué en vue de son exclusion», a indiqué le RN à l'AFP, en rappelant qu'il n'était pas possible de retirer sa candidature.
13:30
Eric Ciotti visé par une enquête pour détournement de fonds publics
Le président des Républicains est la cible d'une enquête pour détournement de fonds publics, a appris BFM Nice Côte d'Azur auprès du parquet de Nice.

Les investigations ont été lancées à la suite d'un signalement réalisé au mois de mai dernier. Eric Ciotti est notamment soupçonné d'avoir usé gratuitement des cartes de parking à proximité de la permanence du port du député de Nice, mises à disposition par la Chambre de commerce et d’industrie, pendant la campagne des législatives de 2022. L'enquête est menée par le service interdépartemental de la police judiciaire. Huit personnes, dont Eric Ciotti et plusieurs de ses collaborateurs, auraient fait usage de ces bons.
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En mai dernier, rappelle BFMTV, une enquête préliminaire pour détournement de fonds publics avait été ouverte autour de soupçons de cumuls d'emplois au sein du conseil départemental des Alpes-Maritimes. D'après Le Monde, les collaborateurs concernés n'avaient pas réalisé les démarches nécessaires pour respecter les règles de cumul des emplois imposées aux agents publics.
18:37
Elections législatives: Kilian Mbappé «contre les extrêmes»
Lors d’une conférence de presse ce dimanche à Düsseldorf, le capitaine des Bleus Killian Mbappé a déclaré:

«Kylian Mbappé est contre les extrêmes, les idées qui divisent. On a l'opportunité de choisir le futur de notre pays. Plein de gens n'ont pas conscience. J'essaie de donner la voix pour parler à des gens de ma génération. Une voix compte, toutes les voix comptent. J'ai envie d'être fier de porter ce maillot le 7. On dit souvent qu'il ne faut pas mélanger politique et foot, c'est plus important que le match de demain. Aujourd'hui, le pays est dans une situation très importante. Si je différencie les extrêmes? Non, car ce sont des idées qui divisent. Je suis pour les idées qui rassemblent.»
La saga Mbappé-PSG s'envenime et n'est pas prête de se terminer
Image: ats
«On est dans un moment crucial de l'histoire de notre pays. Il faut savoir faire la part des choses et avoir le sens des priorités. On est des citoyens mais et on ne doit pas être déconnecté du monde qui nous entoure. On est dans une situation inédite. J'ai envie de m'adresser au peuple français, à la jeune génération. On voit très bien que les extrêmes sont aux portes du pouvoir. On a l'opportunité de choisir l'avenir de notre pays. J'appelle tous les jeunes à aller voter. Le pays a besoin de s'identifier à nos valeurs de mixité, tolérance et respect. C'est indéniable. Chaque voix compte, ce n'est pas à négliger. J'espère qu'on fera le bon choix et qu'on sera encore fier de porter ce maillot le 7 (jour du second tour)», a-t-il encore ajouté.

A la différence de Marcus Thuram qui appelait la veille à voter contre le RN, Kilian Mbappé appelle à voter contre les «extrêmes». Ce qui comprend le RN, mais aussi sans doute La France insoumise.
9:56
Le député LFI contesté Adrien Quatennens renonce à sa candidature
Le député LFI Adrien Quatennens a annoncé dimanche renoncer à présenter sa candidature dans le Nord, contestée par les partenaires au sein du Nouveau Front populaire, en raison de sa condamnation à quatre mois de prison avec sursis pour des violences conjugales.

«Je n'entends pas plus longtemps que ma candidature soit utilisée contre La France insoumise et le Nouveau Front populaire pour leur nuire dans un moment où toute l'énergie doit être utilisée pour battre l'extrême droite», a-t-il déclaré dans une allocution à la presse.
18:08
La France se mobilise contre l'extrême droite: 200 manifestations
Des dizaines de milliers de personnes défilent samedi en France contre l'extrême droite, en position de force à l'approche des législatives convoquées par le président Emmanuel Macron, alors que la nouvelle coalition de gauche connaît déjà de premières fissures

Plus de 600 000 manifestants, selon le syndicat CGT, dans toute la France et 250 000 à Paris (75 000 dans la capitale selon la Préfecture de police) sont rassemblés contre une nouvelle victoire du Rassemblement national (RN, extrême droite) les 30 juin et 7 juillet, après son triomphe dimanche aux européennes qui a conduit le chef de l'Etat à dissoudre l'Assemblée nationale.
Police stand near a damaged bus shelter during a rally in Paris, Saturday, June 15, 2024. Antiracism groups will join French unions and a brand-new left-wing coalition in protests in Paris and across  ...
Image: ats
Dans la capitale, des milliers de manifestants - jeunes, familles avec enfants, retraités - ont commencé à battre le pavé après 14h00, dans une ambiance essentiellement bon enfant, au cri de «la jeunesse emmerde le Front national».

De brefs incidents sont cependant survenus au fil du parcours avec du matériel urbain dégradé et une agence bancaire prise pour cible par des manifestants cagoulés. Les forces de l'ordre ont été également la cible de jets de bouteilles auxquels elles ont répliqué par des gaz lacrymogènes. Une personne suspectée de dégradations a été interpellée, selon la préfecture de police.

