Dominik Kubalik quitte Ambri-Piotta un an après son retour en Suisse. L'attaquant tchèque de 29 ans a signé pour deux ans avec Zoug, a annoncé vendredi le club de Suisse centrale.
Sorti en quatre matches par Davos en quart de finale des derniers play-off, Zoug a réussi un joli coup sur le marché des transferts en s'attachant les services du meilleur buteur de la phase qualificative 2024/25 de National League. Dominik Kubalik a inscrit 27 buts lors de la dernière saison régulière, pour un total de 49 points. Il avait ajouté 3 buts en play-off.
Sacré champion du monde en 2024 avec la Tchéquie après une victoire en finale face à la Suisse, Kubalik avait décidé de revenir à Ambri-Piotta après cinq saisons passées en NHL sous les maillots de Chicago, Detroit puis Ottawa. "Dominik est un joueur expérimenté, avec des qualités de leader", se réjouit Reto Kläy, manager général de Zoug, cité dans un communiqué.
La Néerlandaise Marianne Vos a remporté au sprint la 6e étape de la Vuelta femenina vendredi à Baltanas pour décrocher la 257e victoire de son immense carrière.
La Bernoise Marlen Reusser reste 3e du général à la veille de l'arrivée.
Brillante 2e de la première étape de montagne disputée jeudi, Marlen Reusser accuse toujours 46 secondes de retard sur la leader du classement général, la Néerlandaise Demi Vollering, victorieuse de la 5e étape au sommet de Lagunas de Neila.
La rouleuse bernoise peut espérer figurer sur le podium final samedi. Elle abordera l'étape-reine, qui conduira le peloton sur 153 km jusqu'au sommet de l'Alto de Cotobello, avec une marge de 1'03 sur la 4e du général, la Française Cédrine Kerbaol.
Xabi Alonso a annoncé vendredi son départ du Bayer Leverkusen à la fin de la saison. Tout indique qu'il s'apprête à succéder à Carlo Ancelotti à la tête du Real Madrid.
"Les deux matches contre Dortmund et à Mayence seront mes deux derniers en tant qu'entraîneur du Bayer Leverkusen", a expliqué en conférence de presse Xabi Alonso, arrivé fin septembre 2022 pour prendre la place de Gerardo Seoane et dont le contrat courait jusqu'en 2026.
"On a souvent parlé ces derniers temps du bon moment pour faire cette annonce, maintenant c'est le bon moment", a ajouté Xabi Alonso, formé et passé professionnel à la Real Sociedad, et qui a évolué à Liverpool (2004/09), au Real Madrid (2009/14) et au Bayern Munich (2014/17).
Selon les médias espagnols et allemands, le Basque de 43 ans prendra la direction de Madrid à partir de l'été 2025, pour un contrat de trois ans sur le banc du Real.
"C'est un moment avec des émotions mixtes. Je ne vais pas parler du futur. On aura notre propre moment pour faire nos adieux avec le public. On doit apprécier ce moment. Il y a de l'émotion, j'ai parlé avec les joueurs et le staff, tant de personnes qui m'ont aidé au cours de ces trois années incroyables", a-t-il ajouté.
Après sa carrière de joueur, Xabi Alonso a débuté sa formation d'entraîneur avec les équipes jeunes du Real Madrid, avant de prendre la tête de la réserve de la Real Sociedad (2019/22).
Il s'est engagé avec le Bayern Leverkusen pour sa première expérience comme entraîneur d'une équipe d'un championnat du top 5 européen. Il a redressé Leverkusen lors de sa première saison, faisant passer l'équipe de la périphérie de Cologne d'une place de relégable à une qualification européenne.
La saison suivante, il a décroché le premier titre de champion d'Allemagne du Bayer04 en 120 ans d'existence, ne perdant pas un seul des 34 matches de Bundesliga (28 victoires et 6 matches nuls). Il réalise le doublé coupe/championnat et n'échoue qu'en finale de la Ligue Europa (3-0 contre Bergame), la seule défaite de son équipe.
Cette saison, il a tenu un temps tête au Bayern, mais n'est pas parvenu à rééditer la saison parfaite, ratant l'occasion de revenir totalement au contact des Munichois lors du choc à la mi-février (0-0).
En Ligue des champions, Leverkusen a subi la loi du Bayern en huitièmes de finale (5-0 au cumul aller/retour). En Coupe, il a été éliminé par l'Arminia Bielefeld, modeste pensionnaire de 3e division.
