Société
Cinéma

Le cul de Barry Keoghan mérite toute notre attention

L'acteur irlandais Barry Keoghan a remontré ses fesses pour le 30e numéro annuel du magazine Vanity Fair.
Ce n'est pas la première fois que l'acteur irlandais de 31 ans nous offre sur un plateau sa superbe paire de fesses. Et on n'en a jamais assez.vanity fair/watson

Ce cul mérite toute notre attention

Après avoir affriolé le monde en se trémoussant à poil dans un manoir de la campagne anglaise, l'acteur irlandais Barry Keoghan a remis le paquet (enfin, si on veut) cette semaine pour le numéro spécial de Vanity Fair. Et on a envie de dire: ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Encore!
22.02.2024, 12:1122.02.2024, 12:26
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Par une soirée de l'automne 2023, dans la morosité de novembre et la tiédeur de notre canapé, peut-être avez-vous été happé par Saltburn, ce film bizarroïde, coloré et joyeusement immoral qui tourne en ridicule l'aristocratie britannique. Une satire dont la toute dernière scène, forcément, ne pouvait que vous titiller, vous émoustiller, vous exciter, vous fasciner, vous provoquer, vous déranger, vous indigner, vous offusquer... Bref! Tout. Sauf vous laisser indifférent.

Dans l'ultime scène du drame, l'acteur Barry Keoghan, 31 ans et autant d'abdominaux taillés au cutter, ne se contente pas de nous servir une chorégraphie entraînante sur la chanson de Sophie Ellis-Bextor, Murder On The Dancefloor. C'est avant tout cinq minutes de sa plastique de statue grecque qui se déhanche avec aisance qu’il offre en pâture à nos yeux éhabis. Et, surtout, un cul.

Un petit cul rebondi et appétissant comme un abricot du Valais. Du genre à nous faire monter les larmes aux yeux et à nous donner envie de tomber à genoux pour remercier le Ciel d'avoir conçu les Hommes (c'est pas coutume). Un petit cul parfait, pimpant, agile aussitôt viral, à l'origine d'une vague de mèmes, vidéos et tendances TikTok qui ont propulsé son propriétaire à un niveau de renommée mondiale sans précédent - ainsi que, pour la forme, à une bonne place en couverture du dernier numéro de Vanity Fair, aux côtés d'une belle brochette de coqueluches du cinéma du moment.

Il a remis ça

Chaque année, à l'approche des Oscars, c’est le même rituel: le magazine américain entasse la crème de la crème de l'industrie cinématographique, pimpants en robes haute-couture et costards Dior, pour la couverture de son numéro spécial Hollywood. Et comme un plaisir n'arrive jamais seul, pour cette édition, Vanity Fair a joint l’utile à l’agréable en partageant sur les réseaux sociaux une version animée de sa couverture. 48 secondes de bonheur que nous devions vous partager ici. Surtout, regardez jusqu'au bout.

Vidéo: watson

Après un Bradley Cooper fringuant en costume, une Natalie Portman brillante en paillettes, une Jodie Comer clinquante en doré ou encore une Jenna Ortega voluptueuse en rose pâle... Oui! Le revoilà! THE cul! Notre coup de coeur irlandais. Sans cravate. Ni rien du tout. Juste un sourire malicieux, un clin d'oeil (un vrai) à la scène virale de Saltburn et, algorithme oblige, une paire de mains en coupe pour préserver un semblant de pudeur.

Miam miam miam.
Miam miam miam.image: vanity fair

Evidemment, il n'en fallait pas plus pour que les âmes les plus prudes hurlent au scandale.

«Normaliser la nudité au travail n’est peut-être pas un progrès»
Le Times, dans un éditorial ronchonnant.

Buzz oblige, l'interview du prodige irlandais dans les pages de Vanity Fair pouvait difficilement tourner autour d'autre chose que de son incroyable paire de fesses. D'ailleurs, l'acteur s'en amuse: «Bien sûr que je danse nu chez moi! Tout le monde le fait, mec. Tout le monde chante sous la douche ou agit bêtement, quand il est tout seul et qu'il ressent cette liberté.»

Et lorsque Vanity Fair lui demande comment il juge sa performance dans le film, le comédien est d'une franchise délicieuse.

«Je suis assez impressionnée par la façon dont j'ai bougé. J'étais là: Wow»
Nous aussi, Barry, nous aussi.

En parlant de ça, Barry Keoghan se sent-il «objectivé», après que l'humanité ait fait grand cas de son postérieur? Eh bien, pas du tout. «Si vous regardez le cinéma européen, vous verrez qu'il y a beaucoup de scènes de nudité, et ce n'est pas très grave. Je pense que c'est véritablement de l'art. Et aussi une vulnérabilité. Vous vous mettez en scène dans votre état le plus vulnérable.»

«C'est magnifique à regarder. Je ne dis pas que c'est à cause de mon corps, mais c'est libérateur de voir ce corps bouger comme il le fait. C'est comme une peinture en mouvement, presque»
Barry Keoghan, dans Vanity Fair.

On ne pourrait pas être plus d'accord. Et même si notre chouchou aux fesses rebondies a quand même tenu à enfiler un costard pour la version imprimée, on ne saurait que trop le remercier pour cette apparition fugace dans notre flux Instagram. De quoi rendre ce sinistre jeudi pluvieux un poil plus affriolant.

L'acteur a fait la couverture du numéro annuel très convoité de Vanity Fair Hollywood (LR) avec une belle brochette de confrères et consoeurs, dont Bradley Cooper, Natalie Portman, Pedro Pascal, Colma ...
L'acteur a fait la couverture du numéro annuel très convoité de Vanity Fair Hollywood (LR) avec une belle brochette de confrères et consoeurs, dont Bradley Cooper, Natalie Portman, Pedro Pascal, Colman Domingo, Jodie Comer, Lily Gladstone, Greta Lee, Charles Meltonda'vine Joy Randolph et Jenna Ortega.image: vanity fair
Ce quoi ce trend de riches qui dansent dans leur manoir?
Video: watson
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