Environ 200 manifestations sont prévues au total dans le pays pendant le week-end à deux semaines de législatives qui provoquent une recomposition chaotique de la vie politique en France.
17:11
Candidature d'Hollande aux législatives: le PS «prend acte»
Le Parti socialiste annonce investir l'ex-président François Hollande pour les législatives, prenant acte du choix de la fédération de Corrèze et de la décision de l'ancien chef d'Etat de se reconnaître «dans le projet du Nouveau Front populaire», a annoncé à l'AFP le président de la commission électorale du PS Pierre Jouvet.

«François Hollande a déclaré cette semaine qu'il se reconnaissait dans la démarche et le projet du Nouveau Front populaire. Nous prenons acte du choix de la fédération de Corrèze de l'investir», écrit le PS sur le réseau social X.
epa11202443 Former French president Francois Hollande arrives for a meeting with French President Emmanuel Macron (not pictured) at the Elysee Palace in Paris, France, 06 March 2024. Macron on 06 Marc ...
Image: ats
L'ancien président de la République a confirmé samedi sa candidature, une décision «inédite» car la «situation est grave», avec la perspective d'une victoire du Rassemblement national.

«A situation exceptionnelle, décision exceptionnelle», a déclaré à la presse à Tulle l'ancien chef de l'Etat. Il a expliqué avoir trois priorités, la France, le progrès et la Corrèze.

L'ex-député socialiste de Corrèze est investi «dans la première circonscription» du département, qui avait initialement été attribuée au maire de Tulles Bernard Combes.
14:43
Les Bleus se mobilisent
L'attaquant de l'équipe de France Marcus Thuram a appelé samedi en conférence de presse à "se battre contre le Rassemblement national" en vue des législatives anticipées. Il est le premier de ses coéquipiers à s'exprimer de la sorte.
France's Marcus Thuram speaks during a press conference in Paderborn, Germany, Saturday, June 15, 2024. France will play against Austria during their Group D soccer match at the Euro 2024 soccer  ...
Image: ats
Avant lui, Ousmane Dembelé avait enjoint ses concitoyens à se rendre aux urnes, sans préciser sa pensée. Il est probable que d'autres sportifs français prennent la parole dans les jours à venir pour mobiliser contre l'extrême droite.
12:16
François Hollande candidat chez lui
L'ex-président français François Hollande a annoncé samedi sa candidature pour les législatives. Il se présentera dans la première circonscription de son fief, la Corrèze.
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Il se présentera sous la bannière du Parti socialiste et recevra le soutien du Nouveau Front populaire. François Hollande avait déjà siégé en tant que député entre 1997 et 2012 avant d'accéder à la présidence.
11:08
Des dizaines de milliers d'antis-RN attendus dans la rue
Moins d'une semaine après le séisme de la dissolution, les opposants à l'extrême droite vont battre le pavé samedi dans toute la France à l'appel de syndicats, d'associations et de la gauche du «Nouveau Front populaire»-

Dès vendredi soir, plusieurs milliers de personnes ont défilé dans plusieurs villes avec, à Lyon, des violences qui ont fait quatre blessés, dont trois policiers selon la préfecture.

Environ 200 manifestations sont prévues pendant le week-end à l'approche des législatives des 30 juin et 7 juillet et elles commenceront dès samedi matin à Bayonne, Toulon ou Valenciennes. A Paris, le cortège partira à 14h00. Lyon défilera dimanche.

De source policière, 300 à 350'000 personnes sont attendues, dont 50'000 à 100'000 dans la capitale. 21'000 policiers et gendarmes seront mobilisés.

Cinq syndicats CFDT, CGT, UNSA, FSU et Solidaires appellent à la mobilisation. FO, CFE-CGC et CFTC mettent en avant leur apolitisme pour ne pas appeler à manifester même si certaines fédérations comme celle de l'éducation chez FO iront défiler.
9:36
La cheffe des écologistes choquée par la «purge» au sein de LFI
La patronne des Ecologistes Marine Tondelier s'est dite «extrêmement choquée» par la «purge» au sein de LFI - où plusieurs députés sortants, critiques de Jean-Luc Mélenchon, n'ont pas été réinvestis pour les législatives - et a convoqué les instances de son parti.
epa11409787 French National Secretary of The Ecologists party Marine Tondelier (R) speaks during a press conference to announce the program of the newly elected pact Nouveau Front Populaire 'lit. ...
Image: ats
«J'ai convoqué les instances d'EELV ce matin pour voir quelles suites donner à cela», a déclaré samedi sur France 2 Marine Tondelier, qui doit aussi s'entretenir avec les responsables socialiste Olivier Faure et communiste Fabien Roussel.

La patronne des Ecologistes souhaite que le Nouveau Front populaire soutienne, malgré tout, les candidats évincés par LFI.

En cause, la présence controversée d'Adrien Quatennens, député sortant de la 1ère circonscription du Nord, condamné à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour violences conjugales.

En revanche, Danielle Simonnet, élue à Paris, ainsi que Raquel Garrido et Alexis Corbières, députés de Seine-Saint-Denis, qui incarnent des voix discordantes au sein de La France insoumise, ont été écartés et remplacés par d'autres candidats.
20:10
L’exclusion d’Eric Ciotti de la présidence de LR est suspendue par la justice
Dans une décision de la juridiction des référés du tribunal judiciaire de Paris consultée par BFMTV, celui-ci ordonne la suspension des deux décisions d'exclusion prononcées à l'encontre d'Eric Ciotti les 12 et 14 juin.

