Amanda Anisimova (no 8) fera figure d'outsider face à Aryna Sabalenka (no 1) samedi en finale de l'US Open (dès 22h heure suisse). Mais l'Américaine a les moyens de déjouer les pronostics.
Tenante du titre à Flushing Meadows et double lauréate à Melbourne (2023, 2024), Aryna Sabalenka part en quête d'un quatrième trophée en Grand Chelem. Elle dispute sa troisième finale consécutive à l'US Open, et la troisième aussi cette année dans un Majeur.
Battue au stade ultime à Melbourne - par Madison Keys - et à Roland-Garros - par Coco Gauff - en 2025, la Bélarusse tentera samedi de sauver sa saison de Grand Chelem et de faire honneur à son statut de no 1 mondial. Mais sa tâche s'annonce délicate face à une Amanda Anisimova en pleine confiance.
Humiliée 6-0 6-0 par Iga Swiatek deux mois plus tôt en finale de Wimbledon, Amanda Anisimova a démontré toute sa force de caractère en écartant la Polonaise en quart de finale à New York. Et elle a su renverser une situation compromise jeudi en demi-finale face à l'ex-no 1 mondial Naomi Osaka, qui a mené 7-6 6-5.
L'Américaine de 24 ans peut croire en son étoile. Elle mène ainsi 6-3 dans son face-à-face avec Aryna Sabalenka. Leur dernier duel s'est d'ailleurs également joué dans le cadre d'un tournoi majeur, en demi-finale du récent Wimbledon, où Amanda Anisimova s'était imposée 6-4 4-6 6-4.
Murat Yakin s'est logiquement montré satisfait du succès souverain de la Suisse, victorieuse du Kosovo vendredi à Bâle (4-0). Le sélectionneur a salué la prestation d'ensemble de ses joueurs.
"C'était une belle performance d'équipe. Nous avons su imprimer notre rythme dès l'entame et continuer de mettre la pression tout au long de la première mi-temps", a relevé Yakin en conférence de presse d'après-match.
La semaine de préparation légèrement tronquée, la faute à certains transferts tardifs en toute fin de mercato, n'a finalement eu aucune incidence. "Nous avons eu suffisamment de temps pour nous préparer. L'équipe se connaît bien et je ne voulais pas changer grand-chose afin de conserver l'harmonie des derniers matches", a ajouté le Bâlois.
"Muri" a également souligné le bon travail défensif de ses joueurs, qui "ont bien empêché le Kosovo de jouer", même si Nico Elvedi, qu'il avait décidé d'aligner à côté de Manuel Akanji en défense centrale, a parfois manqué d'assurance dans ses duels avec les attaquants kosovars.
Trois des quatre buts marqués par la Suisse ont par ailleurs été inscrits sur des attaques rapides. "Notre jeu vertical a été mis en valeur, nous avons su trouver les bonnes ouvertures pour nous créer des occasions", a relevé Yakin.
Seul petit bémol, la Suisse aurait peut-être pu aggraver encore le score lors d'une deuxième période qu'elle s'est contentée de contrôler, afin d'améliorer une différence de buts qui pourrait faire la différence au moment de faire les comptes. Il faudra également surveiller l'état de santé de Ricardo Rodriguez, sorti par précaution à la pause après qu'il a ressenti une légère douleur musculaire, selon Yakin.
Il n’y a pas eu de miracle pour Novak Djokovic à New York. L’homme aux 24 titres du Grand Chelem ne jouera pas dimanche la finale de l’US Open.
Il s’est incliné 6-4 7-6 (7/4) 6-2 devant Carlos Alcaraz dans une demi-finale presque à sens unique même s’il a fait un moment la course en tête dans la deuxième manche. Comme à Paris et à Wimbledon où il s’était incliné devant Jannik Sinner au même stade de la compétition, Novak Djokovic a pu mesurer le fossé qui le sépare désormais des deux meilleurs joueurs du monde. Carlos Alcaraz, contre lequel il restait sur deux victoires, et Jannik Sinner évoluent à un niveau devenu inaccessible pour le Serbe.
