On a été piégé par le marketing des chips à l'Aromat
Dans la catégorie «sujets d’actu qui changent la face du monde», voici le test des chips à l’Aromat par la rédaction de watson.
A peine ouvert, le sachet déclenche une petite agitation façon basse-cour en ébullition dans la rédaction. Les mains se tendent en direction du précieux (et unique!) paquet reçu pour l’occasion. Et force est de constater que lorsqu’il s’agit de goûter de la bouffe «pour le travail», les journalistes sont bien plus motivés que quand le rédacteur en chef cherche «un volontaire pour une relecture?».
Madeleine de Proust
A l’odeur déjà, on reconnaît la signature du condiment à dix mètres. Ce parfum légèrement aillé, un chouïa herbacé, qui rappelle les pâtes de fin de mois. Et en bouche?
Dans la rédaction, les avis fusent. Certains y voient la chips idéale pour un apéro Swiss made, d’autres sont «déçus en bien» comme on dit chez nous. Tout le monde s’accorde au moins sur un point: c’est une réussite marketingement parlant, presque trop logique. Marier une institution helvétique à une autre institution helvétique? Presque de la triche. «De quoi leur faire de la pub gratuite…», souffle un chef. Oui, bon...
Puisque le reproche est lancé, autant y aller jusqu’au bout: sachez que cette saveur particulière, en vente dès ce lundi 1er décembre, est produite en édition limitée. Dépêchez-vous.
