Sport
Football

Le petit Miguel a pu assister au match sur son lit d'hôpital ❤️

Image

Le petit Miguel a pu assister au match sur son lit d'hôpital ❤️

C'est la belle histoire du week-end et elle nous vient d'Espagne. Un jeune malade a pu suivre au stade la partie de dimanche entre l'Atlético Madrid et le Betis Seville.
01.11.2021, 14:0201.11.2021, 17:05
Plus de «Sport»

Il s'est passé plein de choses sur le terrain, dimanche entre l'Atlético Madrid et le Bétis Seville (3-0), mais rien d'aussi beau qu'en tribune, où un petit aficionado a pu suivre la rencontre, malgré la maladie contre laquelle il doit se battre au quotidien.

Miguel a pu assister au match entre ses deux équipes préférées grâce à la Fondation Ambulancia del Desire, une association espagnole qui met tout en oeuvre pour concrétiser les rêves de patients malades.

La Fondation a d'ailleurs publié une image de Miguel sur les réseaux sociaux ce lundi, remerciant notamment «la grande famille de l'Atlético Madrid» pour son accueil.

Image
Image: DR

Le jeune malade a été salué par tous les joueurs de l'Atlético après la rencontre, ainsi que par le capitaine du Betis, l'immense Joaquín. Il est même reparti avec le maillot et les chaussures du capitaine madrilène Koke. Inoubliable.

(jcz)

Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Le FC Bâle utilise une méthode de préparation particulière
Le FCB s'entraîne désormais en hypoxie simulée à l’aide de machines spécialement conçues pour reproduire les conditions d’altitude. Un procédé encadré et légal, souvent confondu à tort avec le dopage.
Intensif. Densément programmé. Millimétré. Voilà les mots qui reviennent lorsque l’on demande aux joueurs du FC Bâle de décrire leur préparation actuelle. Les dix jours passés à Schruns, en Autriche, où l’équipe était en stage, ont été particulièrement chargés. Deux séances quotidiennes sur gazon, entrecoupées d’un passage en salle de musculation. «Nous sommes en pleine phase de travail sous stress», glisse avec un sourire Carlos Menéndez.
L’article