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Après deux pintes en 2021, la buveuse de l'US Open remet ça

Après deux belles pintes descendues cul sec en direct en 2021, cette spectatrice a remis ça en 2022.
Après deux belles pintes descendues cul sec en direct en 2021, cette spectatrice a remis ça en 2022.Image: captures d'écran twitter

Après deux pintes en direct en 2021, la buveuse de l'US Open remet ça

Dans les gradins de l'US Open, l'an dernier, cette spectatrice s'était déjà illustrée en descendant deux belles pintes en direct. A nouveau repérée par les caméras, la championne a remis ça en 2022.
05.09.2022, 18:48
Margaux Habert
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Elle avait déjà fait le show l'an dernier, au point d'éclipser le match entre Félix Auger-Aliassime et Robert Bautista-Agut (who?). Repérée par un cameraman, l'amatrice de bière et de tennis s'était envoyée une belle pinte en direct. Et avait joué le jeu avec une deuxième bière lorsque le cameraman l'avait à nouveau filmée.

Il faut croire qu'il n'est pas primordial de savoir manier la raquette pour faire sensation au tournoi du Grand Chelem new-yorkais. «She's going again, exactly what she did last year!», s’enthousiasme le présentateur, qui commente la performance avec la même précision qu'un match de tennis. «Elle a l'air de lutter un peu plus...»

Ça devient une tradition, comme le souligne l'US Open 👇🏽

Depuis sa double performance de l'année dernière, et malgré quelques signes de fébrilité sur les dernières gorgées, la jeune femme a pris du galon. A la fin de sa pinte descendue cul sec, la spectatrice réclame les hourras du public, à la manière d'un Rafa qui a mangé du lion et qui va bouffer le petit agneau qui lui sert d'adversaire.

Soulignons encore qu'un peu de stabilité dans ce monde qui part en sucette, ça fait du bien. Par exemple, le type qui l'accompagne est le même que l'an dernier (seule sa coupe de cheveux a changé, thank God). Et comme en 2021, sous la vidéo de l'US Open sur Twitter, quelques haters ramènent leur fraise et font étalage de leur bonne éducation: «Un exemple de dégradation de la société», «On s'en fout d'encourager le binge drinking?» ou encore «Aucune classe, ça dégrade le tennis». DES JALOUX, LES ECOUTE PAS.

OK boomers. Nous, on donne d’ores et déjà rendez-vous à cette grande championne en 2023, elle a un double titre à défendre et des haters à emmerder. Et on est impatients de découvrir quelles fantaisies capillaires nous réserve le monsieur qui l'accompagne.

Ça vous a donné faim, toute cette bière?

D'accord, alors faisons comme si on était à New York et qu'on mangeait un seau de chicken wings:

Vidéo: watson

Quittons-nous sur un petit dessert avec les pâtisseries de La Quéquetterie, qui a pris ses quartiers à Lausanne:

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La Quéquetterie a pris ses quartiers à Lausanne
source: @instagram laquequetterie
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(D'ailleurs, on était à l'ouverture...)

Et pour ceux qui voulaient vraiment lire du sport... Voilà du sport:

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Luca Guadagnino, le réalisateur de Call Me by Your Name, met en scène l'actrice Zendaya dans un triangle amoureux qui prend place sur un court de tennis.

La dernière fois que nous avons vu un film sur le tennis, c'était avec Le portrait de Richard Williams en 2021. Un biopic sur le père des championnes Venus et Serena qui narrait au passage l’ascension d'athlètes afro-américaines dans un sport majoritairement blanc. Ce rôle avait permis à Will Smith de décrocher l’Oscar du meilleur acteur (et de frapper la mâchoire de Chris Rock avec une gifle à jamais mémorable). Pourtant, c'est plutôt du côté de Match Point (2005) de Woody Allen et son thriller sulfureux sur fond de jeu balle qu'il va falloir se tourner, car Challengers est autant un film sur le tennis qu'un film sur la cupidité, le désir, l'arrogance et la manipulation.

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