Quand un couple d'Australien a eu le bonheur d'avoir une fille, le papa a spontanément proposé à sa femme qu'ils la prénomment Lanesra. Ils auraient pu choisir Eltsacwen ou Looprevil mais non, c'est bien Lanersra qui a été décidé. «Un nom unique et romantique», a trouvé la jeune maman, qui ne se doutait pas un seul instant des véritables intentions de son époux.
Les supporters français de Laval, eux, devront faire preuve d'un peu plus d'imagination.
Walter Rotundo est devenu l'année dernière papa de cet adorable bébé de 4,05 kilos, prénommé «Diego».
Comme ce brave Walter est Argentin, le prénom du fiston est évidemment un hommage au grand Diego Maradona. Mais si cette histoire est savoureuse, c'est surtout parce que Walter avait déjà deux filles, des jumelles prénommées Mara et Dona.
Diego, Mara, Dona: c'est ce qui s'appelle un triplé gagnant.
Fan du Feyenoord Rotterdam, un citoyen néerlandais s'est mis en tête d'appeler son garçon Bryan Feyenoord. Le problème, c'est que la législation en vigueur aux Pays-Bas lui interdisait de baptiser son rejeton ainsi.
Le papa a raconté cette histoire lors d'une émission de radio diffusée dans son pays, au cours de laquelle il a assuré être le père du petit garçon rendu célèbre pour avoir brandi un doigt d'honneur avec un maillot de Feyenoord sur les épaules. Une image qui a fait le tour du monde et qui date de 2004, lors de la finale de la Coupe de l’UEFA entre les Hollandais et le Borussia Dortmund.
L'Argentine a aussi une politique stricte en matière de prénoms donnés aux enfants. Elle interdit par exemple aux parents de donner un nom comme prénom. C'est pourtant ce qu'on fait deux Argentins en baptisant leur garçon Messi, du nom de leur célèbre compatriote footballeur. Ils y ont été autorisés par l'état civil de la province de Rio Negro, en Patagonie, qui a été très indulgent sur ce coup.
Daniel Varela, le papa, a expliqué qu'il avait vu jouer Lionel Messi et qu'il l'admirait de longue date.
Pour la petite histoire, Daniel Varela a d'abord eu deux filles avant que naisse son premier garçon.
Xavier Monnier est un fan absolu de l'Olympique de Marseille. Il a décidé de transmettre sa passion à son fils en le prénommant «Onken Philippe Marseille». Une décision pas vraiment du goût de la ville de Paris, où Xavier Monnier est exilé, qui a refusé de faire figurer les trois prénoms sur le passeport du petit.
Comme ce fan de l'OM est du genre têtu, il a décidé d'aller droit au but et de faire recours. Il a constitué un dossier en démontrant que le prénom «Marseille» avait déjà été attribué par le passé. Score final: Marseille 1 - Paris 0.
(jcz)