Ricardo Rodriguez n’a pas couronné sa magnifique carrière avec un titre européen. A Wroclaw, le Zurichois et le Betis Séville sont tombés devant Chelsea lors de la finale de la Conference League.
Les Andalous se sont inclinés 4-1 après avoir pourtant ouvert le score à la 9e minute par le Marocain Abde. Mais les Londoniens ont renversé la table en l’espace de cinq minutes par Enzo Fernandes (65e) et Nicolas Jackson (70e). L’Argentin et le Sénégalais ont exploité deux centres délicieux de Cole Palmer pour marquer. Longtemps transparent, le maître à jouer de Chelsea est sorti de sa boîte au bon moment pour forcer la décision dans cette finale avec ses deux caviars.
Jadon Sancho a assuré le succès des siens avec le 3-1 de la 83e. L’ancien joueur de Dortmund a trouvé le petit filet opposé pour classer l’affaire. Dans le temps additionnel, c'est l'Equatorien Moises Caicedo qui scellait le score. Un score bien trop sévère pour le Betis.
Avec ce succès, Chelsea complète sa collection après avoir remporté la Ligue des Champions et l’Europa League. On rappellera que la formation d’Enzo Maresca avait entamé sa campagne européenne à la fin août avec un barrage pour le moins "compliqué" devant le Servette FC. Victorieux 2-0 à Stamford Bridge, les Blues avaient été battus 2-1 à Genève dans une rencontre au cours de laquelle ils avaient été vraiment bousculés.
Il n’y a pas eu de miracle pour Jil Teichmann (WTA 97) à Paris. Malgré un début de rencontre remarquable, la gauchère s’est logiquement inclinée 6-3 6-1 devant la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.
Jil Teichmann a mené 3-1 0-30 avant de subir la loi de la Bélarusse qui s’avance comme la grandissime favorite du tournoi même si elle n’a encore jamais joué une finale à Roland-Garros. Au fil des minutes, Aryna Sabalenka a imposé sa formidable puissance pour ne laisser que des miettes à son adversaire, le jeu de l’honneur du second set à 4-0 pour être précis.
Huitième de finaliste du tournoi en 2022, Jil Teichmann n’a pas signé l’impossible exploit pour porter encore les couleurs suisses à Roland-Garros. Après les défaites de Stan Wawrinka lundi, de Viktorija Golubic et Jil Teichmann mercredi, la quinzaine se poursuivra sans aucun ressortissant de Swiss Tennis encore en lice dans les simples. Classé bien trop loin pour être protégés par un statut de tête de série, ce trio abordait, il est vrai le tournoi avec des ambitions fort limitées.
Le tennis suisse est vraiment au creux de la vague avec un Stan Wawrinka en bout de course, une Belinda Bencic trop souvent trahie par son corps et une relève qui tarde à justifier toutes les promesses entretenues ces dernières années. On doute que le rebond puisse se produire dans un mois à Wimbledon.
Le maillot rose Issac Del Toro a enlevé à Bormio la 17e étape du Tour d’Italie. Il a devancé le Français Romain Bardet et l’Equatorien Richard Carapaz qui s’empare de la deuxième place du général.
A la peine la veille, le Mexicain a réagi un grand champion pour cueillir son premier succès d’étape dans un grand tour. Il a attaqué dans la descente sur Bormio pour surprendre Romain Bardet, l’ultime rescapé de l’échappée matinale, et Richard Carapaz, les deux seuls coureurs à l’accompagner dans ce final. Il avait auparavant porté une première offensive dans l’ascension du col de La Motte à laquelle seul Carapaz avait pu répondre.
Le grand perdant du jour se nomme Simon Yates qui a cédé sa deuxième place à Carapaz. Mais les positions demeurent extrêmement serrées avec une avance de 41’’ pour Del Toro sur Carapaz et de 51’’ sur Yates. Jeudi, les trois hommes vivront une étape promise aux sprinters avant les grandes explications de vendredi à Champoluc et de samedi à Sestrière.