Titré à New York en 2022, Carlos Alcaraz atteint la finale sans avoir égaré le moindre set en six rencontres. Dimanche, il sera opposé au vainqueur de la rencontre entre Jannik Sinner et l’étonnant Felix Auger-Aliassime avec un double enjeu : une sixième couronne du Grand Chelem et la place de no 1 mondial.
Le Maroc s'est qualifié pour le Mondial-2026 après sa large victoire 5-0 contre le Niger vendredi à Rabat. Il est devenu ainsi la première sélection africaine à valider son billet pour la compétition.
Le demi du PSV Eindhoven Ismael Saibari, auteur d'un doublé (29e et 38e), l'attaquant Ayoub El Kaabi (Olympiakos, 50e), l'avant-centre Hamza Igamane (Lille, 68e) et le milieu Azzedine Ounahi (Gérone, 84e) ont offert aux Lions de l'Atlas, en tête du groupe E, la qualification pour leur troisième Coupe du monde consécutive.
La rencontre s'est jouée dans une ambiance de fête, marquée par l'inauguration officielle du Complexe Moulay Abdellah de Rabat, entièrement rénové et désormais doté d'une capacité totale de 68'700 places.
La France n’a pas failli. A Wroclaw, les vice-champions du monde ont battu l’Ukraine 2-0 pour prendre déjà une option décisive sur la qualification directe pour le Mondial 2026.
Michael Olise a ouvert le score à la 10e minute sur un service de Bradley Barcola. Les Français ont toutefois dû attendre la 82e minute pour assurer leur victoire grâce au 51e but en sélection de leur capitaine Kylian Mbappé.
La seule fausse note de la soirée est venue de la blessure d’Ousmane Dembélé. Introduit juste après la pause pour Désiré Doué, le candidat no 1 au Ballon d’Or a dû sortir à la 80e, touché à la cuisse.
A Bergame, Gennaro Gattuso a signé des débuts victorieux à la tête de l’Italie. La Squadra Azzurra a battu 5-0 l’Estonie après avoir pourtant été tenue en échec à la pause.
Moise Kean a libéré son équipe à la 58e en reprenant de la tête une déviation acrobatique du talon de Mateo Retegui. L'ancien buteur de l'Atalanta, parti cet été en Arabie saoudite, a inscrit un doublé (69e, 90e), les deux autres buts ont été marqués par Giacomo Raspadori (71e) et Alessandro Bastoni (92e).
Malgré ce large succès, l’Italie demeure dans une position inconfortable dans ce groupe dominé par la Norvège. La défaite 3-0 concédée en juin dernier à Oslo va peser très lourd à l’heure du bilan pour la Squadra.
La Suisse a parfaitement entamé sa campagne de qualification pour le Mondial 2026. Il n'a fallu qu'une mi-temps aux joueurs de Murat Yakin pour aisément dominer le Kosovo vendredi à Bâle (4-0).
Vingt-trois minutes, c'est visiblement tout ce dont l'équipe de Suisse a besoin pour marquer quatre buts et plier un match. Elle avait déjà réussi pareil exploit en juin à Nashville, pour écraser les Etats-Unis (4-0). Elle a réédité la performance trois mois plus tard au Parc Saint-Jacques, cette fois lors d'un match capital, la première des six rencontres qualificatives pour la prochaine Coupe du monde.
Dans le Tennessee, les hommes de Murat Yakin avaient inscrit leurs quatre réussites entre la 13e et la 36e minute (Ndoye, Aebischer, Embolo et Manzambi). Sur les bords du Rhin, ils ont dû attendre un peu plus longtemps, la 22e minute exactement, pour faire sauter le verrou kosovar.
Quelques instants plus tard, Breel Embolo, bien servi par Dan Ndoye au deuxième poteau, doublait la mise après un bel enchaînement (25e). Embolo et Akanji, deux joueurs qui n'avaient pas encore foulé une pelouse cette saison et dû attendre les dernières heures du mercato lundi pour trouver un nouveau club, ont ainsi mis sur orbite une sélection helvétique tout à fait concernée par l'enjeu.
