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Indiana mène 3-1 ++ Les Stars au bord du précipice

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Indiana mène 3-1 ++ Les Stars au bord du précipice

Elles sont là, elles sont fraîches! Les infos sportives à ne pas rater.
09.01.2024, 14:2828.05.2025, 07:52
team watson / ats
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Indiana mène 3-1 face aux Knicks en finale à l'Est

Tyrese Haliburton a sorti le grand jeu mardi face aux Knicks
Tyrese Haliburton a sorti le grand jeu mardi face aux KnicksImage: KEYSTONE/AP/Michael Conroy

Les Pacers sont à un succès de la deuxième finale NBA de leur histoire. Indiana s'est imposé 130-121 face aux New York Knicks mardi à domicile pour mener 3-1 en finale de la Conférence Est.
Battue 106-100 dans un match 3 où ils avaient pourtant compté jusqu'à 20 points d'avance, la franchise d'Indiananapolis a cette fois-ci su contenir les assauts des Knicks. Les Pacers ont pris une marge de 15 points (111-96 à 9'53 du "buzzer"), qu'ils ont parfaitement su gérer.
Indiana, dont la seule finale NBA remonte à l'an 2000 (défaite en six matches face aux Lakers), a pu compter sur un grand Tyrese Haliburton mardi. L'arrière a signé un triple double historique en cumulant 32 points, 15 passes décisives et 12 rebonds sans commettre la moindre perte de balle. Il a ajouté 4 interceptions.
Sacré en 2019 sous le maillot de Toronto, le Camerounais Pascal Siakam s'est également montré décisif dans cet acte IV en réussissant 30 points (à 3/4 derrière l'arc) et 5 rebonds. Du côté des Knicks, Jalen Brunson a marqué 31 points, Karl-Anthony Towns compilant quant à lui 24 points et 12 rebonds.
Les Pacers viseront la qualification au Madison Square Garden à Manhattan jeudi lors du match 5. Les Knicks devront compter sur l'énergie du "MSG" pour espérer un miracle: seules 13 équipes ont remporté une série après avoir été menées 3-1 dans l'histoire de la NBA, la dernière remontée de la sorte ayant été réussie en 2020.

Bichsel et les Stars au bord du précipice face aux Oilers

Connor McDavid (97) et les Oilers sont à un succès d'une deuxième finale de Coupe Stanley consécutive
Connor McDavid (97) et les Oilers sont à un succès d'une deuxième finale de Coupe Stanley consécutiveImage: KEYSTONE/AP/JASON FRANSON

Lian Bichsel et les Stars sont au bord du précipice. Battu 4-1 mardi à Edmonton, Dallas est désormais mené 3-1 par les Oilers en finale de la Conférence Ouest de NHL.
Les Oilers ont décroché mardi une troisième victoire d'affilée dans cette série pour se retrouver à un succès d'une deuxième finale consécutive de Coupe Stanley, un an après avoir été battus en sept matches par les Panthers au stade ultime. Ils ont d'ailleurs gagné les neuf derniers matches 4 qu'ils ont disputés.
La franchise de l'Alberta a fait la différence grâce à l'efficacité de son "powerplay" (2/3), Leon Draisaitl (12e) et Corey Perry (30e) ayant inscrit le 1-0 et le 2-1 dans cette situation. Dallas n'a pour sa part converti qu'une seule de ses quatre occasions en supériorité numérique, grâce à Jason Robertson (27e, 2-1).
Les Stars, qui ont aligné leur défenseur soleurois Lian Bichsel pendant un peu plus de 11' (pour un bilan neutre), ont encaissé le 3-1 et le 4-1 dans les trois dernières minutes du temps réglementaire. Leur gardien Jake Oettinger avait alors quitté sa cage.
La tâche de Dallas s'annonce forcément compliquée. Une seule équipe est parvenue à retourner la table dans une finale de Conférence au cours de ce millénaire après avoir été menée 3-1: les New Jersey Devils version 1999/2000, qui avaient renversé Philadelphie en finale à l'Est avant d'aller conquérir la Coupe Stanley.

