Une supportrice présente dans les tribunes du stade vendredi a été raccompagnée vers la sortie par la sécurité après avoir défié les supporters serbes.
03.12.2022, 10:5403.12.2022, 12:52
La partie entre la Suisse et la Serbie (3-2), vendredi lors de la troisième et dernière journée du groupe G, s'est bien déroulée dans l'ensemble: il n'y a pas eu de provocations entre les deux équipes sur le terrain (hormis quelques tensions en fin de match et après la partie) et la célébration de Xherdan Shaqiri n'a pas suscité la moindre polémique.
Cela s'est bien passé en tribunes aussi, à part lorsqu'une spectatrice s'est mise en tête de provoquer les fans serbes.
On ne sait pas qui cette femme soutient, puisqu'elle ne porte aucun signe d'appartenance à une équipe. Sur les images, relayées sur les réseaux sociaux, on la voit simplement vêtue d'un haut rouge et d'un pull blanc qui recouvre ses épaules.
Pendant la partie, elle s'est toutefois adressée aux fans serbes en mimant l'aigle albanais. Il s'agit du même geste que celui fait par Shaqiri et Xhaka au Mondial 2018 et qui avait créé la polémique.
La dame a aussitôt été évacuée par les membres de la sécurité qui, on l'imagine, avaient été briefés avant la rencontre afin d'intervenir en cas de tensions en tribunes.
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On dit de lui qu'il transforme les coureurs en robot et qu'il cause des chutes, mais le compteur GPS est aussi un petit bijou de technologie au service de la performance.
C'est un petit boîtier noir, fixé au centre du guidon de chaque coureur, et relié à un capteur de puissance installé sur le vélo (lire plus bas). On l'appelle compteur GPS ou ordinateur de bord. Plusieurs fabricants ont investi le marché, si bien qu'il en existe de différentes marques, mais le principe de fonctionnement est toujours le même: l'écran révèle en direct, c'est à dire pendant la course, une foule de données très précieuses au coureur (watts, fréquence cardiaque, etc.). Ce dernier peut ainsi mieux gérer son effort, et donc être plus performant sur la durée d'une épreuve, pour autant qu'il la termine. Car l'outil est accusé de distraire des coureurs rivés sur l'écran, les exposant aux chutes. Ses détracteurs disent aussi de lui qu'il a transformé les cadors du peloton en robots dont chaque coup de pédale est conditionné par les chiffres transmis en direct.