Et donc, vingt-trois minutes après l'ouverture du score, Embolo a clos le festival suisse en transformant une deuxième offrande de Ndoye (45e). Devant son public, le Bâlois, qui a marqué cinq fois lors des quatre derniers matches de l'équipe de Suisse, a plus que jamais affirmé son statut d'avant-centre numéro 1 du pays.
Nico Elvedi fera la paire avec Manuel Akanji face au Kosovo vendredi à Bâle (20h45), pour le premier match de la Suisse dans les éliminatoires de la Coupe du Monde. Vargas et Rieder sont titulaires.
Murat Yakin a donc choisi de reconduire la même charnière que lors du dernier match de la Suisse, la belle victoire 4-0 face aux Etats-Unis à Nashville, en juin. Les deux hommes auront la lourde tâche de museler l'avant-centre Vedat Muriqi, meilleur buteur de la sélection kosovare.
Sur le flanc droit de la défense, Yakin a préféré Silvan Widmer au Vaudois Isaac Schmidt. A gauche, l'inusable Ricardo Rodriguez est titulaire. Et au milieu, Fabian Rieder accompagne Granit Xhaka et Remo Freuler.
Absent du dernier rassemblement en raison d'une blessure, Ruben Vargas fait son retour en attaque. L'ailier du FC Séville devrait occuper le côté gauche, tandis que Dan Ndoye évoluera sur la droite. Sans surprise, Breel Embolo est titulaire en pointe.
La composition suisse: Kobel; Widmer, Akanji, Elvedi, Rodriguez; Xhaka, Freuler, Rieder; Ndoye, Embolo, Vargas
La composition du Kosovo: Muric; Vojvoda, Rrahmani, Dellova, Paqarada; Avdullahu, Rexhbecaj, Muslija; Krasniqi, Muriqi, Jashari.
Théo Rochette patinera toujours pour le Lausanne Hockey Club. L’attaquant a signé un nouveau contrat de cinq ans qui le lie désormais jusqu’au printemps 2031 avec le club vaudois.
Depuis son retour à Lausanne, son club formateur, Théo Rochette, qui est âgé de 23 ans, s’est imposé comme l’un des attaquants les plus redoutables de la National League. Son apport avec ses 28 buts et ses 33 assists a notamment permis au LHC de disputer les deux dernières finales des play-off. "Il incarne l’avenir du LHC", indique le club dans un communiqué,
Victorieux cette année des Tours de Romandie et de Suisse, Joao Almeida (UAE) a enlevé l'étape reine de la Vuelta. Le Portugais s'est imposé au sommet de l'Angliru.
Joao Alemeida a battu au sprint le maillot rouge Jonas Vingegaard. Le leader de la course a été le seul en mesure de l'accompagner sur les terribles pentes de l'Angliru (12,4 km à 9,8 %). Il a offert un sixième succès d'étape à son équipe UAE.
Impressionnant de puissance, régulier dans son effort mais incapable de placer une attaque tranchante, Joao Almeida n’a toutefois pas pu désarçonner Jonas Vingegaard, Parfait dans son rôle de sparadrap, le Danois a lâché quelques secondes de bonifications sans toutefois que sa place de leader ne soit remise en question.
Son avance sur Almeida se chiffre désormais à 46’’. Troisième de l'étape à 28'' du duo, Jai Hindley a réalisé une belle opération pour occuper désormais la quatrième place du classement général derrière Tom Pidcock.
Cette étape a encore été perturbée par des manifestations propalestiniennes. L'échappée du jour a ainsi été bloquée quelques instants par des manifestants au pied de l'ascension finale. La présence au sein du peloton de la formation Israel PT n'en finit pas de susciter des remous. "Nous avons peur. On subit des insultes, toutes sortes d'attaques verbales, c'est dur", confie ainsi l'un des deux directeurs sportifs d'Israel PT l'Espagnol Oscar Guerrero à la radio Onda Cero.
Frédérik Gauthier fait son retour à Porrentruy. L'attaquant québécois de 30 ans est le 8e joueur étranger à Ajoie.
