«C'est pas une station de ski, Crans-Montana, c'est une atrocité recouverte de béton et de riches comme Messi qui se promènent en combis Moncler. Si t'aimes vraiment la poudreuse, tu vas à Verbier, quoi...»
Marie-Adèle n'aime pas être obligée d'aller à Crans. Tout y passe: l’inclinaison de la montagne, en passant par l’architecture et les galeries d'art. Manque de bol, c'est là qu'elle a un chalet. Pauvre petite. Elle va désormais devoir se promener avec une cagoule si elle ne veut pas se prendre un coup de sac Chanel dans la tronche.