Mohamed Salah est "terrifié" à l'idée de retrouver Liverpool sans Diogo Jota, décédé dans un accident de voiture en Espagne. Ce drame a poussé les Reds à repousser la reprise de l'entraînement.
"Je suis vraiment sans voix", a posté sur Instagram l'Egyptien, meilleur buteur de la Premier League la saison dernière. "Jusqu'à hier, je n'aurais jamais imaginé que quelque chose puisse me faire peur à l'idée de rentrer à Liverpool après la trêve. Des coéquipiers vont et viennent, mais pas comme ça. Il sera extrêmement difficile d'accepter que Diogo ne soit plus là à notre retour", a-t-il ajouté.
L'attaquant portugais, âgé de 28 ans, et son frère André sont morts dans la nuit de mercredi à jeudi après que leur voiture a quitté une autoroute en Espagne et a pris feu. Un registre de condoléances a été ouvert à Anfield, où les supporters ont déposé fleurs, maillots et écharpes.
En réaction au drame, Liverpool a décidé de repousser la reprise de l'entraînement. Prévue vendredi avec une première vague de tests physiques, la rentrée des joueurs a été décalée à lundi. Le premier match de pré-saison du club est prévu contre Preston North End (2e division) le 13 juillet.
Ben Shelton (no 10) n'a eu besoin que de 70 secondes vendredi pour conclure son 2e tour à Wimbledon. L'Américain n'avait qu'un jeu à gagner pour battre Rinky Hijikata (ATP 87).
Le gaucher de 22 ans s'est imposé 6-2 7-5 6-4 devant l'Australien. Il a claqué trois aces et un service gagnant pour conclure cette rencontre, qui avait été interrompue en raison du manque de luminosité jeudi soir à 5-4 au troisième set.
Ben Shelton n'avait pas caché son mécontentement après cette interruption. Le demi-finaliste du dernier Open d'Australie, qui affrontera le Hongrois Marton Fucsovic (ATP 105) samedi en 16e de finale, a laissé parler toute sa frustration vendredi sur le court no 2 du All England Lawn Tennis Club.
Jonas Vingegaard a assuré vendredi être "plus fort que jamais".
Le leader danois de la formation Visma-Lease a bike espère être "meilleur qu'au Dauphiné" pour tenter de battre son rival Tadej Pogacar lors du Tour de France qui s'élance de Lille samedi.
"Je pense que je peux dire sans problème que je suis plus fort que jamais", a affirmé le deuxième du dernier Tour lors de la conférence de presse de présentation de son équipe. "Bien sûr, l'an dernier j'étais aussi à un très haut niveau, mais d'une façon différente", a souligné Vingegaard, qui était arrivé sur la Grande Boucle quelques mois après une très lourde chute.
Le Danois de 28 ans a également dit avoir pris du poids par rapport à l'année dernière: "J'avais beaucoup moins de muscles. J'étais beaucoup plus léger, là je suis plus lourd que ce que j'étais, mais c'est du muscle, et on sait que ça donne de la puissance."
Souriant et détendu, le vainqueur des Tours 2022 et 2023 a dit avoir "un plan" pour contrer la domination de l'ultra-favori Tadej Pogacar, qui a déjà cumulé 11 victoires cette saison. "Evidemment qu'on a un plan, comme à chaque fois, mais je ne vais pas vous le dire", a souri Vingegaard, qui a pris la deuxième place du Dauphiné début juin derrière Pogacar.
Pogacar "n'a pas vraiment eu de faiblesses"
"On a vu sur le Dauphiné qu'il était meilleur que moi, (...) mais j'espère être encore meilleur que ce que j'étais à ce moment", a-t-il indiqué. "Avoir un rival du niveau de Tadej, ça vous pousse à tirer le meilleur de vous-même, vous savez que vous devez entraîner dur chaque jour pour le concurrencer, ça fait de moi un meilleur cycliste", a expliqué "Vingo", ajoutant qu'il n'avait "que des bonnes choses à dire" sur "Pogi".
Questionné sur les points faibles du Slovène, qui avait terminé plus de six minutes devant lui en 2024, Vingegaard s'est montré prudent. "Ces dernières années, il n'a pas vraiment eu de faiblesses, et pour être honnête, s'il en avait, je ne viendrais pas vous le dire, ce sont des atouts qu'on va garder pour nous", a-t-il dit.
Tim Mayer a annoncé vendredi se présenter à l'élection pour la présidence de la Fédération internationale (FIA) en décembre.
