français

Tout Rome essayait de comprendre le mystère de la jambe amputée avec le tatouage «Aujourd'hui est un beau jour pour mourir» – maintenant règne la certitude macabre.

Tout Rome essayait de comprendre le mystère de la jambe amputée avec le tatouage «Aujourd'hui est un beau jour pour mourir» – maintenant règne la certitude macabre.

14.09.2015, 12:52
Mehr «français»

Le mystère à Rome d'une jambe retrouvée amputée avec le tatouage «Aujourd'hui est un beau jour pour mourir» est résolu: D'après le rapport des médias, la police a trouvé l'homme à qui appartenait la jambe. C'était un Hooligan plusieurs fois punis pour toxicomanie.

Le ministère public a entrepris des recherches avec des soupçons de meurtre avec préméditation: il n'y a aucune trace du propriétaire de la jambe.

Le journal «Il Messaggero» a alors dédié une page entière au Hooligan de 36 ans Gabriele di Ponto. Il décrit en détail sa vie, qui connut de nombreux échecs, entre toxicomanie et trafic de drogues, séjours carcéral, vols et une passion pour les Ultras de Lazio Rome, dont beaucoup de fans sont fascistes, mais celui-ci avait l'air d'avoir surmonté tout ça.

Des proches ont reconnu la jambe Mardi grâce au tatouage «Aujourd'hui est un beau jour pour mourir». Selon les premières constatations de l'enquêteur, la jambe aurait pu être amputée avec une scie électrique.

Disparu depuis fin juillet

D'après un reportage du journal «Gazzetta dello Sport» il pourrait s'agir d'un meurtre dans le milieu de la drogue. Par conséquent l'hypothèse la plus vraisemblable est que le ou les meurtrier(s) ont séparé ses membres après le meurtre et les ont apportés dans différents endroits. Di Ponto a disparu depuis fin juillet.

Di Ponto boitait suite à une opération d'une blessure par balle. En raison de cet handicap, les policiers l'ont reconnu rapidement, lors d'un cambriolage – masqué et armé d'une hache.

Depuis environ deux ans di Ponto a essayé de se tenir loin des drogues.  À cela s'ajoute son mariage avec une italo-tunisienne de 24 ans en mai.  Mais seulement un mois après la mariée décampe, parce qu'il la battait, comme l'explique son père au «Messagero». «Je n'ai encore jamais vu un type aussi méchant», raconte le père de la femme et propriétaire d'un bar (sda/afp)

Si tu as aimé cet article, n'oublie pas de liker la page Facebook de watson! (et de partager l'article avec tes amis!). Merci 💕

DANKE FÜR DIE ♥
Würdest du gerne watson und unseren Journalismus unterstützen? Mehr erfahren
(Du wirst umgeleitet, um die Zahlung abzuschliessen.)
5 CHF
15 CHF
25 CHF
Anderer
Oder unterstütze uns per Banküberweisung.
Themen
Das könnte dich auch noch interessieren: