Froidevaux a répondu à nos questions après la finale de hockey Genève-Bienne.Image: KEYSTONE
punchlines
Le Biennois Etienne Froidevaux a disputé jeudi soir le dernier match de sa carrière. Il s'est exprimé face aux médias quelques instants après la finale perdue contre Genève. Voici le résumé de son intervention en punchlines.
28.04.2023, 11:5028.04.2023, 12:31
Sur le mauvais début de rencontre du HC Bienne, mené 2-0 après 8 minutes:
«Ce n'est pas dû à la nervosité. Peut-être qu'on en voulait trop... C'est clair que si vous faites des erreurs comme ça, ça devient dur. Mais je pense qu'on a montré du caractère par la suite»
Sur le sentiment qui l'anime après la défaite:
«Ça nous fait mal à nous, qui étions sur la glace, mais j'espère que cette finale fera du bien aux jeunes et au club, pour qu'il puisse faire mieux dans le futur»
La détresse seelandaise.Image: PostFinance
Sur l'incroyable parcours de son équipe:
«Je suis fier du groupe. On a montré tellement de caractère toute la saison... Il y a eu des situations compliquées, sur la glace comme en-dehors, mais on a toujours bien géré, on a fait quelque chose de bien pour la Ville et le club»
Sur l'incroyable parcours de son équipe (encore):
«Si on m'avait dit avant la saison que nous disputerions un 7e match pour le titre contre Genève, même si ce n'est pas la fin qu'on voulait, j'aurais signé tout de suite»
Sur sa fin de carrière:
«C'est la gratitude qui prime. Je suis vraiment reconnaissant de tout ce que le hockey m'a apporté. J'ai rencontré de magnifiques personnes qui sont devenues très importantes pour moi. J'ai appris tellement... Les émotions, dans ce sport, c'est quelque chose de fou»
Etienne Froidevaux lors de ses débuts avec Berne il y a quinze ans.Image: KEYSTONE
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Le portier suisse renvoyait l'image d'un perdant magnifique, un gardien incroyable aux qualités mal récompensées. C'est fini.
On a souvent réduit Yann Sommer à ses contradictions. On le disait grand par le talent, mais petit par la taille – et c'était vrai. On le trouvait riche en expérience dans les plus prestigieuses compétitions de football au monde, qu'il a toutes disputées, mais pauvre en trophées – et c'était vrai aussi. Mais ça ne l'est plus. Car depuis qu'il a quitté le Borussia Mönchengladbach il y a pile un an, le portier de l'équipe de Suisse (87 sélections) s'est mis à gagner les titres qui ont été refusé à son talent pendant trop longtemps.