Une nouvelle révélation bizarre dans l'affaire du «kisscam» de Coldplay
Les détails croustillants se suivent et ne se ressemblent pas dans le feuilleton (un peu trop) long de l'été: le «kisscam» de Coldplay. Aux dernières nouvelles de cette trépidante saga qui a vu tomber le patron de la société technologique Astronomer après la révélation de sa liaison avec sa directrice RH, en plein concert de Coldplay à Boston, de nouvelles révélations ont émergé dans la presse britannique cette semaine.
De quoi complexifier un peu plus ce dossier aux relents de Top Model.
Selon une source dans le Times, contrairement à ce qu'a affirmé le mari de Kristin Cabot (le vrai) tout dernièrement dans la presse, il ne se trouvait absolument pas en voyage d'affaires au Japon. Non. Andrew Cabot se trouvait, en fait, précisément au même endroit que son épouse, de laquelle il était séparé depuis peu.
«Ils étaient séparés et vivaient dans deux lieux différents depuis plusieurs semaines. C'était amical. Kristin était dans la loge avec des collègues, même si ce n'était pas une loge de l'entreprise, et Andrew était là aussi avec une femme qui est maintenant sa petite amie», poursuit ladite source.
Quand on saura tout.
Mais alors, si Kristin était vraiment «célibataire», pourquoi s'est-elle détournée si rapidement lorsque la caméra a zoomé sur son visage et celui de son amant, attirant l'attention du chanteur de Coldplay, Chris Martin, et du monde entier?
«Ce n'est pas qu'elle a été surprise en flagrant délit de tromperie, ce n'était pas une liaison», poursuit l'informateur anonyme dans le Times. «Elle reconnaît pleinement que [l'étreinte] était inappropriée, mais c'était la seule chose inappropriée qu'elle ait faite.»
Pour rappel, Astronomer, qui aide les entreprises à se développer grâce à l'intelligence artificielle, a annoncé la démission de son PDG Andy Byron le 19 juillet. Quelques jours plus tard, Kristin Cabot a également démissionné.
Depuis, l'ancienne directrice RH s'est retirée de la vie publique. Face à l'ampleur des réactions que son «kisscam» viral a suscité, elle a à peine quitté son domicile familial du New Hampshire pendant des semaines, notamment dans le but de protéger ses enfants.
Désormais sans emploi, Kristin Cabot aurait reçu des centaines de menaces de mort depuis l'incident, selon le Times. «Le fait est qu'une telle chose pourrait arriver à n'importe qui, elle n'a simplement pas eu de chance», conclut la source. «Elle n'arrivait pas à croire que cette histoire puisse avoir une telle portée internationale.»
On peut difficilement lui donner tort. (mbr)