"Cette année, tout était parfait...", regrette Lars Weibel

Malgré la cruelle défaite en finale du Mondial, Lars Weibel est fier du travail accompli par le sélectionneur Patrick Fischer et l'équipe de Suisse.
Enthousiaste à propos des échéances à venir, le directeur des équipes nationales a accordé une interview à Keystone-ATS lundi en marge de l'accueil des vice-champions du monde à la patinoire de Kloten.
- Lars Weibel, lorsque les Etats-Unis ont marqué le 1-0 décisif en prolongation, qu'est-ce qui vous est passé par la tête?
"Je crois que je n'ai jamais ressenti un tel vide en moi de toute ma vie. C'était un sentiment terrible, car cette année, tout était parfait. Nous aurions mérité le titre."
- Avez-vous déjà digéré cette nouvelle défaite en finale?
"J'ai appris que l'on ne peut pas changer ce qui s'est passé. J'ai rapidement pris conscience de ce que nous avons accompli durant ce tournoi. Nous avons réussi à développer encore notre jeu malgré l'intégration de plusieurs jeunes. Nous étions plus rapides, nous jouions de manière plus directe, nous étions encore plus forts physiquement. Tout cela me réjouit en vue des Jeux olympiques et du Mondial à la maison (en 2026). C'est sans doute pour cela que j'accepte plus rapidement cet échec que les joueurs, qui doivent encore se mordre les doigts."
- Que manque-t-il encore à la Suisse pour gravir la dernière marche?
"Il est difficile de donner une réponse précise à cette question. Nous devons encore faire un débriefing. Mais les Etats-Unis sont très forts. Ils ont incroyablement bien joué et ne nous ont pas laissé beaucoup de possibilités. Nous n'avons pas vraiment réussi à retrouver la même énergie que précédemment dans le tournoi. Et surtout, il nous a manqué une fois de plus du sang-froid devant la cage en finale. Nous allons analyser tout cela proprement et mettre en œuvre les enseignements dès la saison prochaine."
- Quelle est votre plus grande fierté?
"Le caractère de l'équipe. Je sais que cela sonne comme une formule toute faite, mais quand je vois comment cette équipe s'est comportée, comment les joueurs s'en veulent jusqu'aux larmes de ne pas avoir permis à "Büeli" (Ambühl) de remporter une médaille d'or, quand je vois un leader comme Nico (Hischier) vouloir absolument rester dans l'équipe après sa blessure... Tout cela est unique. Cette équipe a les pieds sur terre. Il n'y a pas de hiérarchie et tout le monde est sur un pied d'égalité. Les garçons mettent en pratique ce que nous donnons en exemple. Nous avons poursuivi notre chemin sans faillir et avec détermination et je crois que la population suisse est fière de nous. C'est déjà pas mal."
- Lors du précédent Championnat du monde, la Suisse était très dépendante des joueurs de NHL. Cette année, ce sont deux joueurs de National League (Tyler Moy et Denis Malgin) qui ont compté le plus de points et l'équipe semblait plus homogène. Comment l'expliquez-vous?
"Il y a deux composantes. L'une est que le coaching staff croit en les jeunes et ces derniers font honneur à cette confiance avec de belles performances. L'autre est que nous appliquons correctement notre vision. Comme la dernière sélection n'était pas la plus jeune, nous avons cherché des solutions. Nous avons le courage de penser à long terme, même si nous voulons bien sûr atteindre les sommets."
- A quel point cette deuxième médaille d'argent consécutive donne-t-elle un coup de boost en vue du prochain Mondial, qui se déroulera à Fribourg et à Zurich?
"C'est une super campagne de pub pour ce Championnat du monde à la maison. Mais cela fait aussi grimper les attentes. Nous savons exactement ce qu'il faudra faire pour rallier ne serait-ce que les quarts de finale. Je suis très excité à l'idée de disputer ce tournoi devant notre public, mais pour l'instant c'est encore loin. Nous allons d'abord nous concentrer sur la prochaine édition de l'Euro Hockey Tour et bien sûr, sur le tournoi olympique."

Ricardo Rodriguez et le Betis défient Chelsea en finale

Avant le tour de Yann Sommer en Ligue des champions, Ricardo Rodriguez peut aussi décrocher un titre européen. Il affronte Chelsea en finale de la Conference League mercredi avec le Betis.
A Wroclaw, en Pologne, Ricardo Rodriguez vise avec le club sévillan le troisième trophée de sa carrière professionnelle. L'homme aux 127 sélections en équipe de Suisse n'a plus goûté aux délices d'un sacre depuis sa victoire en Supercoupe d'Allemagne en 2015 avec Wolfsburg.
Le Betis n'avait jamais dépassé les quarts de finale d'une compétition européenne jusqu'à cette année. La troupe de l'expérimenté entraîneur chilien Manuel Pellegrini - qui a par le passé coaché le Real Madrid et Manchester City - a réussi une vraie belle saison en bouclant le championnat espagnol au 6e rang, se qualifiant ainsi pour la prochaine Europa League.
Le club espagnol ne partira malgré tout pas favori dans cette quatrième finale de cette jeune compétition qu'est la Conference League. Chelsea, qui a atteint lors de la dernière journée de Premier League son objectif minimal en se qualifiant pour la Ligue des champions, a les faveurs du pronostic.

Les Grasshoppers assurent pratiquement leur maintien

Lee Young-Jun vient d'ouvrir le score pour les Grasshoppers.
Lee Young-Jun vient d'ouvrir le score pour les Grasshoppers.Image: KEYSTONE/SAMUEL GOLAY

Les Grasshoppers ont fait un pas décisif vers le maintien. A Lugano, ils ont battu 4-0 le FC Aarau en match aller du barrage de promotion/relégation.
Même si l’histoire rappelle que les miracles peuvent exister dans cette double confrontation, on voit mal comment les Zurichois pourraient tout perdre vendredi au Brügglifeld. Comme lors des dernières journées du championnat de la Challenge League, le FC Aarau a dévoilé bien des lacunes dans cette première manche. Ce score de 4-0 ne les lèse même pas dans la mesure où la supériorité adverse fut parfois écrasante. Cette équipe n’a pas le niveau pour aspirer à une promotion au sein de l’élite.
Après avoir trouvé à deux reprises les montants dans les premières minutes, les Grasshoppers ouvraient le score à la 14e sur une frappe splendide du Sud-Coréen Lee Young-Jun. Pascal Schürpf, qui avait relayé Young-Jun blessé, signait le 2-0 à la 40e sur un centre en retrait magnifique de Tomas Veron Lupi. Après le repos, GC a enfoncé le clou grâce à un tir à bout portant de Nicolas Muci (79e) et à un penalty d’Ayumu Seko (86e).

Un résultat historique pour les gymnastes suisses

Matteo Giubellini et les Suisses en argent
Matteo Giubellini et les Suisses en argent Image: KEYSTONE/AP/CHARLIE RIEDEL

La Suisse a cueilli l'argent au concours par équipes des Championats d'Europe de Leipzig. Noe Seifert, Luca et Matteo Giubellini, Florian Langenegger et Ian Raubal ont écrit une page d'histoire.
Jamais en effet, une équipe de Suisse n'avait obtenu un tel résultat dans un grand championnat. Il y avait eu, certes, le bronze aux Championnats d'Europe de Berne en 2016, mais cette deuxième place à Leipzig restera longtemps comme un résultat extraordinaire.
La Suisse n'a été devancée que par la Grande-Bretagne. Le bronze est revenu à l'Italie.