Le tribunal ajoute une condition: la défense d'Eric Ciotti doit désormais saisir la juridiction dans les huit jours sur le fond du dossier.
epa11293375 President of the French right-wing party Les Republicains (LR) and MP Eric Ciotti (R) looks on he waits for French prime minister's visit to the Parc Imperial High School to launch an ...
Image: ats
10:11
Des candidats communs RN-LR dans 70 circonscriptions
Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a annoncé vendredi qu'«il y aura un candidat commun» avec Les Républicains «dans 70 circonscriptions» aux législatives du 30 juin. A gauche, Raphaël Glucksmann valide le «Nouveau Front Populaire».

«J'ai procédé, avec LR et (leur) président Eric Ciotti, à l'investiture de 70 candidats», a déclaré Bardella sur BFMTV et RMC, affirmant vouloir obtenir la «majorité la plus large possible» face au «péril de l'extrême gauche». Il a qualifié l'accord d'«historique».
«Avec Les Républicains, on est d'accord sur un certain nombre de points: la défense du pouvoir d'achat, le rétablissement de l'ordre et de la sécurité et la réduction drastique des flux migratoires».

De son côté, l'ex-tête de liste PS-Place publique aux européennes, Raphaël Glucksmann a affirmé jeudi qu'«une union de la gauche» était «la seule manière» d'empêcher la victoire du Rassemblement national aux législatives.
9:58
Glucksmann soutient l'union de la gauche, mais écarte Mélenchon
Raphaël Glucksmann a affirmé jeudi qu'«une union de la gauche» était «la seule manière» d'empêcher la victoire du Rassemblement national aux législatives. Il valide ainsi le «Nouveau Front Populaire» malgré ses désaccords avec La France insoumise.

Disant comprendre que ceux qui ont voté pour lui aux européennes «puissent se sentir trahis», l'ex-tête de liste PS-Place publique aux européennes a assuré sur France Inter avoir «obtenu» des «engagements extrêmement clairs» sur l'Ukraine, l'Europe et le conflit israélo-palestinien. Il a aussi affirmé que le chef de file de cette union «ne sera pas Jean-Luc Mélenchon» car «il faut une personne qui fasse consensus».
Raphaël Glucksmann soutient une union de gauche.
Image: ats
22:07
Le «Nouveau Front populaire» annonce un «programme de gouvernement»
Les forces de gauche réunies dans le «Nouveau Front populaire» ont annoncé jeudi soir, après quatre jours de négociations, avoir «scellé» un «programme de gouvernement».

«Avec un programme de gouvernement et des candidatures uniques dans les circonscriptions de France, les forces politiques qui ont constitué le nouveau Front populaire donnent rendez-vous aux Françaises et aux Français les 30 juin et 7 juillet prochains», écrivent le PS, le PCF, les Ecologistes et LFI dans un communiqué commun.

«Nous avons réussi. Une page de l'Histoire de France s'écrit, s'est réjoui sur X le premier secrétaire du PS Olivier Faure alors que le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon a salué »un événement politique considérable en France".
epa11198894 French member of Parliament for Socialist party Olivier Faure attends the special congress gathering of both houses of parliament (National Assembly and Senate) in the palace of Versailles ...
Image: ats
20:41
Au G7, Macron «ne croit pas» être affaibli à l'international
Emmanuel Macron pense que les Français vont «intégrer les Jeux olympiques» de Paris «dans leurs choix» aux législatives anticipées et ne voudront pas de dirigeants qui ne «sont pas prêts du tout», a-t-il déclaré devant la presse, en marge du G7 près de Bari en Italie jeudi.

«Je pense qu'ils n'ont pas envie d'avoir des Jeux olympiques qui se présentent mal», a souligné le chef de l'Etat en vue des législatives du 30 juin et 7 juillet, achevées moins de trois semaines avant les Jeux Olympiques de Paris (26 juillet -11 août).

Les Français seront «attachés à ce qu'il y ait une continuité» avec des responsables «qui ont préparé ces Jeux» et «pas des gens qui ne sont pas prêts du tout», a-t-il insisté, en visant implicitement son adversaire du Rassemblement national, Jordan Bardella, qui pourrait accéder à Matignon.

Par ailleurs, Emmanuel Macron «ne croit pas» être affaibli à l'international, malgré la dissolution de l'Assemblée et cette menace de cohabitation avec l'extrême droite.
French President Emmanuel Macron, left, talks to U.S. President Joe Biden next to Canada's Prime Minister Justin Trudeau, center, as they gather to watch a skydiving demo during the G7 world lead ...
Image: ats
17:50
Crise à LR: recours en justice d'Eric Ciotti contre son exclusion
Le tribunal judiciaire de Paris examinera vendredi à 11H00 un recours déposé par Eric Ciotti contre son exclusion des Républicains après son alliance avec le Rassemblement national, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

Eric Ciotti, qui se considère toujours président du parti, contestera lors de cette audience publique la légalité de son exclusion décidée par le bureau politique de LR au vu de ses statuts -à condition de délivrer l'assignation à la partie attaquée d'ici à jeudi soir. Le tribunal devrait rendre sa décision quelques heures après l'audience.
16:38
Attal «favorable» à un débat télévisé avec Bardella et Mélenchon
Gabriel Attal s'est dit jeudi «favorable» à un débat télévisé avec le patron du RN Jordan Bardella et le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon pendant la campagne des élections législatives.