Après plusieurs années de mutisme, René Fasel est sorti de son silence. Dans "La Liberté", l'ancien président de l'IIHF regrette d'avoir été traîné dans la boue pour ses relations avec la Russie.
Président pendant 27 ans de la fédération internationale de hockey sur glace, René Fasel a quitté son poste en 2021, remplacé par le Franco-Canadien Luc Tardif. Mais le Fribourgeois n'a pas mis longtemps à se trouver une activité puisqu'il a accepté une offre de la KHL russe pour être président d'un groupe d'experts sur l'arbitrage, lui qui fut arbitre avant de présider aux destinées du hockey mondial. Pour rappel, en mars 2022, Fasel avait dit à Keystone-ATS n'avoir accepté aucune tâche en Russie.
"Mes amis russes avaient besoin d’aide, c’était prévu de longue date que je m’engage auprès d’eux, explique-t-il. Par esprit de loyauté, je ne me voyais pas les laisser tomber." Même en pleine tempête, le Fribourgeois n'a jamais tourné le dos à ses amis de l'Est.
Il avoue sans détour sa passion pour le hockey russe et reconnaît n'avoir jamais pensé rendre son passeport après l'agression des troupes de Vladimir Poutine en Ukraine: "De très bons amis m’ont conseillé de rendre mon passeport russe. Jamais je ne ferai ça. Je l’ai demandé et je l’ai reçu, voilà tout." Le Fribourgeois explique que d'être russe facilite tout là-bas.
Celui qui s'est mué en pèlerin pour amener la NHL aux JO apprécie plus que tout être une main tendue pendant les conflits. L'une de ses plus grandes fiertés sera d'avoir réussi à réunir sous un même drapeau les joueuses de hockey des deux Corées en 2018 pour les Jeux à Pyeongchang. "Le sport sert à rapprocher, pas à éloigner, martèle-t-il depuis toujours. J'aime servir de trait d’union entre deux oppositions. J’en ai fait mon cheval de bataille lors de mes 27 ans à l’IIHF."
De nombreuses voix se sont élevées contre René Fasel lorsque la Russie a agressé l'Ukraine en affirmant que ses liens avec la KHL signifiaient indirectement qu'il cautionnait la guerre. "S’investir dans le sport, ça ne revient pas à cautionner quelqu’un ou quelque chose, se défend le Fribourgeois. Je ne nie pas que la politique sportive existe. Mais je n’accepte pas qu’on me mette dans une case sous prétexte que j’œuvre au sein de la KHL. Vous savez, je suis contre toutes les guerres et pour la paix. Ce qui se passe en Palestine, en Ukraine et ailleurs dans le monde, c’est horrible."
Novak Djokovic revient au Geneva Open qui frappera ses trois coups le 17 mai. Comme l’an dernier, l’homme aux 24 titres du Grand Chelem a accepté la wild card offerte par les organisateurs.
Novak Djokovic a choisi Genève et le Parc des Eaux-Vives pour faire le plein de confiance avant Roland-Garros et pour se relancer après ses éliminations d'entrée de jeu à Monte-Carlo et à Madrid. Après ces deux revers, il a choisi de faire l'impasse sur le Masters 1000 de Rome.
En 2024, il avait apprécié le cadre et l’ambiance du Geneva Open pour retrouver toutes ses sensations sur terre battue. L’accueil très chaleureux du public l’avait particulièrement touché. Cette semaine à Genève qui l’avait conduit jusqu’à une demi-finale contre Tomas Machac lui avait été très profitable. Il devait, ainsi, remporter les dix matches qu’il avait disputés l’an dernier à Paris – 4 aux Internationaux de France et 6 au tournoi olympique --où il a cueilli l’or olympique pour enrichir un palmarès qui est le plus beau de l’histoire de son sport.
Avec Taylor Fritz (ATP 4), Novak Djokovic (ATP 6) et Casper Ruud (ATP 7), l’édition 2025 du Geneva Open pourra compter sur la présence de trois joueurs du top ten. Il s’avance bien comme l’un des tournois ATP 250 les plus relevés de l’année. Pour ses dix ans, le Geneva Open ne pouvait rêver d’une plus belle affiche. On rappellera que deux autres wild cards doivent encore être délivrées.