Les Lions de Genève renversent Fribourg Olympic

Un succès amplement mérité pour Noé Anabir et les Lions de Genève.
Un succès amplement mérité pour Noé Anabir et les Lions de Genève.Image: KEYSTONE/CYRIL ZINGARO

Les Lions de Genève ont cueilli un troisième titre. Champions en 2013 2015, ils ont réussi la passe de trois à la faveur de leur succès 80-74 sur Fribourg Olympic dans l’Acte IV de la finale.
Déjà victorieux de la Coupe de Suisse, les Lions ont réussi un doublé bien inattendu pour la première saison sur le banc de Patrick Pembele. Face aux... sextuples tenants du titre, ils n’ont absolument rien volé. Après leur défaite dans l’Acte I, ils ont su admirablement exploiter les points faibles de l’adversaire pour signer trois victoires consécutives et remporter cette série 3-1.
Fribourg Olympic avait pourtant entamé de la plus belle des manières cet Acte IV. Olympic a, en effet, compté 12 points d’avance (16-4) à la 7e. Mais les Fribourgeois n’ont pas poussé plus loin leur avantage. Et au fil des minutes, les Lions ont trouvé leurs marques. Menés de 7 points à la pause (33-40), ils sont passés devant pour la première au début du dernier quarter.
Poussé par son public, la formation genevoise a maitrisé son sujet lors des dix dernières minutes face à des Fribourgeois qui ont multiplié les mauvais choix à l’image de Ross Williams (2 sur 10) et qui ont accusé une fois de plus une maladresse bien coupable au lancer franc (16 sur 24). Enfin on précisera que Roberto Kovac, déjà bien nerveux lors de l’Acte III, a écopé d’une faute technique pour regagner prématurément les vestiaires...
Dans le camp des vainqueurs, Paul Gavet a trouvé bien des espaces dans la raquette adverse pour inscrire 19 points. Il fut l’homme du match avec notamment son 9 sur 9 sur la ligne des lancers francs qui a dû laisser les Fribourgeois bien songeurs...

Un deuxième titre européen pour Michelle Heimberg

Michelle Heimberg: plus forte que jamais après six mois de pause.
Michelle Heimberg: plus forte que jamais après six mois de pause.Image: KEYSTONE/EPA EFE

Michelle Heimberg a cueilli le titre aux 3 m lors des Championnats d’Europe d’Antalya. Médaillée de bronze sur le 1 m vendredi, l’Argovienne de 25 ans est en passe de se bâtir un superbe palmarès.
Championne d’Europe du 1 m en 2003, elle est montée mardi pour la huitième fois déjà sur un podium continental. Première des qualifications du matin avec 311,5 points, elle a gagné avec un total de 335,10 pour devancer l’Arménienne Aleksandra Bibikna (322,95) et l’Allemande Lena Corona Hentschel (312,70).
Cette victoire en Turquie valide le choix arrêté après son échec aux Mondiaux de Doha en février 2024 qui lui avait fermé les portes des Jeux de Paris. Michelle Heimberg avait, en effet, décidé de s’accorder une longue pause de six mois. La voilà revenue plus forte que jamais !

Ricardo Moniz limogé

Ricardo Moniz: son bilan ne parlait pas vraiment pour lui...
Ricardo Moniz: son bilan ne parlait pas vraiment pour lui...Image: KEYSTONE/TIL BUERGY

Ricardo Moniz n'est plus l'entraîneur du FC Zurich. Le Néerlandais de 60 ans paie logiquement le tribut à une saison bien décevante. Son contrat courait jusqu'au 30 juin 2026.
Intronisé en avril 2024, Ricardo Moniz n'est pas parvenu à hisser le FC Zurich parmi les six premiers de la Super League malgré une place de leader au soir de la 14e journée. Le parcours du club en Conference League et en Coupe de Suisse n'a également pas répondu aux attentes.
Le FC Zurich se donne encore du temps avant de nommer son successeur.

Justin Murisier opéré au dos

Justin Murisier: place désormais à la rééducation.
Justin Murisier: place désormais à la rééducation.Image: KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT

Nouveau coup d’arrêt pour Justin Murisier ! Le Valaisan a subi mardi une opération au dos. L’intervention s'est avérée nécessaire en raison des douleurs ressenties au niveau L5-S1 de l’hernie.
Justin Murisier avait souffert du même mal il y a trois ans. Mais si la rééducation se déroule normalement, il devrait être en mesure de reprendre l’entraînement sur neige en même temps que ses coéquipiers. "Je vais me battre pour revenir", indique le skieur de 33 ans dans un communiqué de Swiss Ski.