Ce débat «doit être entre ceux ou celles qui ont été plus ou moins identifiés comme potentiellement Premier ministre à l'issue de ces élections, M. Bardella pour l'extrême droite et ses alliés, M. Mélenchon pour l'extrême gauche et ses alliés, et puis moi-même pour ce bloc progressiste», a jugé le premier ministre lors d'un déplacement de campagne dans le Pas-de-Calais.
Gabriel Attal et plusieurs de ses ministres ont annoncé qu'ils se présenteront aux prochaines législatives (Archive).
Image: ats
12:57
Dissolution de l'Assemblée nationale: le licenciement de plus de 2000 collaborateurs
Après l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron suite à la victoire du Rassemblement national aux européennes, ce ne sont pas seulement les 577 députés qui sont touchés. Environ 2080 collaborateurs parlementaires se retrouvent également affectés. Leur travail, qui va de la gestion des plannings à la rédaction de discours, est brutalement interrompu. Pour les collaborateurs des députés Renaissance, l'avenir est particulièrement incertain, plongeant ces professionnels dans un profond désarroi.
12:57
Eric Ciotti se filme dans son bureau pour montrer son opposition à son exclusion
Le président Les Républicains, Eric Ciotti, exclu par un Bureau politique extraordinaire, continue de contester cette décision. Après avoir saisi le tribunal administratif, il se filme dans son bureau au siège des LR, indiquant en légende "Au travail pour la France". Cette vidéo postée sur X est accompagnée de la musique Destiny d'Amir Marcus et Séphan Fischer. Ce différend idéologique et juridique divise le parti, mettant en jeu l'avenir du parti après la volonté d'alliance de Ciotti avec le RN.

11:41
«Ensemble pour la République»: La nouvelle coalition présidentielle
La coalition présidentielle pour les élections législatives anticipées sera appelée «Ensemble pour la République», selon l'AFP. Un «comité stratégique» s'est réuni ce matin au siège de Renaissance, le parti présidentiel, avec la présence de Gabriel Attal, plusieurs ministres, et les chefs des partis de la majorité: Stéphane Séjourné (Renaissance), Edouard Philippe (Horizons), François Bayrou (MoDem), ainsi que Hervé Marseille (UDI).
11:39
Assurance chômage: Attal annonce un décret «d'ici au 1er juillet»
Le premier ministre Gabriel Attal a assuré, jeudi sur France Inter, que le décret réformant à nouveau l'assurance chômage, très contesté à gauche, serait bien pris «d'ici au 1er juillet». Cela en pleine campagne des législatives anticipées.

«Un décret sera pris d'ici au 1er juillet pour cette réforme qui reste sur des paramètres qui sont ceux qui avaient été mis en place lors de la réforme de 2019, et qui surtout s'accompagnent d'un meilleur accompagnement des chômeurs vers le retour à l'emploi», a affirmé le chef du gouvernement.
«C'est une réforme qui consiste à dire, il faudra travailler huit mois sur les 20 derniers mois pour toucher le chômage» (contre six mois sur 24 mois jusqu'ici), a-t-il expliqué.

Mercredi, Emmanuel Macron avait dit assumer la réforme de l'assurance chômage, tout en assurant être ouvert sur les «modalités».
10:34
Exclu, Ciotti débarque au siège du parti Les Républicains
Eric Ciotti se présente au siège des Républicains malgré son exclusion par le bureau politique, décision qu'il conteste fermement. Il a annoncé sur BFMTV avoir saisi le tribunal judiciaire en référé pour contester cette exclusion.
9:31
Ciotti affirme que «Les Républicains auront des ministres»
Ciotti affirme que «Les Républicains auront des ministres» si l'alliance avec le RN obtient une majorité absolue. Il se défend d'avoir fait des promesses spécifiques, mais insiste sur la participation de son parti au gouvernement. Contestant son exclusion de LR, il maintient sa présidence malgré l'opposition des cadres du parti. Eric Ciotti promet la présence de ministres LR dans un futur gouvernement, tout en étant poussé vers la sortie par la majorité des élus de son parti.
Eric Ciotti calls for an alliance with the RN NEWS Eric Ciotti calls for an alliance with the RN Paris 11 06 2024 MichaelBaucher Panoramic PUBLICATIONxNOTxINxFRAxBEL
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Eric Ciotti
9:30
Eric Ciotti menace de prendre des «actions judiciaires»
Eric Ciotti menace de prendre des «actions judiciaires» contre les obstacles à sa présidence. Sur France 2, il affirme que des actions pénales pourraient être lancées contre ceux qui utiliseraient des moyens illégitimes pour l'évincer. Contestant son exclusion de LR, votée par le bureau politique, il souligne que cette décision n'a pas de «valeur juridique» et assure qu'il usera de "toutes les voies de droit" pour défendre les responsabilités que lui ont confiées les militants.
9:29
Ciotti se bat contre son exclusion
Eric Ciotti remet en question la légitimité de la commission d'investiture des Républicains réunie mercredi. Il affirme sur France 2 que cette commission, comme le bureau politique ayant voté son exclusion, «n'a aucune réalité». Cette commission a reconduit tous les députés sortants de LR sauf Ciotti et sa proche Christelle D'Intorni, favorables à une alliance avec l'extrême droite. Ciotti insiste sur la nécessité d'une alliance entre Les Républicains, le Rassemblement national et d'autres pour mettre fin à l'impuissance actuelle.

