Alexia, transgenre: «Je ne suis pas une menace pour mes adversaires»
Alexia Cerenys met un gros plaquage aux préjugés qui collent aux maillots des joueuses de rugby transgenres, souvent plus fortes et plus puissantes que leurs adversaires.
La voix est posée, les arguments mûrement réfléchis. Dans un long entretien (voir vidéo ci-dessus) qu'elle nous a accordé, Alexia Cerenys, joueuse transgenre de première division féminine, démonte point par point les arguments de certaines Fédérations de rugby interdisant, voire limitant, la pratique aux trans.
Quand les instances expliquent que ces joueuses (nées dans un corps masculin avant de transitionner) ont des avantages physiques que leurs rivales n'ont pas, Alexia souligne que son traitement hormonal la rend moins forte et plus fragile que les autres filles. En d'autres termes: qu'au contraire de ce que certains dirigeants veulent faire croire, elle ne représente pas une menace pour ses adversaires.
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De leader à pestiféré: le volcan marseillais a brûlé Adrien Rabiot
Adrien Rabiot était le grand leader du vestiaire de l'Olympique de Marseille avant cette baston dès la première journée de championnat. Un nouvel accro dans la carrière chaotique du «Duc» le plus souvent déchu.
Le vendredi 15 août, suite à la défaite contre Rennes (1-0), une altercation aussi surprenante que virulente, selon les informations qui ont filtré, éclate entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot dans les vestiaires. Et voilà que le stratège phocéen voit son nom sur la liste des transferts – pour 15 millions d'euros.