Isaac Del Toro à la peine

Isaac Del Toro Romero: son maillot rose ne tient plus qu'
Isaac Del Toro Romero: son maillot rose ne tient plus qu'Image: KEYSTONE/EPA/LUCA ZENNARO

Christian Scaroni a signé la première victoire italienne sur le Giro. Il s’est imposé au sommet de San Valentino di Brentonico lors de la 16e étape devant son coéquipier Lorenzo Fortunato.
Le doublé des coureurs de la formation Astana a conclu une étape complètement folle marquée par l'abandon de Primoz Roglic, la défaillance de Juan Ayuso, les signes de faiblesse d'Isaac del Toro et la bonne opération de Richard Carapaz au général. Sans oublier la formidable performance de Yannis Voisard. Membre de l’échappée de la journée, le Jurassien a attaqué l’ascension finale seul en tête avec une avance de 40’’.
Yannis Voisard n’a toutefois rien pu faire devant la force collective des Astana qui étaient les mieux représentés dans l’échappée qui aura finalement été jusqu’au bout. Il s’est classé dixième de l’étape pour traverser sans doute l’une des plus belles journées de sa carrière.
Incapable de répondre à une attaque de Richard Carapaz, Issac Del Toro a ensuite dû laisser partir son dauphin Simon Yates. Le Mexicain a toutefois pu conserver son maillot rose. Mais Yates, à 26'' désormais de Del Toro et Carapaz, à 31'', semblent bien avoir pris la main à cinq jours de l’arrivée à Rome.
L'autre grand perdant du jour est Juan Ayuso, qui était le leader désigné de l'équipe UAE mais qui a complètement explosé à plus de 42 km de l'arrivée dès les premiers lacets du difficile col de Santa Barbara, l'avant-dernière ascension du jour. En perdition, attendu par aucun équipier, l'Espagnol a concédé près de quinze minutes sur la ligne pour perdre toutes chances d'accéder au podium.

Cédric Zesiger définitivement transféré

Cédric Zesiger (à gauche) au duel avec Harry Kane lors d'un match contre le Bayern Munich
Cédric Zesiger (à gauche) au duel avec Harry Kane lors d'un match contre le Bayern MunichImage: KEYSTONE/AP/MATTHIAS SCHRADER

L’avenir de Cédric Zesiger s’inscrit à Augsbourg. Le club bavarois a levé l’option d’achat du défenseur seelandais qui a été prêté par Wolfsburg cet hiver.
L’international de 26 ans s’est engagé jusqu’en 2029. Son transfert se serait finalisé à la hauteur de 4 millions d’euros selon le magazine Kicker. Titulaire dans une défense à trois, Cedric Zesiger a été l’un des grands artisans du parcours d’Augsbourg cette année en Bundesliga. Augsbourg et Zesiger ont, ainsi, réussi six clean sheets d’affilée pour se classer finalement au 12e rang de la Bundesliga.

Ca passe pour Zverev, Medvedev prend déjà la porte

Alexander Zverev a réussi son entrée en matière à Roland-Garros.
Alexander Zverev a réussi son entrée en matière à Roland-Garros.Image: KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT

Finaliste sortant, l'Allemand Alexander Zverev a aisément franchi le premier tour de Roland-Garros mardi. Le Russe Daniil Medvedev a lui été éliminé d'entrée par le Britannique Cameron Norrie.
Zverev (ATP 3) n'a laissé aucune chance au jeune américain Learner Tien (ATP 67), qui s'était hissé en huitièmes de finale de l'Open d'Australie en janvier. L'Allemand de 28 ans s'est imposé en trois sets, 6-3 6-3 6-4, en moins de deux heures de jeu, sur le court Suzanne-Lenglen.
De son côté, Daniil Medvedev (ATP 11) a courbé l'échine en cinq sets face à Cameron Norrie (ATP 81). L'ex-no 1 mondial a remonté deux sets de retard avant de finalement s'incliner 7-5 6-3 4-6 1-6 7-5 sur le court Simonne-Mathieu.
Le Russe, qui n'a plus remporté de tournoi sur le circuit depuis le printemps 2023, enchaîne un deuxième échec cuisant en Grand Chelem après sa défaite dès le deuxième tour de l'Open d'Australie en janvier.
Cameron Norrie surfe sur la vague de sa très belle semaine au Geneva Open. Le demi-finaliste de Wimbledon 2022 avait enchaîné cinq succès au parc des Eaux-Vives la semaine dernière (dont deux en qualifications) avant de subir la loi de Novak Djokovic en demi-finale.
Coco Gauff facile Chez les femmes, la no 2 mondiale Coco Gauff s'est facilement qualifiée pour le deuxième tour en battant l'Australienne Olivia Gadecki (WTA 91) 6-2 6-2. L'Américaine de 21 ans a expédié son adversaire du jour en à peine plus d'une heure sur le court Philippe-Chatrier.
Lors des trois dernières éditions de Roland-Garros, la route de Gauff a systématiquement été barrée par la future lauréate Iga Swiatek, dont une fois en finale en 2022.

Primoz Roglic abandonne lors de la 16e étape

Primoz Roglic au départ de la 16e étape ce mardi 27 mai.
Primoz Roglic au départ de la 16e étape ce mardi 27 mai.Image: KEYSTONE/EPA/LUCA ZENNARO

Primoz Roglic a abandonné lors de la 16e étape du Giro, ont annoncé les organisateurs. Le Slovène a été victime d'une nouvelle chute sous la pluie mardi, à environ 95 km de l'arrivée.
Le leader de l'équipe Red Bull Bora a glissé sur une route détrempée, au pied de la première descente de cette étape de montagne. L'Equatorien Richard Carapaz (EF), 4e du classement général, a lui aussi goûté au bitume mais a pu repartir, contrairement au Slovène, qui a décidé de jeter l'éponge.
Le coureur de 35 ans a été victime d'une succession de chutes dans ce Giro. Après avoir perdu son principal lieutenant Jai Hindley, tombé au cours de la 6e étape, Roglic a chuté lors de la 9e étape et encore le lendemain lors de la reconnaissance du contre-la-montre.
Pas au meilleur de sa forme, le vainqueur de l'édition 2023 avait perdu espoir de remporter le maillot rose en terminant loin des leaders dimanche à Asiago. Dixième du classement général au départ mardi, Roglic comptait près de 4 minutes de retard sur le leader, le Mexicain d'UAE Isaac del Toro.

Tomas Tatar signe pour deux ans à Zoug

Tomas Tatar jouera à Zoug dès cet été
Tomas Tatar jouera à Zoug dès cet étéImage: KEYSTONE/FR110666 AP/ADAM HUNGER

Zoug, qui reste sur une décevante élimination en quart de finale des play-off, a engagé un centre expérimenté.
Le club de Suisse centrale annonce l'arrivée du Slovaque Tomas Tatar (34 ans), qui a signé pour deux ans.
Tatar a passé les 16 dernières années en Amérique du Nord, avec 14 saisons en NHL. Il sort d'un exercice 2024/25 compliqué sous le maillot des Devils de Nico Hischier, Timo Meier et Jonas Siegenthaler, avec seulement 17 points cumulés en 81 matches.
Le Slovaque a joué au total près de 1000 matches en NHL avec également Seattle, Colorado, Montréal, Las Vegas et Detroit, pour 509 points. "Il a évolué régulièrement à l'aile ces dernières saisons, mais nous le ferons jouer au centre", souligne le manager général Reto Kläy, cité dans un communiqué de l'EVZ.

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La patinoire a explosé
Les Danois ont créé une énorme sensation en sortant le Canada (2-1) jeudi soir en quart de finale grâce à un but marqué dans les derniers instants.

Les Canadiens ont pourtant ouvert la marque, à la 46e minute seulement. Mais ils ont craqué dans les trois dernières minutes face à la furia danoise: l'ancien junior du HC Bienne Nikolaj Ehlers a inscrit le 1-1 après 57'43, Nick Olesen marquant un improbable but de la victoire à 49 secondes de la fin du temps réglementaire.

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