6:55
Des milliers de manifestants anti-RN de nouveau dans la rue
De nouvelles manifestations contre l'extrême droite se sont déroulées mercredi soir dans plusieurs villes, dont Lille, Toulouse ou Lyon. Elles ont réuni au total plus de 11 700 personnes, dont beaucoup de jeunes, selon une source policière. «Tout le monde déteste Bardella», scandait la foule dans le centre de Lyon, où près de 4500 personnes ont manifesté contre le Rassemblement national (RN), selon la préfecture. «Il faut vraiment mobiliser tous les abstentionnistes», déclare Thomas Brun, 25 ans, qui se dit enclin à s'engager davantage politiquement - chez LFI - après le score du RN dimanche aux élections européennes.

«Je suis venue dans l'optique de montrer aux jeunes que leur avis compte», assure de son côté Zoé, 18 ans, qui a voté pour la première fois dimanche. Selon la préfecture, des manifestants ont fracturé deux portes d'un commissariat et vidé un extincteur à l'intérieur.

A Toulouse, plusieurs centaines de personnes sont descendues dans la rue, alors que la préfecture avait interdit toute manifestation. «RN=SouFrance», «Le Front populaire contre Hitler», «A bas le R-Haine» ou «La France Pétain plomb», pouvait-on lire sur des pancartes. «Il est important de montrer qu'on n'est pas d'accord avec l'extrême droite et que la jeunesse ne se désintéresse pas de la politique», explique Ninon, 21 ans.

Plus tard dans la soirée, après avoir sommé les derniers manifestants de se disperser, les policiers ont tiré des gaz lacrymogènes, alors que des feux de poubelle étaient allumés, a constaté l'AFP.

A Lille, quelque 700 manifestants, dont beaucoup de jeunes, ont rejoint le cortège hebdomadaire des sans-papiers, scandant entre autres «Bardella casse-toi, l'Assemblée n'est pas à toi!». Jef et Caroline, 48 et 40 ans, prévoient de manifester à nouveau samedi. «S'il faut venir tous les jours, on le fera», dit Caroline qui a manifesté pour la première fois en 2002 contre la présence de Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l'élection présidentielle. Selon elle, «tout ne peut pas reposer sur la jeunesse. C'est important de ne pas considérer que parce qu'on a notre confort du quotidien, on a mieux à faire».

Des rassemblements ont également eu lieu dans des plus petites communes. A Gignac, une commune de l'Hérault (sud) de près de 6000 habitants où le RN est arrivé en tête avec 38% des voix, un rassemblement contre l'extrême droite a réuni quelque 200 personnes. A Alençon, dans l'Orne, la manifestation a réuni une centaine de personnes.
22:18
Eric Zemmour annonce l'exclusion de Marion Maréchal de Reconquête
Eric Zemmour a annoncé mercredi soir sur BFMTV qu'il excluait Marion Maréchal de Reconquête, dénonçant la «trahison» de la tête de liste de son parti pour les élections européennes, qui «a toujours méprisé» son mouvement.

«Elle accomplit le bout du chemin, c'est-à-dire qu'elle s'exclut d'elle-même de ce parti qu'elle a toujours méprisé», a expliqué le candidat à la présidentielle de 2022. Marion Maréchal avait annoncé un peu plus tôt qu'elle appelait à voter pour les candidats soutenus par le Rassemblement national aux législatives du 30 juin et du 7 juillet.

19:08
Marion Maréchal critique Zemmour et soutient la coalition des droites
Marion Maréchal appelle à soutenir la coalition des droites entre le RN et LR, comme le rapporte Libération.

Lors d’une très brève prise de parole, la nièce de Marine le Pen a dénoncé l’attitude d’Eric Zemmour, président de Reconquête, qui «a décidé de lancer un maximum de candidats. C’est une triple faute contre le camp national».

Après un échec des négociations entre Reconquête et le RN, elle appelle «à soutenir les candidats uniques de la coalition des droites» entre le RN et LR, tout en actant «refuser le principe des candidatures de division».
epa11389714 Electoral posters showing Marion Marechal Le Pen of the far-right 'Reconquete', Manon Aubry of French left-wing 'La France Insoumise (LFI)' and Marine Le Pen and Jordan ...
Image: ats
17:04
Annie Genevard devient présidente par intérim du parti LR
Annie Genevard devient présidente par intérim des Républicains après que Ciotti a été viré par le bureau politique du parti.

17:01
Eric Ciotti exclu des Républicains après sa proposition d'alliance avec le RN
Le patron des LR Eric Ciotti est exclu «à l'unanimité» des Républicains, selon un communiqué publié à l'issue du bureau politique du parti convoqué en urgence. Cette décision fait suite à sa décision de s'allier avec le Rassemblement national pour les élections législatives anticipées.