L'Américain aura pour adversaire l'actuel président émirati Mohamed Ben Sulayem, candidat à sa réélection.
Fils de l'ex-directeur de McLaren Teddy Mayer, cet ancien commissaire de course au sein de la FIA a quitté les rangs de la fédération en novembre 2024, évincé par Ben Sulayem.
Interrogé sur le fait de savoir si sa candidature était motivée par une "revanche", Mayer, 59 ans, a expliqué que ce n'était "pas vraiment" le cas: "le fait qu'il m'ait demandé de démissionner de mon poste de commissaire de Formule 1 m'a donné l'occasion de réfléchir aux valeurs de la FIA. Que voulons-nous que soit l'organisation ?", a-t-il expliqué en conférence de presse vendredi, en marge du Grand Prix de Grande-Bretagne en F1.
Pour l'heure, Mayer et Ben Sulayem sont les deux seuls candidats déclarés pour le scrutin prévu le 12 décembre prochain. Le double champion du monde espagnol de rallye Carlos Sainz s'était dit enclin à postuler pour prendre les rênes de l'instance automobile, mais a finalement renoncé fin juin.
La FIA est l'instance dirigeante du sport automobile qui - outre la F1 -, règlemente aussi les Championnats du monde des rallyes (WRC) ou encore d'endurance (WEC).
L'attaquant de l'Athletic Bilbao Nico Williams a finalement prolongé vendredi avec son club formateur jusqu'en 2035.
L'international espagnol de 22 ans était pourtant annoncé avec insistance au FC Barcelone.
"L'Athletic Club et Nico Williams ont conclu un accord pour prolonger de huit saisons, jusqu'au 30 juin 2035, son contrat qui se terminait en 2027. Sa clause de résiliation augmente de plus de 50 % par rapport à la précédente", écrit le club basque dans un communiqué.
Le Jamaïcain Kishane Thompson s'attend à "un feu d'artifice" lorsqu'il affrontera de nouveau Noah Lyles.
Mais leurs retrouvailles attendront, l'Américain ayant renoncé à s'aligner dans le meeting Prefontaine Classic à Eugene samedi.
Il y a onze mois, en finale des JO de Paris, Noah Lyles avait devancé Kishane Thompson de 5 millièmes de seconde seulement. S'ils ne se sont pas affrontés depuis, le Jamaïcain, en grande forme, a "définitivement" hâte de retrouver son rival, absent à Eugene, a-t-il dit à l'AFP jeudi.
"Je suis un grand compétiteur, même si je ne le montre peut-être pas", a assuré Thompson (23 ans) d'un ton toujours détendu. Lyles "est un athlète phénoménal, un grand rival", a-t-il souligné. "Quand il sera prêt à courir et que l'on se retrouvera, ce sera un feu d'artifice c'est certain. Lorsqu'on affronte de grands athlètes, de grandes choses arrivent c'est aussi simple que cela".
Les deux sprinters devraient se retrouver au plus tard lors des Mondiaux de Tokyo (13-21 septembre). Lyles n'a pas encore disputé de 100 m ou de 200 m cette saison.
Thompson a lui affolé le chrono la semaine dernière en 9''75 lors des sélections jamaïcaines à Kingston, de loin le meilleur temps de la saison, le plus rapide dans le monde depuis dix ans.
"Je suis heureux de cette course. Jusqu'ici nous avons travaillé sur mon exécution, petit à petit, à essayer de tout assembler. C'est encore le début de saison, j'essaie de trouver ce bon état de forme, avoir les sensations du très haut niveau tout en me faisant plaisir", a ajouté le sprinter sorti de l'ombre en 2024, qui se sent "plus expérimenté" qu'à la même période l'an passé.
"Je ne dirais pas que je m'intéresse aux statistiques, j'en connais un peu, si on m'apporte l'information, j'écoute avec attention. Je pense que je sais ces choses inconsciemment, mais je ne veux pas laisser cela éclipser ce sur quoi je dois me concentrer", a-t-il encore expliqué.
L'équipe de Suisse dames n'est pas passée loin de vivre l'une des plus belles soirées de son histoire mercredi à Bâle, en ouverture de l'Euro 2025.
Quelques minutes d'inattention ont permis à la Norvège de renverser la troupe de Pia Sundhage, qui avait fait tout juste en première mi-temps (2-1).
Une trajectoire de corner mal appréciée par la gardienne suisse Livia Peng, une déviation malheureuse de Julia Stierli dans son propre filet: tout est allé de travers entre la 54e et la 58e minute de jeu au Parc Saint-Jacques. La Suisse a trébuché, égarant cette assurance remarquable dont elle avait jusqu'alors fait preuve pour mener 1-0 face aux favorites du groupe A.