Après deux saisons dans le Jura entre 2022 et 2024, Gauthier avait fait ses valises pour la KHL. La saison passée, il a disputé 54 matches avec Vityaz Moscow Region et inscrit 21 points dont 13 buts.
A Ajoie, il avait marqué 23 et 18 points lors de ses deux saisons jurassiennes.
Comme le précise le club, l'entente porte jusqu'à mi-novembre avec une option de prolongation jusqu'au terme de la saison.
Marjamäki a rejoint Kloten il y a un an et a mené l'équipe jusqu'aux quarts de finale des play-off. Kloten a également prolongé de deux ans sa collaboration avec l'attaquant de 34 ans Reto Schäppi. L'ancien des Zurich Lions est lié avec les Aviateurs jusqu'à la fin de la saison 2027/28.
Epreuve historique de la Formule 1, le Grand Prix de Monaco a été prolongé au calendrier jusqu'en 2035. Les organisateurs du championnat du monde l'ont annoncé vendredi.
"La Formule 1 prolonge le Grand Prix de Monaco jusqu'en 2035 inclus, à la suite de l'extension de l'accord existant avec l'Automobile Club de Monaco (ACM) qui courait jusqu'à la saison 2031", a indiqué le promoteur Formula One dans un communiqué publié en marge du GP d'Italie disputé ce weekend.
Dans la liste des Grand Prix les plus fréquemment courus dans le championnat du monde depuis 1950, le GP de Monaco, disputé dans les rues de la Principauté, est au deuxième rang, derrière le circuit de Monza (GP d'Italie), et se dispute sans discontinuer depuis 1955.
Traditionnellement disputé fin mai en même temps que les 500 Miles d'Indianapolis -autre rendez-vous incontournable du sport automobile-, le prestigieux GP de Monaco se déroulera début juin à compter de 2026.
Nina Brunner fait son retour sur la scène internationale après son congé maternité. Dès 2026, la Zougoise fera à nouveau équipe avec sa partenaire de longue date Tanja Hüberli.
Comme l'ont annoncé vendredi les médaillées de bronze des JO de Paris, elles souhaitent renouer ensemble avec le succès. Elles se concentrent déjà sur leur grand objectif, les JO 2028 à Los Angeles.
"Mon plaisir de jouer est intact, a déclaré Nina Brunner, qui fêtera ses 30 ans en octobre, dans un communiqué de Swiss Volley. J'ai très vite su que je voulais revenir sur le circuit. J'ai logiquement appelé Tanja, car au cours de nos neuf ans passées ensemble, nous avons vécu, accompli et construit énormément de choses. Je suis très heureuse de poursuivre cette aventure avec elle." Nina et son mari Damien Brunner, qui a mis fin à sa brillante carrière de joueur de hockey au printemps dernier, sont devenus parents d'une petite fille début juin.
Tanja Hüberli, qui joue cette saison aux côtés de la jeune Bernoise Leona Kernen, se réjouit du retour de Nina Brunner, même si la décision de se séparer à nouveau de sa jeune partenaire n'a pas été facile à prendre: "Je me suis beaucoup attachée à Leona. Nous avons rapidement progressé en tant qu'équipe et accompli beaucoup de choses en peu de temps. Mais l'idée de donner à nouveau tout ce que j'ai pendant trois ans avec Nina, d'attaquer ensemble et d'être sur le terrain à Los Angeles en 2028 est très motivante."
Le duo Hüberli/Kernen restera en place jusqu'à la fin de la saison. Malgré la blessure à la cheville de Hüberli, les deux joueuses poursuivent leur objectif commun: participer aux Championnats du monde en novembre 2025 en Australie. On ne sait pas encore avec qui Leona Kernen fera la paire en 2026.
Björn Borg est atteint d'un cancer. Après avoir subi une opération l'année dernière, l'ancienne icône du tennis va mieux.
Dans son livre "Heartbeats" qui paraîtra prochainement, il dit avoir été diagnostiqué avec un cancer de la prostate "extrêmement agressif". Le Suédois de 69 ans a déclaré à l'agence de presse AP qu'il allait mieux depuis son opération l'année dernière. Ses derniers examens en août n'ont rien révélé d'anormal.