Malgré un contrait qui courait encore la saison prochaine, Janne Kuokkanen ne portera plus les couleurs du Lausanne HC. Le club précise que cette séparation s’est faite en plein accord.
L’attaquant de 27 ans avait rejoint le LHC l’été dernier. Il a malheureusement dû mettre un terme à sa saison en janvier en raison d'une blessure à la main après avoir comptabilisé 25 points en 35 matches.
Finaliste en 2023 et 2024 et demi-finaliste l'an dernier, Casper Ruud a chuté au 2e tour de Roland-Garros. Diminué par une blessure au genou, le Norvégien a été éliminé par Nuno Borges (ATP 41).
Le no 8 mondial s'est incliné 2-6 6-4 6-1 6-0 devant le Portugais. On a très vite compris qu'il n'était pas vraiment en mesure de défendre ses chances en raison de cette douleur au genou. Victorieux le mois dernier du Masters 1000 de Madrid, Casper Ruud avait fait l'impasse sur le Geneva Open dont il était le tenant du titre, pour se ménager avant ces Internationaux de France. Son tableau devait le conduire théoriquement vers un quart de finale contre Carlos Alcaraz.
IFK Helsinki participera à la Coupe Spengler cette année. Ce sera la cinquième fois que le club finlandais disputera le traditionnel tournoi, après 1994, 1995, 2004 et 2022.
Sept fois champion de Finlande, IFK Helsinki a été éliminé cette saison en quart de finale des play-off, après avoir bouclé la qualification au quatrième rang. Cinq des six équipes qui seront présentes entre Noël et Nouvel-An dans la station grisonne sont ainsi désormais connues. Outre le HC Davos, club organisateur, et Fribourg-Gottéron, tenant du trophée, le Team Canada et Sparta Prague avaient déjà confirmé leur participation à la 97e édition.
Ce n'est pas cette année que Viktorija Golubic (WTA 78) disputera pour la première fois les 16es de finale à Roland-Garros. La Zurichoise de 32 ans s'est inclinée au 2e tour mercredi.
La vice-championne olympique 2021 de double a même été lourdement battue (6-0 6-2 en 55') par Amanda Anisimova (WTA 16), qui avait atteint le dernier carré en 2019 sur la terre battue parisienne à l'âge de 17 ans. Elle a su sortir la tête de l'eau après un premier set cauchemardesque pour elle, mais n'a rien ou faire au final.
Viktorija Golubic a, comme souvent, payé cher son déficit de puissance. Amanda Anisimova l'a pleinement exploité, en remportant notamment 75% des points disputés derrière la deuxième balle de service de la Suissesse (12/16). L'Américaine a certes commis 22 fautes directes, mais elle a surtout armé 26 coups gagnants.
Auteure quant à elle de 10 erreurs non provoquées et de 4 "winners" seulement (1 dans le premier set !), Viktorija Golubic a fait illusion en signant le break d'entrée dans la deuxième manche. Elle ne l'a pas confirmé, mais a résisté jusqu'à 2-2. Amanda Anisimova a alors serré sa garde pour empocher les quatre derniers jeux.
Les Pacers sont à un succès de la deuxième finale NBA de leur histoire. Indiana s'est imposé 130-121 face aux New York Knicks mardi à domicile pour mener 3-1 en finale de la Conférence Est.
Battue 106-100 dans un match 3 où ils avaient pourtant compté jusqu'à 20 points d'avance, la franchise d'Indiananapolis a cette fois-ci su contenir les assauts des Knicks. Les Pacers ont pris une marge de 15 points (111-96 à 9'53 du "buzzer"), qu'ils ont parfaitement su gérer.
Indiana, dont la seule finale NBA remonte à l'an 2000 (défaite en six matches face aux Lakers), a pu compter sur un grand Tyrese Haliburton mardi. L'arrière a signé un triple double historique en cumulant 32 points, 15 passes décisives et 12 rebonds sans commettre la moindre perte de balle. Il a ajouté 4 interceptions.
Sacré en 2019 sous le maillot de Toronto, le Camerounais Pascal Siakam s'est également montré décisif dans cet acte IV en réussissant 30 points (à 3/4 derrière l'arc) et 5 rebonds. Du côté des Knicks, Jalen Brunson a marqué 31 points, Karl-Anthony Towns compilant quant à lui 24 points et 12 rebonds.
Les Pacers viseront la qualification au Madison Square Garden à Manhattan jeudi lors du match 5. Les Knicks devront compter sur l'énergie du "MSG" pour espérer un miracle: seules 13 équipes ont remporté une série après avoir été menées 3-1 dans l'histoire de la NBA, la dernière remontée de la sorte ayant été réussie en 2020.
Lian Bichsel et les Stars sont au bord du précipice. Battu 4-1 mardi à Edmonton, Dallas est désormais mené 3-1 par les Oilers en finale de la Conférence Ouest de NHL.
Les Oilers ont décroché mardi une troisième victoire d'affilée dans cette série pour se retrouver à un succès d'une deuxième finale consécutive de Coupe Stanley, un an après avoir été battus en sept matches par les Panthers au stade ultime. Ils ont d'ailleurs gagné les neuf derniers matches 4 qu'ils ont disputés.
La franchise de l'Alberta a fait la différence grâce à l'efficacité de son "powerplay" (2/3), Leon Draisaitl (12e) et Corey Perry (30e) ayant inscrit le 1-0 et le 2-1 dans cette situation. Dallas n'a pour sa part converti qu'une seule de ses quatre occasions en supériorité numérique, grâce à Jason Robertson (27e, 2-1).
Les Stars, qui ont aligné leur défenseur soleurois Lian Bichsel pendant un peu plus de 11' (pour un bilan neutre), ont encaissé le 3-1 et le 4-1 dans les trois dernières minutes du temps réglementaire. Leur gardien Jake Oettinger avait alors quitté sa cage.
La tâche de Dallas s'annonce forcément compliquée. Une seule équipe est parvenue à retourner la table dans une finale de Conférence au cours de ce millénaire après avoir été menée 3-1: les New Jersey Devils version 1999/2000, qui avaient renversé Philadelphie en finale à l'Est avant d'aller conquérir la Coupe Stanley.
Malgré la cruelle défaite en finale du Mondial, Lars Weibel est fier du travail accompli par le sélectionneur Patrick Fischer et l'équipe de Suisse.
Enthousiaste à propos des échéances à venir, le directeur des équipes nationales a accordé une interview à Keystone-ATS lundi en marge de l'accueil des vice-champions du monde à la patinoire de Kloten.
- Lars Weibel, lorsque les Etats-Unis ont marqué le 1-0 décisif en prolongation, qu'est-ce qui vous est passé par la tête?
"Je crois que je n'ai jamais ressenti un tel vide en moi de toute ma vie. C'était un sentiment terrible, car cette année, tout était parfait. Nous aurions mérité le titre."
- Avez-vous déjà digéré cette nouvelle défaite en finale?
"J'ai appris que l'on ne peut pas changer ce qui s'est passé. J'ai rapidement pris conscience de ce que nous avons accompli durant ce tournoi. Nous avons réussi à développer encore notre jeu malgré l'intégration de plusieurs jeunes. Nous étions plus rapides, nous jouions de manière plus directe, nous étions encore plus forts physiquement. Tout cela me réjouit en vue des Jeux olympiques et du Mondial à la maison (en 2026). C'est sans doute pour cela que j'accepte plus rapidement cet échec que les joueurs, qui doivent encore se mordre les doigts."
- Que manque-t-il encore à la Suisse pour gravir la dernière marche?
"Il est difficile de donner une réponse précise à cette question. Nous devons encore faire un débriefing. Mais les Etats-Unis sont très forts. Ils ont incroyablement bien joué et ne nous ont pas laissé beaucoup de possibilités. Nous n'avons pas vraiment réussi à retrouver la même énergie que précédemment dans le tournoi. Et surtout, il nous a manqué une fois de plus du sang-froid devant la cage en finale. Nous allons analyser tout cela proprement et mettre en œuvre les enseignements dès la saison prochaine."