Finaliste l’an dernier devant Florida, Edmonton est en passe de réussir à nouveau un parcours de choix lors des séries finales. Les Oilers mènent 2-0 dans leur demi-finale de Conference face à Vegas.
Edmonton a cueilli une deuxième victoire dans le Nevada. Les Oilers se sont imposés 5-4 sur une réussite de Leon Draisaitl après 15’20’’ de jeu dans la prolongation. L’Allemand a bénéficié d’un service en or de Connor McDavid pour ne laisser aucune chance au portier Adin Hill.
A l’Est, Washington a égalisé à 1-1 face à Carolina. Sur leur glace, les Capitals ont remporté 3-1 l’Acte II grâce principalement aux 27 arrêts de leur gardien Logan Thompson.
Sans Stephen Curry blessé au mollet, Golden State n’a pas pesé lourd à Minneapolis lors de l’Acte II de sa demi-finale de Conférence. Les Warriors se sont inclinés 117-93 face à Minnesota.
Emmenés par Julius Randle – 24 points et 11 assists -, les Timberwolves se sont imposés 117-93 pour égaliser dans cette série. Après le premier quarter, la messe était déjà dite avec un avantage de 14 points pour Minnesota (29-15). Golden State a dû attendre la 5e minute pour inscrire son premier panier alors que le score était déjà de 13-0.
Stephen Curry ne devrait pas être en mesure de disputer l’Acte III samedi à San Francisco. Son retour est espéré pour le match de lundi.
Primoz Roglic contre Juan Ayuso, l'expérience contre la jeunesse: tel est l'enjeu du Giro d'Italia 2025 qui démarre vendredi.
Un seul coureur suisse sera de la partie: le Jurassien Yannis Voisard, retenu par la formation helvétique Tudor qui bénéficie d'une "wildcard".
Leader de l'équipe Red Bull-Bora, Primoz Roglic imite son compatriote Tadej Pogacar en doublant Giro et Tour de France la même année. Mais il y a une différence majeure: s'il peut raisonnablement viser un deuxième succès sur les routes italiennes, Roglic aura besoin de défaillances des stars Pogacar, Jonas Vingegaard ou Remco Evenepoel pour espérer triompher sur la Grande Boucle cet été.
Sur le Giro, en revanche, en l'absence des trois surdoués du peloton, la Maglia Rosa attise forcément bien plus les convoitises. Vainqueur en 2023, Roglic est le favori logique. Selon les bookmakers, le danger pour lui viendra avant tout de la Team UAE, dont l'effectif demeure impressionnant malgré l'absence du vainqueur sortant Tadej Pogacar.
A 22 ans, Juan Ayuso est le leader annoncé chez UAE. L'Espagnol vise un premier succès final dans un grand Tour. Mais, s'il venait à défaillir, son équipe ne manquera pas d'atouts: Jay Vine, brillant sur le Tour de Romandie, ou Adam Yates sont également susceptibles de mener la vie dure à Primoz Roglic.
Le Tour de Catalogne, fin mars, a proposé une première confrontation qui a tourné à l'avantage du vétéran slovène. Mais Ayuso a tout ce qu'il faut pour triompher. Vainqueur de Tirreno-Adriatico cette saison, il est mûr pour un premier sacre dans un grand Tour, après avoir terminé 3e du Tour d'Espagne 2022 à l'âge de 19 ans.
Le grimpeur jurassien a un seul objectif: accompagner le plus longtemps possible le leader de son équipe, l'Australien Michael Storer, dans les étapes de montagne. Storer affiche certaines ambitions au général, lui qui a remporté récemment le difficile Tour des Alpes après avoir gagné une étape sur Paris-Nice.
Ce Giro, qui passera aussi par la Slovénie et traversera le Vatican lors de l'ultime étape, s'annonce comme toujours montagneux et difficile. Les coureurs devront notamment avaler l'avant-dernier jour les derniers kilomètres non asphaltés du Col du Finestre (2178 m) avant l'ascension finale vers Sestrières. Deux contre-la-montre individuels permettront aussi de creuser les écarts.
L'équipe de Suisse commence son Championnat du monde à Herning par un duel face à la Tchéquie vendredi (16h20). Et les Helvètes veulent leur revanche après la finale perdue l'an dernier à Prague.
On prend presque les mêmes et on recommence. En guise d'apéritif, Patrick Fischer et ses hommes entrent tout de suite dans le bain. D'habitude, la Suisse avait droit à des adversaires d'un calibre inférieur pour lancer sa campagne mondiale, là ce sont les champions du monde qui se dressent face à eux.