«Je suis et reste le président de notre formation politique, élu par les adhérents», réagit l'ex-président après la décision du bureau politique qui a décidé de son exclusion. La droite se déchire bel et bien.
15:59
Contre-bureau des Républicains
Un bureau exécutif extraordinaire des Républicains se réunit au Musée social, situé rue Las-Cases (VIIe), à 500 m du siège du parti, malgré le désaccord du président Eric Ciotti qui leur a fermé les portes du siège.
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Eric Ciotti

Gérard Larcher, Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez et d'autres cadors des Républicains sont donc sur place pour un bureau politique sans leur président Eric Ciotti.
15:53
Bardella salue le courage de Ciotti
Jordan Bardella, figure du Rassemblement National, salue le «courage» d'Eric Ciotti pour son alliance avec son parti, affirmant que cette union est largement soutenue par les électeurs LR. Il qualifie Ciotti de «seul légitime» dans ces contestations et considère l'alliance nécessaire contre «le péril de l'extrême gauche». Critiquant Emmanuel Macron, Bardella estime que le président «perd ses moyens» et n'est plus «le président de tous les Français».

15:48
49,3 millions d’électeurs pour le premier tour des législatives anticipées
49,3 millions de Français pourront voter au premier tour des élections législatives, dont 1,6 million inscrits sur les listes consulaires et 222 000 en Nouvelle-Calédonie.
A boy helps to cast a vote in Henin-Beaumont, northern France, Sunday, April 24, 2022. France began voting in a presidential runoff election Sunday with repercussions for Europe's future, with ce ...
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13:04
Macron termine sa conférence de presse
Le président français s'est exprimé pendant près d'une heure et demie. Il a d'abord fait son bilan avant de répondre aux questions des journalistes. Il s'est montré très critique contre les extrêmes qu'ils soient de gauche comme de droite.
13:04
Macron tend la main aux électeurs de Glucksmann
Interrogé sur une éventuelle consigne de vote en cas de duel entre le «Front populaire» et le RN au second tour des législatives, Emmanuel Macron demande comment les électeurs qui ont suivi le socialiste Glucksmann aux européennes peuvent soutenir «une alliance donnant 300 circonscriptions à la France insoumise?». Il salue la campagne «respectable» du PS aux européennes, critiquant ainsi implicitement cette alliance.