- Quelle est votre plus grande fierté?
"Le caractère de l'équipe. Je sais que cela sonne comme une formule toute faite, mais quand je vois comment cette équipe s'est comportée, comment les joueurs s'en veulent jusqu'aux larmes de ne pas avoir permis à "Büeli" (Ambühl) de remporter une médaille d'or, quand je vois un leader comme Nico (Hischier) vouloir absolument rester dans l'équipe après sa blessure... Tout cela est unique. Cette équipe a les pieds sur terre. Il n'y a pas de hiérarchie et tout le monde est sur un pied d'égalité. Les garçons mettent en pratique ce que nous donnons en exemple. Nous avons poursuivi notre chemin sans faillir et avec détermination et je crois que la population suisse est fière de nous. C'est déjà pas mal."
- Lors du précédent Championnat du monde, la Suisse était très dépendante des joueurs de NHL. Cette année, ce sont deux joueurs de National League (Tyler Moy et Denis Malgin) qui ont compté le plus de points et l'équipe semblait plus homogène. Comment l'expliquez-vous?
"Il y a deux composantes. L'une est que le coaching staff croit en les jeunes et ces derniers font honneur à cette confiance avec de belles performances. L'autre est que nous appliquons correctement notre vision. Comme la dernière sélection n'était pas la plus jeune, nous avons cherché des solutions. Nous avons le courage de penser à long terme, même si nous voulons bien sûr atteindre les sommets."
- A quel point cette deuxième médaille d'argent consécutive donne-t-elle un coup de boost en vue du prochain Mondial, qui se déroulera à Fribourg et à Zurich?
"C'est une super campagne de pub pour ce Championnat du monde à la maison. Mais cela fait aussi grimper les attentes. Nous savons exactement ce qu'il faudra faire pour rallier ne serait-ce que les quarts de finale. Je suis très excité à l'idée de disputer ce tournoi devant notre public, mais pour l'instant c'est encore loin. Nous allons d'abord nous concentrer sur la prochaine édition de l'Euro Hockey Tour et bien sûr, sur le tournoi olympique."
Avant le tour de Yann Sommer en Ligue des champions, Ricardo Rodriguez peut aussi décrocher un titre européen. Il affronte Chelsea en finale de la Conference League mercredi avec le Betis.
A Wroclaw, en Pologne, Ricardo Rodriguez vise avec le club sévillan le troisième trophée de sa carrière professionnelle. L'homme aux 127 sélections en équipe de Suisse n'a plus goûté aux délices d'un sacre depuis sa victoire en Supercoupe d'Allemagne en 2015 avec Wolfsburg.
Le Betis n'avait jamais dépassé les quarts de finale d'une compétition européenne jusqu'à cette année. La troupe de l'expérimenté entraîneur chilien Manuel Pellegrini - qui a par le passé coaché le Real Madrid et Manchester City - a réussi une vraie belle saison en bouclant le championnat espagnol au 6e rang, se qualifiant ainsi pour la prochaine Europa League.
Le club espagnol ne partira malgré tout pas favori dans cette quatrième finale de cette jeune compétition qu'est la Conference League. Chelsea, qui a atteint lors de la dernière journée de Premier League son objectif minimal en se qualifiant pour la Ligue des champions, a les faveurs du pronostic.
Les Grasshoppers ont fait un pas décisif vers le maintien. A Lugano, ils ont battu 4-0 le FC Aarau en match aller du barrage de promotion/relégation.
Même si l’histoire rappelle que les miracles peuvent exister dans cette double confrontation, on voit mal comment les Zurichois pourraient tout perdre vendredi au Brügglifeld. Comme lors des dernières journées du championnat de la Challenge League, le FC Aarau a dévoilé bien des lacunes dans cette première manche. Ce score de 4-0 ne les lèse même pas dans la mesure où la supériorité adverse fut parfois écrasante. Cette équipe n’a pas le niveau pour aspirer à une promotion au sein de l’élite.