Ce remake d'il y a une année environ, Nico Hischier & cie le prennent forcément un peu comme une revanche. L'enjeu n'est bien évidemment pas le même, mais pouvoir se placer idéalement dès le départ serait bénéfique pour la suite. Dans le groupe de Stockholm, le Canada, la Suède et la Finlande semblent prédestinés aux trois premières places, ce qui signifie que la 4e place du groupe pourrait se jouer entre la Slovaquie et la Lettonie, par exemple. Et ces deux nations offriraient une belle chance à la Suisse de rejoindre la Suède pour le dernier carré, si les Helvètes avaient la bonne idée de terminer en tête de leur groupe.
Aux buts, les Tchèques comptent plusieurs joueurs de NHL, dont Vejmelka et Vladar. Et en défense, Filip Hronek n'est pas malhabile. En ajoutant Roman Cervenka, cette formation a plutôt fière allure, même si elle semble un peu moins solide que celle de l'an dernier.
Dans le camp suisse et en attendant de savoir s'il va bientôt pouvoir compter sur Kevin Fiala, Patrick Fischer a placé Tyler Moy avec Hischier et Meier. Damien Riat est lui toujours associé à Malgin et Andrighetto. Pour les paires de défense, on ne change pas une formule qui a fait ses preuves avec Glauser au côté de Janis Moser, le subsitut "idéal" de Roman Josi, alors que Dean Kukan forme un duo 100% zurichois avec Jonas Siegenthaler.
Comme Yann Sommer, Ricardo Rodriguez aura droit à sa finale européenne. L’homme aux 127 sélections jouera celle de la Conference League avec le Betis Séville le 28 mai à Wroclaw.
Les Andalous affronteront Chelsea. Ils ont obtenu le droit de défier les Londoniens à la faveur de leur nul à 2-2 à Florence. Victorieux 1-0 à l’aller, le Betis a forcé la décision à la 97e minute sur une rupture conclue par Abden Ezzalzouli, servi magnifiquement par Antony, l’homme du match.
Ricardo Rodriguez a disputé l’intégralité de cette rencontre. Jusqu’à l’ultime seconde des prolongations, le Zurichois a apporté son calme et son expérience à une défense qui avait été piégée à deux reprises en l’espace de 8 minutes par Robin Gosens. L’Allemand a signé un doublé de la tête sur deux corners pour remettre la Fiorentina à la hauteur du Betis. Seulement, les Andalous méritent amplement leur qualification. Sur le plan du jeu, ils se sont montrés supérieurs aux Florentins.
A Wroclaw, Ricardo Rodriguez aura, pour sa première saison en Liga, l'occasion de couronner une carrière exemplaire par un titre sur la scène européenne, seize ans après sa victoire dans la Coupe du monde M17. Le parcours du défenseur de 32 ans commande un immense respect.
La finale de l’Europa League sera bien un derby anglais. Le 21 mai à Bilbao, Manchester United et Tottenham s’affronteront dans une rencontre dont l’enjeu sera de sauver une saison bien pitoyable.
A Old Trafford, Manchester United jouait sur du velours face à l’Athletic Bilbao après le succès 3-0 au Pays Basque. Même l’ouverture du score de Mikel Jaregizar avant le repos n’a pas altéré la quiétude des Mancuniens qui se sont imposés 4-1 grâce à des réussites dans les vingt dernières minutes de Mason Mont, qui a signé un doublé, Casemiro et Rasmus Höjlund,
Sur la pelouse artificielle de Bodo, Tottenham a également cueilli un deuxième succès. Victorieux 3-1 à l’aller, les Londoniens ont gagné 2-0. Dominic Solanke et Pedro ont marqué après la pause pour mettre un terme à la belle aventure des Norvégiens.
La confiance est de mise au sein de l'équipe de Suisse avant son entrée en lice dans le championnat du monde 2025.
Le coach Patrick Fischer et le capitaine Nico Hischier ne cachent pas leur optimisme à la veille du duel face à la Tchéquie.
Patrick Fischer a annoncé une première décision, mais il n'en a pas (encore) dévoilé d'autres: vendredi dès 16h20, la Suisse alignera sept défenseurs et treize attaquants dans le "remake" de la finale 2024 remportée par les Tchèques.