Selon BFMTV, les circonscriptions pour la France insoumise dans cet accord sont moins nombreuses que le chiffre avancé par le chef d'Etat français.
13:00
Macron est toujours en direct et pendant ce temps...
Le PS confirme un «accord de principe» sur la répartition des circonscriptions à gauche. L'accord à gauche répartit presque toutes les 577 circonscriptions entre les partis. Selon un député LFI, les Insoumis présenteront 230 candidats, les socialistes 170, les écologistes environ 90 et les communistes 50.
12:58
Macron sur Mélenchon
En cas de majorité de l'union à gauche, qui siégera comme premier ministre? Macron perçoit dans ce rôle Jean-Luc Mélenchon. Raphaël Glucksmann, patron du PS, a proposé Laurent Berger.
12:55
Oui, Bardella peut être premier ministre
«Jordan Bardella sera-t-il nommé premier ministre?», demande un journaliste au président français. Macron se réfère à la Constitution. En cas de majorité RN à l'Assemblée, le président affirme respecter la Constitution pour la nomination du premier ministre, impliquant potentiellement Bardella.
12:49
Emmanuel Macron affirme avoir confiance
Concernant les prochaines élections Emmanuel Macron affirme avoir confiance en ses compatriotes: «Je n’ai pas l’esprit de défaite». Il pense que les Français distinguent ce qui est cohérent et reste optimiste: «Je crois dans la démocratie et le retour au peuple.»
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12:45
Macron reconnaît une «responsabilité» de n'avoir pas répondu suffisamment aux «inquiétudes». Il admet que s'il avait tout bien fait, il n'aurait pas procédé à la dissolution. Le président souligne son manque de réponse «rapide et radicale» aux problèmes, notamment le malaise en milieu rural et le sentiment de déclassement dans certains quartiers.
12:45
Macron défend sa réforme du chômage
Macron «assume» la réforme de l'assurance chômage et la juge «importante». Il défend cette réforme comme «bonne» et insiste sur la nécessité de lutter contre l'inactivité.
12:39
Les joies du streaming...
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12:34
Macron refuse de «donner les clés du pouvoir à l'extrême droite»
Emmanuel Macron a martelé qu'il refusait de «donner les clés du pouvoir à l'extrême droite» en 2027. Il veut un gouvernement capable de répondre aux urgences et à la colère des citoyens. «Si les gens craignent un premier ministre d'extrême droite à Matignon, le sursaut, c'est pour maintenant!» a-t-il déclaré.
12:21
Pendant ce temps... le président des Républicains ferme le siège du parti
Alors que Marcon est en direct sur les chaînes de TV, le président du parti a décidé de fermer le siège des Républicains, demandant à tous les employés de quitter les lieux à midi. «Il est devenu fou, moi je reste», commente un cadre important.
12:12
Macron souhaite «rouvrir la question des grandes régions»
Emmanuel Macron souhaite «rouvrir la question des grandes régions». Il envisage un nouveau découpage des régions françaises réformées depuis le 31 décembre 2015. Le président propose de laisser les Français décider s'ils souhaitent revenir sur ce sujet.
12:11
«C'est absurde»: Macron assure ne pas démissionner
12:09
Macron ouvre la porte à tout le monde sauf aux extrêmes
Emmanuel Macron a exprimé sa volonté d'ouverture dans la construction du programme d'une éventuelle nouvelle majorité. Il s'est dit prêt à intégrer les propositions des sociaux-démocrates, de la droite de tradition gaulliste et des écologistes. Macron souhaite accueillir ceux qui ne se reconnaissent pas dans les alliances avec les extrêmes, pour refonder la vie politique.
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12:05
Macron sur la retraite à 64 ans: «pas de miracle»
Emmanuel Macron critique les propositions de l'extrême gauche et de l'extrême droite visant à revenir sur la retraite à 64 ans. «Revenir sur la réforme des retraites mène soit à l'appauvrissement des salariés, soit à celui des retraités», déclare-t-il. Selon lui, «il n’y a pas de recette miracle» sans «allongement du temps de travail».
11:48
Laïcité et intégration
Emmanuel Macron estime que la laïcité «n'est pas bien appliquée» et propose de rouvrir le débat. Il souhaite également développer des «rites républicains» et réduire les discriminations pour favoriser une «véritable intégration», actuellement défaillante.
11:47
Macron promet «plus de fermeté, plus d'autorité»
Emmanuel Macron assure que la France doit agir avec «plus de fermeté et d'autorité». Il cite la réduction de l'immigration illégale et une réponse plus ferme à la violence des mineurs, avec des peines plus rapides et lisibles. Il critique l'extrême gauche pour son «communautarisme et laxisme» et l'extrême droite pour vouloir sortir de la République.
11:42
Emmanuel Macron défend le «bloc républicain»
Emmanuel Macron défend le «bloc républicain» centré sur des valeurs comme le renforcement du service public, le plein-emploi, l'unité nationale, le soutien à l'Ukraine et la construction européenne. Il appelle à élargir la majorité en s'alliant avec des socio-démocrates, radicaux, écologistes et gaullistes.
11:40
Macron estime que les masques tombent
Le président français estime que depuis dimanche, «les masques tombent» et une «bataille des valeurs» émerge, notamment en réponse à la proposition de Ciotti d'une alliance LR-RN. Selon lui, la dissolution est une «épreuve de vérité» entre ceux qui privilégient leurs intérêts personnels et ceux qui veulent faire prospérer la France.
11:37
Macron attaque la gauche sur l'antisémitisme
Emmanuel Macron accuse l'extrême gauche de s'être «rendue coupable d'antisémitisme» durant la campagne des européennes, sans préciser ses propos.
11:37
La dissolution permet «la clarification»
«Le vote aux élections européennes a été clair», affirme Emmanuel Macron en conférence de presse. Selon lui les Français ont «exprimé leurs inquiétudes sur les questions de société, immigration, pouvoir d'achat». Il estime qu'il est impossible de rester indifférent face à ces préoccupations. Macron justifie sa décision de dissolution de l'Assemblée nationale en déclarant que seule cette mesure permet «la clarification des choses».
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11:33
Macron a commencé à parler
Emmanuel Macron accuse LFI de semer un «désordre constant» et «inquiétant» à l'Assemblée nationale. Il souligne que la majorité relative a rendu l'action gouvernementale moins claire et entravé la formation de coalitions durables. Le président reconnaît également la victoire du Rassemblement national aux européennes comme un fait politique significatif.
11:30
Macron est arrivé
Le président français est arrivé pour commencer sa conférence de presse. Il y a eu quelques problèmes au démarrage de la vidéo...
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11:07
Macron est en retard
Le président français, qui devait prendre la parole à 11h, se fait attendre...
11:03
Macron en direct à 11h
La conférence de presse d'Emmanuel Macron se tiendra à 11h au Pavillon Cambon Capucines à Paris, pour une durée d'environ 90 minutes. Gabriel Attal et une vingtaine de ministres seront présents, ainsi que les chefs de partis de la coalition, selon BFMTV. Le président abordera son choix de dissoudre l'Assemblée après l'échec de la liste Renaissance aux élections européennes et le score historique du Rassemblement national. Il évoquera le «réarmement des grands services publics», «le réarmement moral du pays» et son «projet d'émancipation» pour les 2 ans et demi à venir.
22:43
Accord LR-RN: le RN investira «des dizaines» de «candidats LR»
Le RN investira «des dizaines de candidats LR, dont des (députés) sortants», a indiqué mardi le parti à l'AFP, précisant les termes de l'accord entre les deux formations annoncé plus tôt par Jordan Bardella.

«J'ai lancé un appel à toutes les formations politiques patriotes autour du Rassemblement national qui veulent venir contribuer à cette majorité de redressement» et «je me félicite qu'Eric Ciotti (y) ait répondu favorablement», avait poursuivi le président du RN en disant avoir «évidemment échangé» avec le patron de LR et «continuer de le faire dans les prochaines heures, et sans doute un peu plus tard dans la nuit».

Eric Ciotti, qui juge son parti «trop faible» pour s'opposer à la Macronie et au RN, a estimé que la droite avait besoin de cet accord pour préserver sa représentation à l'Assemblée nationale, qui compte aujourd'hui 61 députés, dont beaucoup ne sont pas sur sa ligne.

