Suisse
Union Européenne

L'accès au marché européen coûtera très cher pour la Suisse

L'accès au marché européen coûtera très cher pour la Suisse

Ignazio Cassis a déclaré que l'accès au marché européen coûtera environ un milliard de francs par an. Si les entreprises suisses peuvent vendre sur le marché de l'UE, cela créera de la richesse.
13.06.2025, 19:1313.06.2025, 19:13
Plus de «Suisse»

«L'accès au marché intérieur n'est pas gratuit», a déclaré Ignazio Cassis ce vendredi devant la presse. Outre la contribution fixe à la cohésion de 350 millions de francs à partir de 2030, il faut ajouter les coûts annuels des programmes de recherche de l'UE (environ 650 millions de francs) et d'échange d'étudiants Erasmus (environ 165 millions de francs).

Dès lors, l'accès au marché européen coûtera environ un milliard de francs par an, a déclaré le conseiller fédéral. Cet investissement en vaut la peine. Si les entreprises suisses peuvent vendre sur le marché de l'UE, cela créera de la richesse.

Mais la Suisse devrait investir même sans le paquet d'accords avec l'UE, «simplement avec moins de résultat», a ajouté le ministre.

En réponse aux critiques de l'UDC, il a en outre précisé que la Suisse n'était pas obligée de reprendre automatiquement le droit européen. «Nous voulons reprendre le droit là où c'est utile pour pouvoir participer au marché intérieur de l'UE». (ag/ats)

Crash aérien en Inde
1 / 9
Crash aérien en Inde
source: sda / siddharaj solanki
partager sur Facebookpartager sur X
Ce petit garçon va à l'école en chevauchant un cochon
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
8 Commentaires
Votre commentaire
YouTube Link
0 / 600
8
L’Uni de Genève s'en prend au pouvoir de son puissant syndicat étudiant
Entre le rectorat de l'Université de Genève et le syndicat CUAE, les relations sont souvent orageuses. watson révèle la façon dont la direction a limité les prérogatives de l'organisation étudiante, connue pour son militantisme.

Un membre du personnel enseignant parle d’«épuisement institutionnel» à propos des relations entre l’Université de Genève (Unige) et le syndicat CUAE, de tendance gauche radicale. Organisation défendant les intérêts du corps estudiantin de l’Unige, la Conférence universitaire des associations d'étudiant.e.x.s a fini par «exaspérer» la direction universitaire, affirme la personne précitée, qui souhaite garder l’anonymat.

L’article