Deux places restent encore disponibles. Et trois joueurs devront prendre place dans les tribunes, du moins dans un premier temps. Fischer a déterminé lesquels, mais il n'annoncera ces décisions que vendredi après-midi. Aucune information n'a par ailleurs été donnée concernant l'attaquant des L.A. Kings Kevin Fiala, qui se trouvait toujours en Californie jeudi et dont la venue reste possible.
"C'est un grand honneur, c'est un truc cool", se réjouit Nico Hischier. Mais le centre haut-valaisan tenait à souligner, après l'entraînement final de jeudi à Herning, que "nous avons tellement de leaders dans cette équipe et pas de hiérarchie. Chacun dit ce qu'il veut, je trouve ça cool."
Hischier est ravi d'entamer ce Mondial face aux Tchèques, alors que la Suisse a commencé ses derniers Mondiaux contre des outsiders. "De toute façon, il n'y a pas de premier match facile", glisse-t-il. "C'est certainement une très bonne équipe, ce sera intense. Mais si nous livrons la marchandise, nous aurons une chance."
Le succès 5-3 obtenu dimanche dernier à Brno face aux Tchèques dans le cadre du Euro Hockey Tour n'a que peu d'importance. "En fait, cette victoire n'a déjà plus aucune valeur", admet Patrick Fischer. "Cela nous a simplement montré plusieurs choses, mais c'est également le cas pour les Tchèques."
Repêchée à la dernière minute, Viktorija Golubic (WTA 87) a manqué de peu l'exploit au 2e tour du WTA 1000 de Rome.
La Zurichoise s'est inclinée 2-6 7-5 6-1 devant la Japonaise Naomia Osaka (WTA 48) jeudi en début d'après-midi au Foro Italico.
Cette journée avait pourtant démarré comme dans un rêve pour Viktorija Golubic, qui a profité du forfait de Paula Badosa (WTA 10) pour se retrouver directement au 2e tour du tableau final après avoir été éliminée au 2e tour des qualifications. Et elle a mis moins de 30 minutes pour empocher la première manche.
La Zurichoise de 32 ans, dont le jeu tout en variations a posé bien des problèmes à Naomi Osaka, est même passée à quatre points de la victoire. Elle a en effet pu servir pour le gain du match à 6-2 5-4, après avoir signé son cinquième break de la journée. Mais elle n'est pas parvenue à porter l'estocade.
De plus en plus à l'aise à la relance, Naomi Osaka a même empoché huit jeux d'affilée pour mener 5-0 au troisième set. Elle a finalement pu faire parler sa puissance et sa confiance, elle qui a cueilli le titre dimanche dans le Challenger de St-Malo et qui en est désormais à sept succès de suite sur terre battue.
Star des Golden State Warriors, Stephen Curry sera absent pendant au moins une semaine. Le héros de la finale des JO 2024 souffre d'une blessure aux ischio-jambiers, a annoncé la franchise de NBA.
Stephen Curry s'est blessé mardi pendant le match 1 de la demi-finale de la Conférence Ouest, remporté par son équipe 99-88 sur le parquet de Minnesota. Il a quitté le terrain en boîtant dans le deuxième quart-temps et a passé mercredi une IRM qui a confirmé que la star souffrait d'une élongation au niveau du tendon.
Le match 2 aura lieu jeudi dans le Minnesota, le troisième samedi et le quatrième lundi, tous deux à San Francisco. Si tout se déroule pour le mieux dans sa rééducation, Stephen Curry peut espérer revenir aux affaires dans un éventuel acte V.
Bienne renforce son arrière-garde avec l'engagement d'un défenseur finlandais. Oskari Laaksonen a signé pour deux ans, annonce le club seelandais de National League.
Laaksonen (25 ans) a passé les deux dernières saisons en Suède sous le maillot de Lulea, avec qui il vient de décrocher le titre de champion. Il n'a disputé que 31 matches (avec à la clé 23 points) durant l'exercice 2024/25 en raison d'une blessure à un pied qu'il soigne toujours actuellement.
Oskari Laaksonen est le cinquième Finlandais sous contrat avec le HC Bienne pour la saison à venir, le neuvième renfort étranger au total. Le directeur sportif Martin Steinegger devrait se séparer de deux d'entre eux cet été, le défenseur suédois Viktor Lööv n'étant en outre pas certain de poursuivre sa carrière.