21:17
Pas d'accord trouvé entre le RN et Reconquête
Les «discussions» entre Reconquête et le Rassemblement national «n'ont pas abouti», a reconnu mardi Jordan Bardella, au lendemain d'une rencontre avec Marion Maréchal, le patron du RN jugeant que les «positions» d'Eric Zemmour «ont rendu les conditions d'un accord caduques».

Marion Maréchal avait déploré mardi après-midi dans un communiqué «un changement de position» du RN qui «refuse le principe même d'un accord».

La veille, l'entretien qu'elle avait réclamé dès dimanche soir avec Jordan Bardella et Marine Le Pen avait pourtant été jugé «positif», d'autant que le président du Rassemblement national avait affirmé à son issue que sa concurrente d'hier aux européennes avait «fait preuve durant toute la campagne d'une démarche et d'une attitude constructives à l'égard du Rassemblement national». Mais, avait-il déjà glissé, ça n'a «pas été le cas d'Eric Zemmour».

«J'estime que les invectives qu'il a multipliées à l'égard du Rassemblement national et les positions parfois très excessives qu'il peut prendre ont rendu les conditions d'un accord caduques», a confirmé mardi soir Jordan Bardella au JT de 20H de France 2.
Le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella a appelé les Républicains "à cesser d'être la béquille politique d'Emmanuel Macron".
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19:40
Gabriel Attal et plusieurs ministres candidats aux législatives
Gabriel Attal et plusieurs de ses ministres vont se représenter aux élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet, ont annoncé les intéressés sur les réseaux sociaux.

Le premier ministre va se représenter dans sa circonscription, la dixième des Hauts-de-Seine, à Vanves, où il avait été élu avec 59,85% des voix en 2022, contre la socialiste Cécile Soubelet (40,15%), selon son entourage. Il a fait cette annonce aux députés Renaissance mardi matin, devant lesquels il a promis d'aller «au bout de (son) devoir» pour «éviter le pire» à ces élections, où l'extrême droite est donnée favorite.

Parmi ses prédécesseurs à Matignon, Elisabeth Borne va se représenter dans la 6e circonscription du Calvados. Edouard Philippe patron d'Horizons et maire du Havre (Seine-Maritime), a dit sur RTL qu'il allait «défendre les candidats Horizons».
Newly appointed Prime Minister Gabriel Attal is welcomed by outgoing French prime minister Elisabeth Borne before the handover ceremony, Tuesday, Jan. 9, 2024 in Paris. Gabriel Attal was named as Fran ...
Image: ats
15:17
Les Républicains se déchirent
Jean-François Copé, un monument de la politique française, maire de Meaux, critique Eric Ciotti en disant qu’il «ne parle qu’en son nom» au sujet de l'alliance LR-RN et demande qu'il démissionne immédiatement.



Le contexte 👇
Pierre-Henri Dumont, secrétaire général adjoint des Républicains, assure que «la droite gaulliste, celle de Chirac et Sarkozy, n’est pas celle de la compromission». Il critique ceux qui «sont prêts à tout pour sauver leurs indemnités» et appelle à la démission d'Eric Ciotti, qui a proposé une alliance LR-RN pour les législatives.

14:13
Macron sera en direct ce mercredi
Annoncée initialement pour mardi après-midi, la conférence de presse d'Emmanuel Macron en vue des législatives aura finalement lieu mercredi à la mi-journée. Son entourage juge que la «clarification» voulue par le président français parmi les forces «républicaines» et «extrémistes» est à l'oeuvre.
Ce rendez-vous avec les journalistes interviendra trois jours après l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale et la convocation d'élections législatives anticipées.

Cette nouvelle donne crée d'énormes tensions à droite, où le RN promet de «soutenir» des candidats LR, comme à gauche où l'ombre de Jean-Luc Mélenchon plane sur le nouveau «front populaire».
14:10
Eric Ciotti face aux critiques des LR
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Devant le siège des Républicains, Ciotti affirme qu’il ne démissionnera pas malgré les critiques sur l'alliance avec le RN. Il insiste sur sa fidélité à ses convictions et son soutien des militants, soulignant que son mandat dépend d’eux seuls:
«Ce qui compte, ce sont les militants.»
14:07
L'ex-LR Rachida Dati déplore «un coup terrible» à la droite républicaine
La ministre de la Culture Rachida Dati, exclue des LR pour avoir rejoint le gouvernement, a dénoncé avec l'alliance au RN un «coup terrible à ma famille politique, la droite républicaine».

14:06
Laurent Wauquiez annonce sa candidature aux législatives
«J’ai pris la décision d’être candidat pour porter la voix de la Haute-Loire», a indiqué le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez.
Laurent Wauquiez veut "mettre en place un système très simple - pas de paperasse -, rapide et qui soit opérationnel tout de suite" (archives).
Image: ats
14:04
Emmanuel Macron exclut de démissionner
Emmanuel Macron exclut de démissionner de la présidence, «quel que soit le résultat», à l'issue des élections législatives, apprend-on ce mardi. Le chef de l'État répond à l'hypothèse selon laquelle le RN demanderait son départ en cas de victoire aux législatives.
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