La défenseuse de la Juventus regrettait surtout de ne pas avoir pu, avec ses coéquipières, jouer au même rythme qu'en première mi-temps. "C'est un peu notre problème. On doit vraiment travailler pour tenir 90 minutes à haute intensité", a-t-elle estimé. "Ce sont vraiment les détails qui comptent à ce niveau. Dès que tu n'es pas concentrée, dès que tu fais une petite erreur, l'adversaire en profite pour marquer."
Mais petit à petit, en déroulant le fil du match, Viola Calligaris a réalisé tout ce que la Suisse avait réussi face à un adversaire qui dispose en ses rangs de deux attaquantes de classe mondiale: Ada Hegerberg et Caroline Graham Hansen. "Notre première période était presque parfaite. On a vraiment très bien joué ensemble et je suis fière de toute l'équipe", a-t-elle apprécié.
"On avait un super plan. Pia et le staff ont fait du très bon travail. C'est rageant, car on méritait mieux", a jugé la milieu de terrain Smilla Vallotto, qui évoluait au côté d'une Lia Wälti longtemps incertaine mais finalement titulaire.
Il faut espérer que la capitaine de l'équipe de Suisse (128 sélections), qui a disputé l'entièreté de ce match d'ouverture, puisse encore tenir son rang lors des deux autres rencontres de la phase de groupes, tant elle a montré à Bâle qu'elle demeurait indispensable au onze helvétique.
En première période, il semblait que tous les ballons transitaient par la milieu d'Arsenal, laquelle a souvent lancé Nadine Riesen dans le bon tempo sur le côté gauche du 3-5-2 de Pia Sundhage. Elle était ainsi à l'origine de l'ouverture du score de Riesen à la 28e minute, et même si elle a légèrement baissé le pied après le thé, sa capacité à réguler le jeu helvétique a continué de sauter aux yeux.
Comme toutes ses coéquipières et sa sélectionneuse, la Nidwaldienne a surtout retenu le positif après cette défaite qui place la Suisse dans une position compliquée mais loin d'être insurmontable en vue d'une qualification pour les quarts de finale. "Ce n'est que le premier match. Tout est encore possible", a-t-elle insisté.
Pour la suite de la compétition, les Suissesses espèrent pouvoir compter sur la même ferveur que mercredi à Bâle, où certaines joueuses ont eu de la peine à retenir leurs émotions au moment des hymnes. "C'était magnifique... Tout le monde était en rouge, tout le monde était pour nous. On a senti vraiment cette énergie positive, ça nous a donné beaucoup de force", a assuré Viola Calligaris. "Je ne le prends pas comme quelque chose de normal. Et après tout ce qui s'est passé ces derniers temps, ça nous a permis de donner une réponse."
Une réponse imparfaite, mais pleine de promesses. Oui, la Suisse a chuté, mais elle a montré qu'elle pouvait vraiment briller dans "son" Euro. Dimanche contre l'Islande (21h00 à Berne), elle aura déjà l'occasion de rattraper son retard pour se joindre à la fête.
L'Allemagne et la Suède font figure d'épouvantail dans ce groupe C. Mais le Danemark et la Pologne ne sont pas en reste et nourrissent de belles ambitions.
Les festivités continuent à l'Euro 2025 vendredi, avec l'entrée en lice de l'Allemagne et la Suède. Il s'agit historiquement de nations importantes à l'Euro, avec respectivement 10 et 9 demi-finales au compteur.
Les Allemandes, finalistes du dernier Euro, pourront compter sur leur buteuse Lea Schüller, qui a déjà marqué 52 buts en 75 sélections. Dès 21h face à une équipe polonaise qui découvre la compétition, il s'agira d'éviter le faux pas d'entrée de jeu.
De son côté, la Pologne tentera de rééditer son exploit des barrages, lorsqu'elle avait fait mordre la poussière à l'Autriche, quart de finaliste du dernier Euro.
Au Stade de Genève (à 18h), les Suédoises croiseront le fer avec les Danoises. Les deux équipes se sont affrontées lors de la dernière Ligue des Nations, avec une dernière rencontre qui s'est soldée par une victoire sans appel de la sélection suédoise (6-1).
Portée par une Stina Blackstenius en pleine confiance après son but décisif pour Arsenal lors de la finale de la dernière Ligue des Champions, la Suède devra maîtriser une équipe danoise capable de coups d'éclat. Cette dernière a notamment su se qualifier à l'Euro dans le groupe de l'Espagne, devant la Belgique et au détriment de la République tchèque.