"Pour l'instant, je n'ai rien. Mais je dois passer des examens tous les six mois. Tout ce processus n'est pas agréable", a déclaré l'ancien joueur de classe mondiale. Il a subi des examens pour le cancer de la prostate "pendant de très nombreuses années". "Le problème, c'est qu'on ne ressent rien. On se sent bien, et puis ça arrive, tout simplement." En septembre 2023, les médecins avaient découvert des anomalies lors d'un examen.
Borg écrit dans son livre à propos de son cancer: "J'ai maintenant un nouvel adversaire: le cancer, un adversaire que je ne peux pas contrôler. Mais je vais le vaincre. Je n'abandonnerai pas. Je me bats comme si chaque jour était une finale à Wimbledon. Et ça se passe généralement plutôt bien, non?"
Borg a remporté onze titres du Grand Chelem en simple, dont cinq consécutifs à Wimbledon (de 1976 à 1980) et six à Roland-Garros. Au total, ce spécialiste de la terre battue a occupé la première place du classement mondial pendant 109 semaines. Borg a mis fin à sa carrière à l'âge de 26 ans seulement.
Amanda Anisimova (no 8) défiera Aryna Sabalenka (no 1) samedi en finale de l'US Open.
L'Américaine a rejoint la Bélarusse en battant Naomi Osaka (no 23) 6-7 (4/7) 7-6 (7/3) 6-3 en 2h55' dans la deuxième demi-finale jeudi soir.
Humiliée 6-0 6-0 par Iga Swiatek deux mois plus tôt en finale de Wimbledon, Amanda Anisimova bénéficie donc d'une deuxième opportunité de décrocher un premier titre du Grand Chelem. L'Américaine de 24 ans fera figure d'outsider face à la tenante du titre Aryna Sabalenka.
Mais Amanda Anisimova, qui a pris sa revanche sur Iga Swiatek en quart de finale à New York, aura un sacré coup à jouer. La pression sera tout d'abord plus forte sur les épaules d'Aryna Sabalenka, qui a accumulé les déceptions en Grand Chelem cette année (finales perdues à Melbourne et à Roland-Garros).
Amanda Anisimova peut, surtout, se targuer de posséder un bilan largement favorable face à la Bélarusse: elle mène 6-3 dans leur face-à-face. Leur dernier duel s'est justement déroulé en Grand Chelem, en demi-finale du dernier Wimbledon, où l'Américaine s'était imposée 6-4 4-6 6-4.
Jeudi soir, Amanda Anisimova a su attendre son heure face à l'ex-no 1 mondial Naomi Osaka. Après s'être retrouvée à trois points de la défaite à 7-6 6-5, elle a trouvé le relâchement nécessaire pour dominer le deuxième tie-break, et a très vite fait la différence dans la manche décisive en signant le break dès le quatrième jeu.
Leandro Riedi (ATP 435) renonce au match de Coupe Davis prévu entre la Suisse et l'Inde les 12 et 13 septembre à Bienne. Le Zurichois a annoncé son forfait sur son compte Instagram.
Son superbe et inattendu parcours à l'US Open, où il s'est hissé jusqu'en 8es de finale après être sorti des qualifications, a laissé des traces. "On m'a diagnostiqué une inflammation aigüe de l'os pubien, et je dois prendre au moins deux semaines de repos", écrit-il sur Instagram.
"Bien sûr, je voulais vraiment jouer la Coupe Davis, surtout que j'ai déjà manqué les deux derniers matches en raison de mes blessures au genou. Mais je dois être intelligent et écouter mon corps", poursuit Leandro Riedi, qui espère faire son retour dans le Challenger d'Orléans qui débute le 22 septembre.
En son absence, c'est le 16e de finaliste de l'US Open Jérôme Kym qui emmènera l'équipe de Suisse face à l'Inde. Le capitaine Severin Lüthi a également retenu Dominic Stricker, Marc-Andrea Hüsler et Jakub Paul pour cette rencontre.