Après avoir trouvé à deux reprises les montants dans les premières minutes, les Grasshoppers ouvraient le score à la 14e sur une frappe splendide du Sud-Coréen Lee Young-Jun. Pascal Schürpf, qui avait relayé Young-Jun blessé, signait le 2-0 à la 40e sur un centre en retrait magnifique de Tomas Veron Lupi. Après le repos, GC a enfoncé le clou grâce à un tir à bout portant de Nicolas Muci (79e) et à un penalty d’Ayumu Seko (86e).
La Suisse a cueilli l'argent au concours par équipes des Championats d'Europe de Leipzig. Noe Seifert, Luca et Matteo Giubellini, Florian Langenegger et Ian Raubal ont écrit une page d'histoire.
Jamais en effet, une équipe de Suisse n'avait obtenu un tel résultat dans un grand championnat. Il y avait eu, certes, le bronze aux Championnats d'Europe de Berne en 2016, mais cette deuxième place à Leipzig restera longtemps comme un résultat extraordinaire.
La Suisse n'a été devancée que par la Grande-Bretagne. Le bronze est revenu à l'Italie.
Les Lions de Genève ont cueilli un troisième titre. Champions en 2013 2015, ils ont réussi la passe de trois à la faveur de leur succès 80-74 sur Fribourg Olympic dans l’Acte IV de la finale.
Déjà victorieux de la Coupe de Suisse, les Lions ont réussi un doublé bien inattendu pour la première saison sur le banc de Patrick Pembele. Face aux... sextuples tenants du titre, ils n’ont absolument rien volé. Après leur défaite dans l’Acte I, ils ont su admirablement exploiter les points faibles de l’adversaire pour signer trois victoires consécutives et remporter cette série 3-1.
Fribourg Olympic avait pourtant entamé de la plus belle des manières cet Acte IV. Olympic a, en effet, compté 12 points d’avance (16-4) à la 7e. Mais les Fribourgeois n’ont pas poussé plus loin leur avantage. Et au fil des minutes, les Lions ont trouvé leurs marques. Menés de 7 points à la pause (33-40), ils sont passés devant pour la première au début du dernier quarter.
Poussé par son public, la formation genevoise a maitrisé son sujet lors des dix dernières minutes face à des Fribourgeois qui ont multiplié les mauvais choix à l’image de Ross Williams (2 sur 10) et qui ont accusé une fois de plus une maladresse bien coupable au lancer franc (16 sur 24). Enfin on précisera que Roberto Kovac, déjà bien nerveux lors de l’Acte III, a écopé d’une faute technique pour regagner prématurément les vestiaires...
Dans le camp des vainqueurs, Paul Gavet a trouvé bien des espaces dans la raquette adverse pour inscrire 19 points. Il fut l’homme du match avec notamment son 9 sur 9 sur la ligne des lancers francs qui a dû laisser les Fribourgeois bien songeurs...
Michelle Heimberg a cueilli le titre aux 3 m lors des Championnats d’Europe d’Antalya. Médaillée de bronze sur le 1 m vendredi, l’Argovienne de 25 ans est en passe de se bâtir un superbe palmarès.
Championne d’Europe du 1 m en 2003, elle est montée mardi pour la huitième fois déjà sur un podium continental. Première des qualifications du matin avec 311,5 points, elle a gagné avec un total de 335,10 pour devancer l’Arménienne Aleksandra Bibikna (322,95) et l’Allemande Lena Corona Hentschel (312,70).
Cette victoire en Turquie valide le choix arrêté après son échec aux Mondiaux de Doha en février 2024 qui lui avait fermé les portes des Jeux de Paris. Michelle Heimberg avait, en effet, décidé de s’accorder une longue pause de six mois. La voilà revenue plus forte que jamais !