L'équipe de Suisse des moins de 19 ans dispute vendredi les quarts de finale de "sa" Coupe du monde
Les protégés du coach Ivan Rudez se frotteront à la Nouvelle-Zélande dès 20h à Lausanne pour une place dans le dernier carré.
Les espoirs helvétiques - qui pourraient devoir affronter les Etats-Unis en demi-finale - espèrent bien confirmer l'exploit signé mercredi soir en 8e de finale. Ils ont sorti la France 86-79, signant un partiel de 23-2 entre la fin du quatrième quart-temps et le début de la prolongation pour renverser les Tricolores.
Le Genevois Dayan Nessah (17,3 points, 9,3 rebonds et 4,8 assists en moyenne dans ce tournoi) et ses équipiers rêvent d'offrir une nouvelle médaille au basket helvétique, moins d'une semaine après l'argent gagné par l'équipe masculine élite de 3x3 en Coupe du monde. Rien ne leur semble impossible.
Mais la Nouvelle-Zélande, qui a dominé la Chine 99-86 en 8e de finale, a des arguments à faire valoir. Les Néo-Zélandais s'appuient sur une attaque très homogène, avec quatre jours à 10 points ou plus en moyenne. L'arrière Tama Isaac sort du lot, avec ses 14,8 points, 6,8 assists et 6,5 rebonds par match.
L’Espagne a annoncé la couleur. Championne du monde en titre, la Roja a frappé fort lors de son entrée en lice à l’Euro dont elle est la grande favorite.
A Berne sur la pelouse désormais naturelle du Wankdorf, l’Espagne s’est imposée 5-0 devant le Pòrtugal. Malgré les absences de sa capitaine Irene Paredes, de sa gardienne Cata Coll et de son Ballon d’Or Aita Bonmati, la Roja a déroulé. Esther Gonzalez a ouvert le score après seulement... 87 secondes de jeu avant de signer le 4-0 juste avant la pause. Entretemps, Vicky Lopez et Alexia Putellas, elles aussi, avaient battu l’ancienne gardienne du Servette-Chênois Ines Pereira. Dans le temps additionnel, l'attaquante de... Benfica Cristina Martin Prieto scellait le score.
Après une telle entame, on voit mal comment la première place de ce groupe B pourrait échapper à l’Espagne. La Belgique et l’Italie, ses deux prochaines adversaires, sont prévenues. Elles n’auront strictement rien à espérer face à une équipe aussi sûre de sa force, aussi clinique aussi.
Le jeu de massacre se poursuit à Wimbledon ! Le no 4 mondial Jack Draper a mordu la poussière dans un simple messieurs où la hiérarchie ne cesse d’être bousculée.
Malgré le soutien du public, le gaucher britannique s’est incliné 6-4 6-3 1-6 6-4 devant Marin Cilic (ATP 83). Finaliste malheureux du tournoi en 2019 devant Roger Federer, le Croate de 36 ans a imposé sa science du jeu à un adversaire qui n’a toujours pas vraiment brillé à Church Road. Mais malgré son manque de références, toute l’Angleterre était prête à s’enflammer pour un joueur qui a traversé une première partie d’année remarquable et qui restait sur une demi-finale dans l'ATP 500 du Queen's.
Fort de ce succès, Marin Cilic peut, peut-être, lorgner sur un éventuel quart de finale contre Novak Djokovic. Le vainqueur de l’US Open 2014 devra toutefois rester sur ses gardes samedi lors de son troisième tour contre Jaume Munar (ATP 55), un autre joueur des Baléares qui sait apparemment aussi jouer sur gazon.
L’Italie a démarré son Euro de belle manière. A Sion,elle a battu 1-0 la Belgique pour cueillir une victoire sans prix dans un groupe où elle jouera certainement sa qualification face au Portugal.
A Tourbillon, c’est Arianna Caruso qui a scellé l’issue de la rencontre. La joueuse de la Juventus qui a été prêté cette année au Bayern Munich a signé le seul but de la rencontre juste avant la pause d’une frappe imparable au premier poteau. Entreprenantes en début de match, les Belges se sont curieusement éteintes après ce but pour laisser la Squadra Azzurra gérer tranquillement cet avantage. Dirigée par l’arbitre suisse Désirée Grundbacher, cette rencontre ne restera pas vraiment dans les mémoires des 7544 spectateurs présents.
