Oyé oyé, c'est l'heure des potins royaux! Ce n'est pas parce que le roi est en vacances que les nouvelles et les rumeurs à son sujet doivent, elles, se mettre sur pause. Au menu ce lundi: la bombe lâchée par le média britannique OK!. Selon nos confrères d'Outre-Manche, Charles et son fils exilé en Californie seraient sur le point d'enterrer la hache de guerre pour de bon, après trois ans de relations tourmentées, rythmées par les drames, les scandales et les révélations scabreuses.
OK! va même plus loin, en nous indiquant la date précise à laquelle devraient se tenir ces retrouvailles historiques: le 17 septembre prochain. Nos confrères auraient-ils mis la main sur une boule de cristal? Pas le moins du monde. Juste sur une «source bien placée» dans les couloirs du Palais.
Selon l'informateur, après un passage le mois prochain par Düsseldorf, en Allemagne, pour assister à la compétition sportive des «Invictus Games», Harry projetterait une brève escale à Londres. Un voyage dont la duchesse de Sussex, Meghan, devrait faire partie.
Comble de la chance: au même moment, Charles sera justement être de retour dans la capitale britannique, au terme de ses vacances annuelles au château écossais de Balmoral. Sans aller jusqu’à parler de clin d’oeil du destin, la concordance d'agendas se révèle quasiment de l’inespéré.
D'autant que, trois jours plus tard, le 20 septembre, Sa Majesté repliera bagages. Direction la France, où Charles doit accomplir le voyage d'Etat prévu en mai dernier, qui avait fini par être annulé à la dernière minute, grèves et émeutes obligent.
L'initié va même plus loin en affirmant qu'il s'agirait de la toute première entrevue personnelle entre Charles et Harry depuis janvier et la publication de son livre-dynamite, Spare.
Etant donné que le fougueux prince, entre deux révélations salaces, y traite sa belle-mère Camilla de manipulatrice «méchante» et «dangereuse», la rencontre serait loin de se cantonner à des câlins tout doux et de chaudes embrassades. Toutefois, les sources s'accordent généralement sur le fait que Charles, tout bon roi qu'il est, est prêt à se montrer magnanime. Et à pardonner son tendre «darling boy».
«Si les pourparlers ont lieu, le roi fera savoir très clairement qu'il n'y aura absolument aucune affaire familiale privée discutée en public à l'avenir», conclut la source royale.
On entend souvent murmurer que Charles se montrerait plus qu’ouvert à l’idée d’une réconciliation. Surprenant, compte tenu de sa décision drastique de priver Harry et sa femme Meghan de leur ultime pied-à-terre au Royaume-Uni, Frogmore Cottage - ou, plus récemment, de leur titre d'«Altesses Royales» sur le site web officiel de la famille royale.
Ma foi, on a tous nos manières maladroites de prouver notre affection.
La date du 17 septembre ne fait toutefois pas l'unanimité chez les pourvoyeurs de scoops royaux. A en croire les proches du roi contactés par le Daily Beast lundi soir, Charles III n'aura absolument pas la tête à rencontrer Harry avant son départ pour la France. Une réunion physique s'avère, selon eux, hautement «improbable».
Quant au prince de Galles, William, on n'en parle même pas. Le frère d'Harry serait toujours «absolument dégoûté» d'avoir été affiché ainsi dans son bouquin sensationaliste. Il n'y «aucune chance» que les fils du roi se retrouvent lors d'un tête à tête. «Il se sent trahi. Ils étaient très proches en grandissant, donc, cela a été très douloureux pour William», glisse un ami au Daily Beast.
Reste à savoir si Charles, exhibé dans les mémoires en slip en train de faire le poirier, se montrera plus conciliant. Jusqu'à présent, le monarque a fait preuve d'une bonté plutôt relative. Rendez-vous le 17 septembre pour vérifier la véracité de ces prédictions.