Belinda Bencic (WTA 35) n’a pas failli ! Malgré un premier set galvaudé, la Saint-Galloise a assuré l’essentiel devant Elsa Jacquemot (WTA 113) pour se hisser en seizième de finale de Wimbledon.
Belinda Bencic s’est imposée 4-6 6-1 6-2 devant la qualifiée française qu’elle affrontait pour la première fois. Surprise sans doute par les fulgurances de son adversaire au service et en coup droit, elle a laissé filer la manche initiale sur un break concédé blanc à 4-4. Mais elle a su parfaitement rectifier le tir dans les deux derniers sets pour s’imposer sans aucune discussion après 2h05’ de match. Même si elle a été menée 2-0 au troisième set, sa victoire ne faisait aucun doute. Il y avait bien un fossé entre la Championne olympique de Tokyo et la native de Lyon.
Samedi, Belinda Bencic croisera à nouveau la route d’une joueuse classée au-delà du top 100. Elle sera, en effet, opposée à Elisabetta Cocciaretto (WTA 116), la gagnante du Ladies Open 2023 de Lausanne, qu’elle avait battue il y a trois ans à Rome lors de leur seule confrontation à ce jour. Même si elle a éliminé la no 3 mondiale Jessica Pegula au premier tour, l’Italienne ne semble pas en mesure de s’opposer à une Belinda Bencic qui peut commencer à croire que ce Wimbledon 2025 qu’elle a abordé sans de très grandes ambitions peut réellement lui sourire.
Le club de Liverpool s'est dit "bouleversé par le décès tragique" de son attaquant Diogo Jota. Le Portugais est mort avec son frère dans un accident de la route survenu dans la nuit en Espagne.
"Le Liverpool FC ne fera aucun autre commentaire pour le moment et demande à ce que la vie privée de la famille, des amis, des coéquipiers et du personnel des clubs de Diogo et André soit respectée, alors qu'ils tentent de surmonter cette perte inimaginable", indique le club dans un communiqué.
Diogo Jota, âgé de 28 ans et natif de Porto, avait rejoint les Reds en septembre 2020 contre 49 millions d'euros en provenance de Wolverhampton avec un statut de recrue-phare. En cinq années, l'ailier ou avant-centre au profil technique s'est imposé comme un titulaire régulier. Il a disputé une finale de Ligue des champions, en 2022, et a participé activement à la campagne victorieuse lors du dernier championnat d'Angleterre.
La nouvelle de la mort de l'attaquant portugais est "inattendue et tragique", a pour sa part réagi le Premier ministre portugais Luis Montenegro. "C'est une journée triste pour le football et pour le sport national et international", a-t-il écrit sur X, en saluant "un athlète qui a beaucoup honoré le Portugal". "Je transmets aux membres de la famille les plus sincères condoléances", a ajouté le chef du gouvernement.
L'international portugais (48 sélections, 14 buts), qui a remporté une deuxième Ligue des nations avec la Seleçao il y a un mois, avait annoncé voilà quelques jours s'être marié le 22 juin, en publiant sur le réseau social X des photos de la cérémonie, avec son épouse et ses trois enfants.
L'accident a eu lieu vers 00h30 sur une autoroute de la province de Zamora en Espagne, au niveau de la commune de Cernadilla. Le véhicule a fait une "sortie de route" avant de prendre feu, a indiqué la Garde civile. Les frères étaient décédés lorsque les services d'urgence sont arrivés, a-t-elle ajouté.
Dario Cologna veut se lancer dans la politique sportive. Selon un communiqué de Swiss Olympic, le Grison de 39 ans est candidat à un siège au sein de la Commission des athlètes du CIO.
Le quadruple champion olympique de ski de fond se présente avec dix autres candidats pour l'un des deux sièges vacants de la Commission des athlètes. L'élection aura lieu pendant les JO d'hiver de Milan/Cortina 2026. Le CIO annoncera le résultat de l'élection jeudi 19 février. Swiss Olympic soutient la candidature de Cologna "avec beaucoup d'enthousiasme", écrit-elle dans son communiqué.
"J'ai vécu les plus grands moments de ma carrière sportive aux Jeux olympiques et ce serait donc un grand honneur et un plaisir pour moi de continuer à m'engager pour le Mouvement olympique et les athlètes", déclare pour sa part Dario Cologna, cité dans le même communiqué de Swiss Olympic.
En cas d'élection, Cologna serait le premier représentant suisse au sein de cet organe. La hockeyeuse Florence Schelling (2022), le skieur Didier Cuche (2014) et le judoka Sergei Aschwanden (2012) ont vu leurs candidatures échouer.